Les œufs, longtemps évités lors de la crise des salmonelles, ont retrouvé leur place de choix dans notre alimentation, notamment chez les bodybuilders et les adeptes des régimes protéinés. Mais sont-ils vraiment un « aliment complet » ou faut-il craindre leur taux de cholestérol élevé ? Voici un guide détaillé des bienfaits des œufs pour
Les œufs, longtemps évités lors de la crise des salmonelles, ont retrouvé leur place de choix dans notre alimentation, notamment chez les bodybuilders et les adeptes des régimes protéinés. Mais sont-ils vraiment un « aliment complet » ou faut-il craindre leur taux de cholestérol élevé ? Voici un guide détaillé des bienfaits des œufs pour la santé.
Que sont les œufs ?
Depuis la domestication des poules, les œufs font partie intégrante de notre alimentation. Riches en nutriments, les œufs sont constitués de deux parties principales : le blanc et le jaune. Le jaune contient des vitamines liposolubles, notamment les vitamines A, D et E, ainsi que des graisses et des acides gras essentiels oméga-3. Le blanc, quant à lui, est une précieuse Source de protéines.
Les œufs sont incroyablement polyvalents en cuisine. Leur composition unique leur permet d’être utilisés pour lier, enrober et glacer les aliments, ainsi que pour créer des structures et des textures dans les pâtisseries et les gâteaux. Si l’œuf de poule est le plus répandu, les œufs de canard, d’oie et de caille sont également appréciés pour des usages plus gastronomiques.
1. Excellente Source de protéines : Les œufs sont une Source complète de protéines, fournissant tous les acides aminés essentiels dont notre corps a besoin pour la croissance et la réparation des tissus.
2. Riche en vitamines : Les œufs contiennent des vitamines A, D, E et B12, essentielles au bon fonctionnement de notre organisme. La vitamine D, par exemple, est essentielle à la santé des os et des dents.
3. Contiennent des antioxydants : Le jaune d’œuf est riche en antioxydants comme la lutéine et la zéaxanthine, qui sont bénéfiques pour la santé oculaire et peuvent réduire le risque de dégénérescence maculaire et de cataracte.
4. Bénéfique pour le cerveau : Les œufs sont une bonne Source de choline, un nutriment essentiel à la santé du cerveau et au bon fonctionnement du système nerveux.
5. Soutenir la santé cardiaque : Malgré leur taux de cholestérol, des études montrent que les œufs peuvent augmenter le bon cholestérol (HDL) mais pas de manière significative le mauvais cholestérol (LDL) chez la plupart des gens.
6. Aide à la gestion du poids : En étant riches en protéines, les œufs peuvent contribuer à une sensation de satiété, ce qui peut contribuer à réduire l’apport calorique global et favoriser la perte de poids.
7. Contribuer à la santé des os : Grâce à leur teneur en vitamine D, les œufs contribuent à maintenir des os solides et sains.
8. Promouvoir la santé musculaire : Les protéines contenues dans les œufs sont essentielles à la réparation et à la croissance musculaire, surtout après l’exercice.
9. Facile à préparer : Les œufs sont rapides et faciles à cuisiner, ce qui en fait une option pratique pour les repas et les collations.
10. Polyvalent en cuisine : Leur utilisation variée en cuisine, des omelettes aux gâteaux, en passant par les sauces et les plats principaux, en fait un ingrédient incontournable.
En conclusion, les œufs constituent un aliment complet et nutritif, apportant de nombreux bienfaits pour la santé. Ils constituent une riche Source de nutriments essentiels et peuvent être incorporés de différentes manières à notre alimentation quotidienne.
Source: https://news.dayfr.com/
Alors que la myopie touche un nombre croissant de personnes, des chercheurs mettent en avant le rôle négatif de la lumière artificielle et celui positif de la lumière naturelle.
C'est une recommandation sanitaire désormais bien connue du grand public: la lumière bleue, notamment celle émise par les ampoules LED, peut endommager la rétine
Alors que la myopie touche un nombre croissant de personnes, des chercheurs mettent en avant le rôle négatif de la lumière artificielle et celui positif de la lumière naturelle.
C'est une recommandation sanitaire désormais bien connue du grand public: la lumière bleue, notamment celle émise par les ampoules LED, peut endommager la rétine, et donc entraîner des troubles du sommeil et de la vision. D'où les conseils de ne pas être trop devant la télévision, l'ordinateur, etc. Mais à part ça, les recherches menées sur les dangers induits par la lumière artificielle sont peu nombreuses.
Or, à en croire une étude réalisée par Alicia Torriglia, directrice de recherche à l’Institut français de la santé et de la recherche médicale (Inserm), ces risques seraient sous-estimés. En exposant des animaux à de la lumière artificielle, elle a pu mettre en valeur le fait que les normes en vigueur seraient très supérieures à ce qu'il faudrait pour protéger nos yeux. Pire: la focalisation sur la lumière bleue pourrait nous faire oublier que d'autres types de lumières, moins mis en avant dans le débat public, peuvent eux aussi avoir un impact négatif. Des conclusions qui rappellent d'autres recherches, qui mettent en valeur les bienfaits de la lumière naturelle pour notre vision.
Comme le rappelle l'Inserm dans son communiqué, l'œil est largement protégé par des systèmes antioxydants. Mais si une personne regarde une source lumineuse particulière, le soleil par exemple, cela peut provoquer une dégénérescence maculaire, c'est-à-dire de la partie centrale de la rétine.
Les lumières artificielles peuvent manifestement avoir des effets similaires. C'est d'ailleurs pour cela que des normes classent les ampoules selon leur toxicité pour l'œil, selon une échelle de 0 à 3, comme le rappelle Alicia Torriglia au Soir: "Seules les ampoules classées de 0 à 1 sont vendues dans le commerce. On estime qu’elles ne présentent aucun risque ou un risque mineur dans des conditions d’exposition normales, à savoir jusqu’à trois heures. Déjà, on peut s’interroger sur ce timing qui peut très fort varier d’une personne à l’autre selon que le local est éclairé par la lumière naturelle ou non, que l’activité se passe plus en soirée ou non, etc. Les ampoules classées de 2 à 3 sont destinées uniquement aux professionnels et servent par exemple à l’éclairage des stades ou des plateaux de télévision".
Pour ces ampoules avec un indice de 0 ou 1, il existe une autre norme, celle des valeurs limites d’exposition de la rétine humaine, en l'occurrence seulement pour la lumière bleue. Elles ont été établies suite à des expérimentations sur des primates et des rats. Résultat: une ampoule ne peut dépasser 22 joules/cm2 chez le primate et 11 joules/cm2 chez le rat.
Problème: ces normes ont été établies dans les années 1980, et seulement légèrement modifiées depuis. Alicia Torriglia a donc voulu savoir si elles étaient vraiment adaptées, en utilisant les techniques de mesure actuelles. Elle a ainsi reproduit l'expérience sur des rats avec la limite de 11 J/cm2, avec des ampoules à faible risque (donc classées 0 ou 1).
Les résultats sont édifiants. La chercheuse a en effet constaté que même de très faibles doses de lumière LED peuvent provoquer une mort cellulaire au niveau de la rétine. Les chiffres parlent d'eux-mêmes: la dose toxique pour le rat s'avère être non pas de 11 mais de 0,2 J/cm², soit 50 fois moins. "Nous avons dû interrompre nos expériences au tiers du temps prévu, pour ne pas faire souffrir les animaux exposés à une lumière qui respectait pourtant les seuils établis", confie-t-elle dans le communiqué.
Ses résultats sont potentiellement très alarmants, puisqu'ils jettent un doute sur toutes les normes en vigueur. "La limite de 11 J/cm² pour la lumière bleue est nettement surévaluée pour le rat, ce qui laisse supposer que c’est surement le cas aussi pour le primate et l’humain", alerte-elle.
Mais les soucis ne s'arrêtent pas là! Car jusqu'ici, il n'était question que de lumière bleue, la seule considérée comme dangereuse par la Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants. Or la lumière blanche peut être également décomposée en lumière rouge ou verte.
Alicia Torriglia s'est également penchée sur la question et selon elle, la lumière verte est elle aussi nocive, en provoquant une invasion de la rétine par des cellules pro-inflammatoires, les macrophages. Elle affirme même que cet impact serait huit fois plus élevé que pour la lumière bleue. Comme le fait savoir le communiqué de l'Inserm, "le seuil de toxicité de la lumière blanche complète actuellement accepté chez le rat est surestimé d’un facteur 550".
La bonne nouvelle, c'est que la lumière rouge, présente dans les ampoules à incandescence (aujourd'hui de plus en plus rares car très énergivores) mais pratiquement pas dans les LED, réduit la perte de photorécepteurs, les cellules sensitives de la rétine.
En résumé, les travaux d’Alicia Torriglia tendent à montrer qu'il faut non seulement reconsidérer les normes en vigueur pour la lumière artificielle, mais également mieux étudier les effets des différentes lumières, pas seulement de celle bleue.
La chercheuse appelle également à se pencher sur un autre aspect qui a son importance, mais qui n'était pas le sujet de son étude: "L’effet de la lumière sur la rétine est complexe. Elle ne dépend pas seulement de la quantité, mais aussi du moment des expositions. La rétine a un rythme circadien et sa sensibilité pendant la journée n’est pas la même que la nuit. Des changements physiologiques qui interviennent la nuit la rendent plus sensible à la lumière et plus assujettie au stress phototoxique". Traduction: si l'exposition à la lumière artificielle peut être nuisibles de base, elle serait encore plus délétère en soirée et pendant la nuit, surtout chez les enfants, leurs seuils de sensibilité étant encore plus faible qu'à l'âge adulte.
Maintenant, une question se pose: est-ce que cette exposition à la lumière artificielle est-elle responsable de l'épidémie de troubles de la vision actuelle? Selon un rapport publié en 2019 par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), la moitié de la population mondiale pourrait devenir myope d'ici 2050, dont 10% sévèrement. Les pays développés sont particulièrement touchés, surtout en Extrême-Orient mais aussi en Occident.
D'après les chiffres les plus récents en Belgique, c'est-à-dire ceux établis en 2013 par le Centre fédéral d'expertise des soins de santé (KCE), sept Belges sur dix souffrent d'un trouble de l'acuité visuelle (myopie ou hypermétropie). L'Association professionnelle des opticiens et des ophtalmologues de Belgique (APOOB) a ajouté en 2022 que la myopie avait bondi d'environ 25% les six années précédentes en Belgique chez les jeunes. Une évolution qui ne peut être expliquée seulement par la génétique.
Pour comprendre, Donald Mutti, professeur d'optométrie à l'Université d'État de l'Ohio, a décidé d'enquêter en interrogeant sur des années près de 4.000 jeunes Californiens de tous milieux et origines. "Tout ce qu'on pensait être des causes de myopie (le travail de près, l'exposition à la télévision, l'ordinateur, aux jeux vidéo) ne sont pas ressortis dans notre étude. Mais le temps passé dehors surgissait en permanence dans nos résultats. Davantage de temps passé en extérieur réduisait le risque de l'apparition de la myopie", explique l'universitaire dans le documentaire d'Arte "Demain, tous myopes". "Nous avons découvert qu'un enfant qui avait ses deux parents myopes et qui passait très peu de temps dehors a 60% de risques de devenir myope. Mais en passant seulement deux heures par jour dehors, soit 14 heures par semaine en extérieur, les risques pour ce même enfant chutait à environ 20%".
Autrement dit, même si un enfant est beaucoup devant des écrans, s'il passe également une large partie de son temps dehors, il aura bien moins de risque de finir myope. Dans la foulée de cette découverte essentielle, d'autres recherches ont été réalisées avec cette idée que la lumière naturelle constituait le moyen de se protéger des troubles de la vision, comme celles menées par Ian Morgan, un professeur de l'Université nationale australienne. Il s'avère ainsi qu'en Australie, où les jeunes passent plus de treize heures par semaine à l'extérieur, le taux de myopie tombe à 3% chez les enfants de Sydney (16% au niveau national). À Singapour, où les jeunes ne passent que trois heures dehors, ce pourcentage grimpe à 29%. Les Australiens passent pourtant eux aussi beaucoup de temps devant leurs écrans.
Pour savoir ce qui rendait le passage au grand air si bénéfique, le professeur Frank Schaeffel, de l'Institut de recherche ophtalmologique de Tübingen, a étudié la myopie chez des poussins. Ceux privés de lumière naturelle sont tous devenus myopes. Dans le cas inverse, ou lorsque ceux-ci étaient exposés à une lumière artificielle reproduisant celle naturelle (avec une intensité de 15.000 lux, soit l'équivalent d'une journée nuageuse en extérieur), c'était beaucoup moins le cas.
La messe était donc dite: c'est la lumière extérieure, beaucoup plus intense que celle artificielle seule (qui tourne à peine autour de quelques petites centaines de lux), qui protégerait les yeux. Selon Donald Mutti, cela pourrait être lié au fait que celle naturelle (notamment dans ses tons bleus) stimule la production de dopamine, qui conserve la forme de l'œil. Si le nombre de lux chute, ce phénomène ne se produit pas. Reste plus qu'à déterminer s'il existe un seuil de lux nécessaire afin de protéger efficacement la population des troubles de la vision.
Source: https://www.moustique.be/
Journaliste: Kevin Dupont
Depuis plusieurs années, la chanteuse Hélène Ségara lutte contre une maladie rare qui affecte sa vision. Son combat, semé d'épreuves et d'incertitudes, lui a fait prendre conscience de la précieuse importance de chaque instant.
Hélène Ségara, l’inoubliable interprète de L’amour est un soleil, est atteinte d’une maladie oculaire rare qui
Depuis plusieurs années, la chanteuse Hélène Ségara lutte contre une maladie rare qui affecte sa vision. Son combat, semé d'épreuves et d'incertitudes, lui a fait prendre conscience de la précieuse importance de chaque instant.
Hélène Ségara, l’inoubliable interprète de L’amour est un soleil, est atteinte d’une maladie oculaire rare qui la prive peu à peu de la vue. Un combat qu’elle mène depuis plus de dix ans, dans l’ombre et sans relâche. En 2013, la chanteuse se réveille un matin avec un voile devant les yeux. Le début d’un long calvaire médical, marqué par des diagnostics erronés et des traitements inefficaces, comme l’explique Closer Mag.
Il aura fallu attendre plusieurs années pour qu’enfin, en 2022, un diagnostic précis soit posé : Hélène Ségara souffre d’une dégénérescence maculaire bilatérale. Cette maladie rare touche la partie centrale de la rétine, responsable de la vision fine. Inéluctablement, la chanteuse perd la vue de manière progressive.
Face à cette maladie, les traitements s’avèrent malheureusement inefficaces. Hélène Ségara a par ailleurs subi de nombreuses interventions chirurgicales, sans succès. La chanteuse a même envisagé une greffe de la rétine, une opération complexe et risquée. Mais aujourd’hui, elle sait que sa vue va continuer à se dégrader.
Malgré la douleur et la difficulté de la situation, Hélène Ségara ne se laisse pas abattre. Elle garde espoir et profite de chaque instant avec ses proches. La chanteuse a même écrit un livre pour raconter son combat et sensibiliser le public aux maladies rares.
Face à cette maladie rare et au manque de solutions concrètes, Hélène Ségara ne se laisse pas abattre. Elle puise dans sa force intérieure et son amour pour la vie pour continuer à se battre et à profiter de chaque instant. »Je veux profiter de chaque instant, aimer beaucoup, manger des choses délicieuses, cuisiner pour ceux que j’aime. Je veux tout voir, tout regarder tant que je peux« , confie-t-elle, émue. Son courage et sa détermination inspirent et donnent espoir à tous ceux qui traversent des épreuves difficiles.
Son histoire est un hymne à la vie, un rappel précieux de la beauté et de la fragilité de chaque instant. Malgré les difficultés et les incertitudes, Hélène Ségara garde espoir et continue de se battre pour préserver le plus longtemps possible sa vision. À travers sa prise de parole, l’artiste cherche également à sensibiliser le public aux maladies rares et à l’importance de la recherche médicale. Source: https://trendy.letudiant.fr/
MONTRÉAL — Des bactéries ayant migré des intestins jusqu’aux yeux pourraient être responsables, du moins en partie, de certaines maladies dégénératives de la rétine que l’on pensait jusqu’à présent être d’origine entièrement génétique, démontrent des travaux réalisés par des chercheurs britanniques et chinois.
Cela soulève l’espoir que ce
MONTRÉAL — Des bactéries ayant migré des intestins jusqu’aux yeux pourraient être responsables, du moins en partie, de certaines maladies dégénératives de la rétine que l’on pensait jusqu’à présent être d’origine entièrement génétique, démontrent des travaux réalisés par des chercheurs britanniques et chinois.
Cela soulève l’espoir que ces maladies puissent être un jour traitées avec des antibiotiques, même si cette éventualité reste encore lointaine.
«Ça nous donne un peu une autre vision où il faut intégrer d’autres organes, comme le système digestif, dans l’équation de cette dégénérescence, a estimé Przemyslaw Sapieha, qui dirige l’unité de recherche des maladies neurovasculaires oculaires du Centre de recherche de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont. Je pense que le lien est plausible.»
On savait déjà que des mutations du gène CRB1 affaiblissent la barrière protectrice des yeux. Les chercheurs de University College London ont maintenant constaté que des mutations à ce même gène rendent un peu plus perméable la barrière intestinale, ce qui permet potentiellement à des bactéries de s’échapper.
Les auteurs de l’étude ont donc modifié des souris génétiquement pour présenter un gène CRB1 anormal. Les souris qui, en plus, avaient des niveaux réduits de bactéries intestinales ne présentaient pas de dommages à la rétine, comparativement aux souris dont le microbiome était normal. L’administration d’antibiotiques a permis de réduire les dommages aux yeux de ces dernières.
On estime que les troubles héréditaires de la rétine touchent environ 5,5 millions de personnes à travers le monde. Si les nouveaux travaux représentent un nouvel espoir pour elles, nous sommes encore loin d’un nouveau traitement, prévient le professeur Sapieha, qui enseigne à la faculté de médecine de l’Université de Montréal et qui occupe depuis 2010 la Chaire de recherche du Canada en biologie cellulaire de la rétine.
«Il faut certainement que les patients et les familles des patients qui sont affectés ne deviennent pas trop enthousiastes trop rapidement», a-t-il dit.
Les bactéries intestinales contribuent «possiblement» à la dégénérescence de la rétine, a-t-il ajouté, «mais il reste encore beaucoup de travail à faire», notamment pour vérifier si les bactéries jouent un rôle «central».
«C’est un beau travail qui certainement propose une nouvelle piste, mais comme avec tout nouveau travail, surtout un travail qui a été fait dans des modèles murins, il y a encore plusieurs étapes de validation avant qu’on puisse seulement penser à faire un transfert vers les humains», a-t-il conclu.
Les conclusions de la nouvelle étude ont été publiées par la prestigieuse revue médicale Cell. Source: https://www.courrierfrontenac.qc.ca/
La vitamine D est indispensable au bon fonctionnement du corps et des os. Or, les œufs font partie des aliments qui en contiennent de la plus. À condition de les consommer d’une certaine manière.
La vitamine D est indispensable au corps, mais nous sommes nombreux à en manquer. Or, cela peut ent
La vitamine D est indispensable au bon fonctionnement du corps et des os. Or, les œufs font partie des aliments qui en contiennent de la plus. À condition de les consommer d’une certaine manière.
La vitamine D est indispensable au corps, mais nous sommes nombreux à en manquer. Or, cela peut entraîner des troubles musculaires, des problèmes osseux et même de la dépression. Pallier ce manque peut se faire en s’exposant au soleil, mais ce n’est pas toujours chose facile en hiver ou quand on habite en ville.
Les œufs font partie des aliments qui contiennent le plus de vitamine D. Or, il y a une certaine manière de les consommer pour qu’ils ne perdent pas cette teneur, comme l’expliquent les chercheurs de l’Université de Newcastle, au Royaume-Uni, parue dans la revue Food
Avant tout, les œufs ne doivent pas être conservés au réfrigérateur. « Nous avons constaté que pour conserver une plus grande quantité de vitamine D dans les œufs, il est préférable de les conserver hors du réfrigérateur, à température ambiante, comme sur le plan de travail de la cuisine », lit-on.
Ces derniers ont fait un classement des modes de cuissons qui permettent aux œufs de conserver au maximum leur vitamine D.
En plus d’apporter de la vitamine D au corps, les œufs ont de nombreux autres avantages pour la santé. Par exemple, ils sont riches en protéines animales complètes, composées de neuf acides aminés essentiels. Les jaunes d’œufs contiennent quant à eux de la choline, nutriment utile à la structure et au bon fonctionnement du cerveau et des membranes cellulaires. La choline est par ailleurs bonne pour la mémoire.
Par ailleurs, le jaune contient aussi de la lutéine et du zéanxanthine, deux antioxydants qui ralentissent le vieillissement des yeux, les protégeant de la dégénérescence maculaire liée à l’âge et de la cataracte. La vitamine A contenu dans les œufs est quant à elles bonne pour la vision.
Source: https://lasanteauquotidien.com/
Essayons d’aligner les faits. L’obésité est une maladie, c’est ce que dit l’OMS. En Italie, il y a environ 6 millions de personnes obèses et 23 millions de personnes en surpoids. L’obésité et/ou le surpoids important sont l’antichambre inévitable des maladies chroniques : pathologies cardiovasculaires, articulaires, neurologiques. Mais
Essayons d’aligner les faits. L’obésité est une maladie, c’est ce que dit l’OMS. En Italie, il y a environ 6 millions de personnes obèses et 23 millions de personnes en surpoids. L’obésité et/ou le surpoids important sont l’antichambre inévitable des maladies chroniques : pathologies cardiovasculaires, articulaires, neurologiques. Mais ce n’est pas tout : même la dégénérescence maculaire est liée à l’obésité. Bref, tout ce qui peut être attribué à un niveau d’inflammation trop élevé, donc annonciateur de maladies graves.
Pourtant, l’obésité pour les services de santé n’existe pas ; ce n’est pas discuté dans les niveaux essentiels d’assistance, ce n’est pas dans les plans de prise en charge des maladies chroniques que les Régions doivent légalement mettre en œuvre sur le territoire, cela n’a même pas de définition structurée dans les lignes directrices de l’ISS. De plus : il y a une infinité de discours et de proclamations sur la prévention de l’obésité, mais rien de concret. Quelques apparitions sporadiques d’experts dans les écoles, sans efficacité, et des campagnes inutiles ici et là. S’il est bien connu qu’il n’y a quasiment pas de salles de sport dans les écoles, l’activité physique est l’apanage des enfants aisés qui financent les activités de l’après-midi.
On sait également que la pauvreté est un vecteur d’obésité. Pour beaucoup, mal manger est inévitable. Cela coûte tout simplement moins cher. Nous savons également que la malbouffe et les boissons sucrées font partie du quotidien de nombreuses personnes et que personne ne veut inverser l’équation : les taxer coûterait plus cher et libérerait des fonds pour, par exemple, construire des salles de sport.
Cela dit, quelque chose de concret peut et doit être fait. À commencer par la prévention, évidemment. Et commençons par préciser que l’obésité est une maladie et doit être traitée : les médecins généralistes et les pédiatres le comprennent ; ceux qui sont gros ne sont pas des gros paresseux qui ont besoin de changer leur mode de vie ; il doit être pris en charge et géré par les médecins, car la science a clairement démontré que changer de mode de vie n’est souvent pas suffisant, et bien plus souvent, cela est irréalisable. Il y a des difficultés psychologiques, hormonales et métaboliques en jeu. Et seuls des médicaments appropriés peuvent aider. L’obésité doit être incluse immédiatement dans les plans de lutte contre la chronicité, afin que ceux qui en souffrent puissent être traités de manière adéquate avec les médicaments disponibles.
Source : https://www.nouvelles-du-monde.com/
Journaliste : Elisa Manacorda
Des chercheurs coréens ont mis au point un algorithme utilisant l'intelligence artificielle pour diagnostiquer une maladie chez les enfants avec 100 % de réussite. Sa sévérité est également mesurée.
Si l'intelligence artificielle est souvent vue comme une avancée technologique visant à faciliter notre travail (ou à nous le prendre selon
Des chercheurs coréens ont mis au point un algorithme utilisant l'intelligence artificielle pour diagnostiquer une maladie chez les enfants avec 100 % de réussite. Sa sévérité est également mesurée.
Si l'intelligence artificielle est souvent vue comme une avancée technologique visant à faciliter notre travail (ou à nous le prendre selon les cas), elle est également utilisée dans de nombreux domaines de recherche. La médecine est l'un d'eux. On a déjà vu ChatGPT trouver une maladie passée inaperçue aux yeux de 17 professionnels de santé par exemple Mais au-delà de ce genre de cas particuliers, c'est surtout au niveau des diagnostics que l'IA prouve son efficacité.
En Corée du Sud, des chercheurs ont publié les conclusions d'une étude qui pourrait bien marquer une avancée majeure dans la détection précoce d'une maladie chez les enfants. L'équipe s'est intéressée aux TSA, les troubles du spectres autistiques. Les détecter tôt permet une meilleure prise en charge, aussi elle a développé un algorithme basée sur l’intelligence artificielle pour faciliter les diagnostics. Les résultats sont très encourageants puisque que le système est non invasif et correct dans 100 % des cas.
Comme souvent, ce sont les yeux qui donnent les informations nécessaires. Ou plutôt les rétines. Située à l'arrière de l’œil, elle est reliée au nerf optique puis l'ensemble est attaché au disque optique. Cette structure, extension du système nerveux central, est une véritable fenêtre sur le cerveau. Les chercheurs ont ainsi pris la photo des rétines de 958 enfants dont l'âge moyen est 7,8 ans. Sur les 1890 clichés obtenus, la moitié appartiennent à des enfants dont on a déjà diagnostiqué un TSA. L'autre moitié, sans trouble, sert de groupe contrôle.
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La sévérité du TSA a également été mesurée grâce à deux échelles dédiées. L'IA a ensuite été entraînée avec les photos et les scores déjà connus. Après cela, on lui a demandé de détecter un TSA à partir des photos de rétines et l'IA a posé un bon diagnostic à chaque fois, sans jamais se tromper. Elle n'est pas aussi efficace pour déterminer le score de sévérité en revanche, atteignant un résultat jugé acceptable, mais pas assez sûr pour se reposer dessus. Les plus jeunes participants étaient âgés de 4 ans. Avant cela, la rétine est en croissance continue, rendant difficile les diagnostics plus précoces. Les chercheurs travaillent désormais obtenir la généralisabilité de leurs résultats.
Source: https://www.phonandroid.com/
Il existe une maladie chronique de l’œil qui touche 1 à 2 % de population de plus de 40 ans et environ 10 % des plus de 70 ans, en France. Cette maladie, le glaucome est la seconde cause de cécité en France, après la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) selon le site Ameli.fr. Difficile à détecter puisque 500 000 personnes en se
Il existe une maladie chronique de l’œil qui touche 1 à 2 % de population de plus de 40 ans et environ 10 % des plus de 70 ans, en France. Cette maladie, le glaucome est la seconde cause de cécité en France, après la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) selon le site Ameli.fr. Difficile à détecter puisque 500 000 personnes en serait atteinte sans le savoir, cette dernière se produit suite à une élévation de la pression interne de l’œil. Pour parvenir à une détection précoce du glaucome, des scientifiques de l’université des sciences et des technologies de Pohang en Corée du Sud, ont inventé une lentille de contact capable de détecter la pression oculaire. Elle permet, à la fois, une surveillance et une meilleure gestion de cette maladie. Une invention cruciale pour la médecine ophtalmologique. Découverte.
Pourquoi est-ce une invention importante ?
Comme nous vous l’avons dit, rien qu’en France, près de 500 000 personnes seraient porteuses de la maladie du glaucome sans le savoir. En ignorant que nous sommes porteurs de cette maladie chronique, nous risquons, à plus ou moins long terme, la cécité. La nouvelle lentille de contact qui est, à l’état d’expérimentation pour le moment, a été conçu pour éviter cette cécité inévitable. Non seulement, elle pourrait détecter les symptômes du glaucome, mais elle permettrait aussi de libérer les gouttes oculaires
Le glaucome survient lorsque les canaux de drainage de l’œil se trouvent bloqués. Cela entraîne une accumulation d’humeur aqueuse qui ne peut plus être évacuée. La conséquence étant une augmentation de la pression intraoculaire, appelée PIO. Cette PIO trop élevée entraîne alors des dommages sur le nerf optique, provoquant la cécité. Des traitements existent, notamment celle à base de gouttes ophtalmiques qui permettent de réduire la pression intraoculaire, mais elles s’avèrent plus efficace si la dose est modifiée en permanence, en fonction de la pression dans l’œil. Une posologie quotidienne semblable peut être insuffisante en fonction de la PIO relevé à l’instant T. C’est donc pour cela que les lentilles de contact inventées par les Sud-coréens pourraient avoir une importance capitale.
La lentille de contact pour lutter contre le glaucome est alimentée sans fil et « intègre un capteur de PIO constitué de nanofils d’or creux, ainsi qu’un système d’administration de médicaments et un circuit intégré ». Elle va ainsi pouvoir surveiller la PIO grâce au capteur qui réagira à tout changement en déclenchant un apport de gouttes ophtalmiques. Cela est dosé en fonction de la PIO en temps réel. Des premiers tests ont été réalisés sur des lapins et sont avérés particulièrement efficaces pour gérer le dosage du médicament utilisé, le timolol, un collyre bien connu. « La lentille présentait également une stabilité chimique et une biocompatibilité, excellentes » comme le précise les chercheurs dans l’étude publiée sur Postech. Pour détecter le glaucome, il existe quelques signes précurseurs comme des douleurs au niveau des yeux, un brouillard visuel qui apparaît par intermittence ou encore une baisse de la vision sur les côtés. Ne tardez pas à consulter, des traitements existent en attendant que les lentilles de contact soient commercialisées.
Source: https://www.neozone.org/
Des chercheurs qui ont souhaité mettre en lumière les principaux changements alimentaires susceptibles de prolonger l'espérance de vie ont découvert qu’il était possible de gagner pas moins d’une décennie en faisant les bons choix dans ce domaine.
Nombreuses sont les études à avoir démontré que la probabilité de présenter un problème de
Des chercheurs qui ont souhaité mettre en lumière les principaux changements alimentaires susceptibles de prolonger l'espérance de vie ont découvert qu’il était possible de gagner pas moins d’une décennie en faisant les bons choix dans ce domaine.
Nombreuses sont les études à avoir démontré que la probabilité de présenter un problème de santé sérieux est augmentée par une alimentation excessive et déséquilibrée de façon régulière. Obésité, cholestérol, diabète, maladies cardiovasculaires, dégénérescence maculaire liée à l'âge (ou DMLA), cataracte, ostéoporose, cancers… ces problèmes peuvent conduire à réduire la durée de vie et notamment la durée de vie en bonne santé (sans incapacités). A l’inverse, existe-t-il une alimentation qui garantirait une vie plus longue ? A ce sujet, l’Institut Pasteur de Lille répond qu’un style alimentaire avec une alimentation variée, n’excluant aucune catégorie d’aliments, comprenant à la fois des aliments d’origine animale et végétale, et d’inspiration méditerranéenne contribue fortement à vivre mieux plus longtemps. Cette affirmation est une nouvelle fois prouvée puisqu’une récente étude publiée dans la revue scientifique Nature Food par des chercheurs de l'Université de Bergen en Norvège révèle qu’adopter une alimentation plus saine, et s’y tenir, peut prolonger la vie des personnes d’âge moyen de près d’une décennie.
La recherche a consisté à évaluer les données de santé de près d'un demi-million de résidents britanniques dont les habitudes alimentaires ont été documentées dans le cadre de la cohorte UK biobank. Les chercheurs ont regroupé les participants en fonction de leurs habitudes alimentaires avant de modéliser leur espérance de vie. Les participants ont été regroupés en mangeurs « malsains », « moyens », en « bon mangeurs » si leurs apports alimentaires correspondaient au guide « Eatwell » du Royaume-Uni et en « très bons mangeurs » si leur régime alimentaire correspondait à ce que les chercheurs ont appelé le « régime de longévité ». De quoi s’agit-il ? De privilégier les céréales complètes, noix, en fruits et légumes et le poisson en quantités modérées, et d’éviter les aliments transformés. Après ajustement en fonction de facteurs comme le tabagisme, l'alcool et l'activité physique, les chercheurs ont constaté que les hommes et femmes âgés de 40 ans qui ont choisi de passer durablement d'une alimentation malsaine à une alimentation selon le Guide Eatwell avaient gagné 9 ans d'espérance de vie.
« Il n'est jamais trop tard pour apporter des changements mineurs et durables vers une alimentation saine »
Mais il s’avère surtout que les personnes qui sont passées d’une alimentation malsaine à celle digne d’un « régime de longévité » ont ajouté 10 ans supplémentaires à leur espérance de vie. « En utilisant des données prospectives de cohorte basées sur la population de la UK Biobank, nous montrons qu'un changement alimentaire soutenu, passant de modèles alimentaires malsains aux recommandations alimentaires du Guide Eatwell est associé respectivement à un gain de 8,9 et 8,6 ans d'espérance de vie pour les hommes et les femmes de 40 ans. », précisent les chercheurs. « Un changement alimentaire durable passant d'un régime alimentaire malsain à celui associé à la longévité est associé à un gain de 10,8 et 10,4 ans d’espérance de vie. » Autrement dit, plus les changements apportés vers des habitudes alimentaires plus saines sont importants, plus les gains attendus en termes d'espérance de vie le sont également. Les résultats obtenus ont également révélé que, sans surprise, les gains prévus en termes d'espérance de vie sont plus faibles lorsque le changement de régime alimentaire est initié à des âges plus avancés, même s’ils restent substantiels.
Il a toutefois été constaté que même les personnes de 70 ans peuvent réussir à prolonger leur espérance de vie de 4 ou 5 ans si elles modifient durablement leur régime alimentaire. Interrogées sur l’importance de ces résultats par le site ScienceAlert, Katherine Livingstone, chercheuse en nutrition des populations au sein de l'Université Deakin, atteste que « c'est excitant, mais pas surprenant, de constater les énormes avantages pour la santé liés aux changements alimentaires. Ce travail est important car il démontre qu'il n'est jamais trop tard pour apporter des changements mineurs et durables vers une alimentation plus saine. » Celle-ci estime en outre que même si cette nouvelle analyse s’intéresse au Royaume-Uni, il est fortement possible d’élargir la portée de cette découverte à toute autre population. Et ce dans un contexte où des études antérieures ont d’ores et déjà montré comment diverses habitudes de vie saines (incluant l’alimentation mais aussi l’activité physique, le stress ou encore le sommeil) s’appuyant sur les directives d’organismes sanitaires officiels sont liées à un risque plus faible de décès prématuré.
A titre d’exemple, l'American Heart Association a mis en place le « Life's Essential 8 », un score de santé cardioasculaire. L'outil de notation comprend un sommeil sain, le fait de ne pas fumer, une activité physique régulière, une alimentation saine, un poids de santé ainsi qu’un taux normal de glycémie, de cholestérol et de tension artérielle. En France, la recommandation diffusée par le ministère chargé de la santé, dans le cadre du Programme national nutrition santé est de pratiquer l’équivalent d’au moins 30 minutes de marche rapide par jour au minimum 5 fois par semaine pour les adultes et l’équivalent d’au moins 60 minutes par jour pour les enfants et adolescents. Le ministère de la Santé préconise par ailleurs de privilégier une alimentation proche du régime méditerranéen au quotidien. Et pour cause, il estime que les repas de ce type « jouent sur la diversité des aliments et s’équilibrent en suivant les recommandations alimentaires ». A savoir augmenter les fruits, légumes et légumes secs, aller vers les féculents complets, certaines huiles végétales et poissons gras, réduire la viande et les produits gras, sucrés, salés, et privilégier le fait-maison et les produits de saison.
Source : https://www.femina.fr/ Journaliste : Alexandra Bresson
Le passage des ans affecte nos yeux tout autant que le reste de notre corps. Rares sont ceux qui ne se surprendront pas un jour à éloigner le menu du restaurant pour arriver à le lire, signe d’une presbytie naissante qui est souvent la première manifestation du vieillissement de l’œil.
S’il fut un temps où la détérioration des structure
Le passage des ans affecte nos yeux tout autant que le reste de notre corps. Rares sont ceux qui ne se surprendront pas un jour à éloigner le menu du restaurant pour arriver à le lire, signe d’une presbytie naissante qui est souvent la première manifestation du vieillissement de l’œil.
S’il fut un temps où la détérioration des structures de l’œil menait inexorablement à des troubles handicapants, voire à la cécité, il s’agit heureusement d’une éventualité très rare de nos jours. Le glaucome et la dégénérescence maculaire peuvent être ralentis. Prise à temps, la cataracte peut être soignée, et dans certains cas, le traitement peut même donner un petit coup de jeune aux yeux !
La cataracte est de loin le plus répandu parmi les troubles médicaux liés au vieillissement des yeux. Au fil du temps, notre cristallin (la lentille claire qui se trouve juste derrière notre pupille) s’oxyde et s’opacifie, et laisse passer de moins en moins de lumière. Le processus s’effectue en général lentement, sur des mois ou des années.
Les symptômes commencent habituellement à se faire sentir dans la soixantaine. Puisque moins de lumière entre dans l’œil, la vision est moins claire et les contrastes sont moins marqués. « C’est comme regarder à travers une vitre givrée », explique l’ophtalmologiste Samir Jabbour, du Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM). « La lumière doit traverser un milieu plus opaque, donc la vision baisse progressivement. » La vision nocturne peut aussi devenir moins nette, avec des éblouissements. Les myopes auront l’impression qu’il est temps de passer un nouvel examen de la vue.
Le cristallin devenant jaunâtre en s’oxydant, la perception des couleurs peut également être altérée. Le peintre Claude Monet en a fait l’expérience bien malgré lui. Au fil des ans, les teintes de ses représentations de son fameux jardin de Giverny ont complètement changé.
La phase ultime de la cataracte est la cécité, mais de nos jours, il est extrêmement rare d’en arriver là. La cataracte se traite grâce à une intervention plutôt simple. Le cristallin est remplacé par une lentille claire, une opération si courante qu’il s’agit de l’intervention chirurgicale la plus souvent pratiquée au Québec. Le taux de satisfaction est très élevé. « Les patients sont contents, affirme le Dr Jabbour. Ils ont récupéré la vision qu’ils croyaient avoir perdue pour toujours. »
Donc, en un sens, si on doit choisir parmi les trois troubles oculaires décrits ici, un diagnostic de cataracte est presque une bonne nouvelle ? « Je dirais que oui, répond en souriant le Dr Jabbour. Je ne la considère même plus comme une maladie. C’est seulement un trouble qui arrive avec l’âge. Presque tout le monde en sera atteint, à divers degrés, passé 80 ans, qu’une opération soit nécessaire ou non. »
Le glaucome est beaucoup plus rare, mais malheureusement, il est aussi plus grave, notamment parce qu’il est insidieux. Il s’en prend au nerf optique et s’attaque au champ de vision périphérique, une perte qu’on met du temps à remarquer et qui est irréversible. Si le glaucome n’est pas pris en charge, la perte de vision peut être complète. On estime qu’il s’agit de la principale cause de cécité chez les 60 ans et plus.
« Le nerf optique, c’est comme le câble derrière une télévision qui vient se brancher au mur, mais là, le câble branche l’œil au cerveau », explique l’ophtalmologiste Angèle Devaux, qui est affiliée à l’hôpital Pierre-Boucher, à Longueuil. Le glaucome affecte le point de connexion entre le nerf et l’œil, à cause d’une pression trop importante dans le globe oculaire. Il y a dans l’œil une circulation constante de fluides et avec le temps, le drainage se fait moins bien, ce qui augmente la pression et endommage les terminaisons nerveuses du nerf optique. « Puisque c’est le câble qui envoie les informations au cerveau, poursuit la Dre Devaux, on peut s’imaginer que, comme pour un écran, des bouts d’information vont disparaître. À terme, la lumière peut s’éteindre complètement. »
Puisque la partie du nerf endommagée par le glaucome ne peut pas être réparée, la détection précoce par un optométriste est cruciale. On ralentit le processus avec des gouttes médicamenteuses qui réduisent la pression oculaire. Une petite intervention au laser ou une opération peuvent aussi faciliter le passage des fluides.
La macula est une partie cruciale de la rétine, responsable de la vision centrale et de la perception optimale des détails. « C’est la partie qu’on utilise lorsqu’on lit, lorsqu’on voit des visages, explique le Dr Jabbour. Quand on mesure l’acuité visuelle, on mesure en fait l’acuité de la macula. » Au fil des années, de petits dépôts appelés drusen — des débris de cellules, des lipides, des protéines — s’attachent à la macula. Chez certaines personnes, les drusen s’accumulent en grande quantité et causent une atrophie de la macula, puis des cicatrices. On parle alors de dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA). Elle survient surtout chez des gens âgés de 75 ans et plus, mais des cas ont été observés dès 55 ans.
On constate d’abord une légère perte de netteté et de contrastes. Peu à peu s’ajoutent des distorsions de la vision centrale, puis carrément des taches aveugles. À terme, la vision centrale peut entièrement disparaître.
La dégénérescence maculaire peut survenir en deux temps : après la forme « sèche », celle de l’atrophie et des cicatrices, suit parfois la forme « humide », où des vaisseaux sanguins anormaux se forment sur la macula, ce qui précipite la perte de vision. Des injections permettent de renverser les effets de la forme humide, mais pas ceux de la forme sèche. La prise d’un cocktail de vitamines et de minéraux peut par contre ralentir cette dernière.
Des pertes de contrastes, une altération de la vision périphérique, des éblouissements nocturnes, des distorsions ou des taches aveugles dans notre vision centrale devraient nous inciter à consulter rapidement.
S’il est impossible de nous prémunir contre les répercussions du temps sur nos yeux, maintenir un poids santé, cesser de fumer et traiter l’hypertension peuvent grandement aider à retarder l’apparition de cataractes ou la dégénérescence maculaire. Des recherches laissent croire que cela aurait aussi un effet positif sur le glaucome.
Protéger les yeux des rayons UV contribue également à réduire de façon notable les risques de cataracte et de DMLA.
À partir de 40 ans, passer tous les deux ans un examen de l’œil avec un optométriste est une bonne habitude à prendre, puisqu’une détection précoce est bénéfique pour ces trois troubles — on gagne tout particulièrement à le faire pour le glaucome et la dégénérescence maculaire, s’il y a des cas dans notre famille. Ainsi, on pourra s’éviter bien des désagréments !
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Source; https://lactualite.com/ journaliste Catherine Pelchat
Ocutrx a annoncé le casque OcuLenz AR/XR destiné aux personnes souffrant de dégénérescence maculaire. Le casque remodèle activement les images en direct du monde autour des zones de perte de vision, ce qui permet aux utilisateurs de voir une image complète du monde.
Ocutrx a annoncé le casque OcuLenz AR/XR pour les patients atteints de dé
Ocutrx a annoncé le casque OcuLenz AR/XR destiné aux personnes souffrant de dégénérescence maculaire. Le casque remodèle activement les images en direct du monde autour des zones de perte de vision, ce qui permet aux utilisateurs de voir une image complète du monde.
Ocutrx a annoncé le casque OcuLenz AR/XR pour les patients atteints de dégénérescence maculaire. Ce casque innovant s'appuie sur les casques de réalité augmentée utilisés aujourd'hui, tels que le Microsoft HoloLens 2
Les casques ordinaires ne font que projeter une image sur ce qu'une personne voit dans le monde réel, mais ne compensent pas la perte de vision. Les patients atteints de dégénérescence maculaire ne peuvent rien voir dans certaines zones de leur champ de vision, et l'OcuLenz remodèle activement le monde réel autour de ces défauts visuels à l'aide de la réalité médiatisée par ordinateur (CMR). Bien que l'image finale soit déformée, les patients peuvent tout voir, ce qui leur permet d'avoir une meilleure qualité de vie.
L'Ocutrx affiche une image de 2,5K par œil, ce qui le place au même niveau qu'un HoloLens 2 utilisé par les agents de maintenance aéronautique, avec un champ de vision de 60 degrés à l'horizontale et de 40 degrés à la verticale. Bien que ce champ ne soit pas aussi large que le champ de vision normal d'une personne, qui est d'au moins 90 degrés horizontalement et 60 degrés verticalement, un utilisateur peut voir une image plus large avec un Ocutrx qu'avec les casques de réalité augmentée actuels. Les écrans sont pilotés par un processeur Qualcomm Snapdragon XR2 optimisé pour la réalité artificielle, mixte et virtuelle. Les médecins peuvent surveiller à distance votre flux vidéo virtuel via des connexions Wi-Fi et cellulaires.
La liste d'attente d'OcuLenz est maintenant ouverteet le lancement est prévu pour le premier semestre 2024.
Source: www.notebookcheck.biz
Vous connaissez le dicton : les yeux sont les fenêtres de votre âme. Mais au fil des années, vous constaterez peut-être que vos fenêtres deviennent un peu troubles. Il est normal de ressentir des changements de vision graduels à mesure que vous vieillissez, tandis que d’autres changements de vision plus soudains peuvent être le signe d’
Vous connaissez le dicton : les yeux sont les fenêtres de votre âme. Mais au fil des années, vous constaterez peut-être que vos fenêtres deviennent un peu troubles. Il est normal de ressentir des changements de vision graduels à mesure que vous vieillissez, tandis que d’autres changements de vision plus soudains peuvent être le signe d’un problème médical nécessitant une attention particulière.
À mesure que le nombre de bougies sur votre gâteau d’anniversaire augmente, il en va de même pour votre risque de maladies oculaires et les maladies. Mais vous pouvez prendre certaines mesures pour préserver la santé de vos yeux vieillissants.
Connaissez votre niveau de risque
Savoir quels éléments affectent votre vision et comment identifier les symptômes est l’un des moyens les plus efficaces de rester au top de votre santé oculaire.
Si vous travaillez dans un emploi où vous regardez un écran d’ordinateur toute la journée, vous êtes probablement déjà familier avec la fatigue et la tension oculaires qui provoquent parfois une vision floue temporaire. Faites des pauses oculaires au moins toutes les 20 minutes et envisagez de porter une paire de lunettes bloquant la lumière bleue lorsque vous travaillez. Si vous travaillez à l’extérieur où le soleil peut endommager vos yeux ou dans une installation où des objets pourraient entrer en contact avec vos yeux, assurez-vous de porter des lunettes de protection appropriées et de réagir rapidement en cas de blessure.
Et n’oubliez pas votre histoire familiale. Il existe plus de 350 maladies oculaires qui sont considérées comme héréditaires. Bien que vous ne puissiez pas modifier votre génétique, en être conscient vous aidera à identifier les symptômes ou à rechercher des soins préventifs.
Faites vérifier vos yeux souvent
Les examens de la vue ne sont peut-être pas ce que vous attendez le plus, mais ils devraient figurer en bonne place sur la liste des choses importantes à faire en vieillissant. Que vous ayez ou non des antécédents familiaux de problèmes de vision, des examens de la vue réguliers peuvent vous aider à identifier les problèmes tôt avant qu’ils ne s’aggravent.
L’Académie américaine d’ophtalmologie recommande des examens de la vue au moins tous les ans ou deux après 65 ans. Les problèmes oculaires liés à l’âge comme la cataracte, la rétinopathie diabétique, le glaucome et la dégénérescence maculaire peuvent être identifiés tôt par un ophtalmologiste.
Portez des lunettes appropriées
Les rayons UV du soleil peuvent être nocifs pour les yeux et endommager votre vision. Selon les National Institutes of Health des États-Unis, une lumière UV excessive a été associée à un risque plus élevé de cataracte ou même de cancer des paupières. Portez un chapeau approprié et des lunettes de soleil qui bloquent au moins 99 % des rayons UVA et UVB.
Si vous portez des lunettes de vue ou des lentilles de contact, ou même une paire de lecteurs en vente libre, soyez proactif en mettant régulièrement à jour vos lunettes. L’ordonnance dont vous aviez besoin à ce moment-là peut être différente de celle dont vous avez besoin actuellement. Et même si ces lecteurs en vente libre avaient fait l’affaire il y a un an, vous aurez peut-être besoin d’un peu plus d’aide maintenant.
Prenez soin de votre corps
Bien que des facteurs environnementaux externes jouent certainement un rôle, une grande partie de la santé de vos yeux vient de l’intérieur.
Une alimentation composée des meilleurs aliments pour des yeux sains peut aider à fournir à votre corps les nutriments dont il a besoin pour une santé oculaire optimale. Cela inclut des choses comme les amandes, le brocoli, les carottes, les œufs, le kiwi, les légumes-feuilles, le saumon et les graines de tournesol qui sont faciles à incorporer aux repas. Une bonne alimentation favorise également une glycémie et un poids corporel sains, ce qui réduit le risque de diabète. Selon les Centers for Disease Control and Prevention, 90 % des cas liés au diabète la cécité est évitable.
Si vous fumez, c’est le moment d’arrêter. Parmi les nombreuses autres maladies auxquelles le tabagisme est associé, les affections oculaires liées au tabagisme sont courantes. La dégénérescence maculaire et la cataracte sont deux des plus grandes menaces. En tant que fumeur, vous êtes deux fois plus susceptible de développer une dégénérescence maculaire liée à l’âge et deux à trois fois plus susceptibles de développer des cataractes que les non-fumeurs, selon le CDC.
Source : https://news-24.fr/Journaliste; Gaspar Bazinet
Selon vos préférences gustatives, certaines épices peuvent être des incontournables de votre garde-manger. Origan, poivre de Timut, cannelle… Mais l’on parle ici d’une épice moins courante que vous ne gardez peut-être pas en stock. Il s’agit du safran ! Peut-être parce que vous ne l’avez pas encore essayé et que vous ne savez pas avec q
Selon vos préférences gustatives, certaines épices peuvent être des incontournables de votre garde-manger. Origan, poivre de Timut, cannelle… Mais l’on parle ici d’une épice moins courante que vous ne gardez peut-être pas en stock. Il s’agit du safran ! Peut-être parce que vous ne l’avez pas encore essayé et que vous ne savez pas avec quels plats il se marie le mieux ? Ou peut-être parce qu’elle est connue pour être l’épice la plus chère au monde ? Deux diététiciennes, Gaby Vaca-Flores et Maya Feller, dont les propos ont été relayés par le site Well and Good, partagent les bienfaits du safran pour la santé.
« Le safran est composé de quatre ingrédients actifs : la crocine, la crocétine, le safranal et la picrocrocine. La crocine, un caroténoïde, est responsable de sa couleur jaune/rouge vif », indique Feller.
Le safran est associé à plusieurs bienfaits pour la santé, que la diététicienne attribue en grande partie à ses propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires.
« L’un des principaux bienfaits du safran sur la santé est de soutenir l’humeur« , explique Vaca-Flores. « Plus précisément, il est bénéfique pour améliorer l’humeur des personnes souffrant de dépression légère à modérée.«
Selon une étude, les adultes ayant pris un supplément de safran ont présenté des symptômes de dépression considérablement réduits par rapport à un groupe placebo. Étonnamment, le safran s’est également révélé aussi efficace que les médicaments antidépresseurs. Vaca-Flores dit que le safran peut être votre allié contre les changements d’humeur indésirables comme l’irritabilité, avec des effets indésirables minimes.
Compte tenu de sa forte teneur en antioxydants, l’épice est « associée à une série de bienfaits pour la santé, notamment le soutien cognitif et la protection contre le stress oxydatif », poursuit Vaca-Flores. Feller ajoute que les composés actifs du safran seraient cardioprotecteurs et neuroprotecteurs. De plus en plus de recherches démontrent les bienfaits du safran pour aider à prévenir et parfois même traiter diverses maladies liées à l’âge, allant de la dégénérescence maculaire et du glaucome aux maladies d’Alzheimer et de Parkinson.
Source :https://www.grazia.fr/
À 22 ans, l'athlète handisport de l'US Talence s'entraîne pour les Jeux paralympiques de 2024. Déjà multi médaillée, elle a aussi un message à faire passer au sujet du handicap.
La voix posée, elle raconte son histoire, qui en inspirerait plus d’un. Elle décrit humblement son parcours, et le message qu’elle souhaite faire passer. À 22 an
À 22 ans, l'athlète handisport de l'US Talence s'entraîne pour les Jeux paralympiques de 2024. Déjà multi médaillée, elle a aussi un message à faire passer au sujet du handicap.
La voix posée, elle raconte son histoire, qui en inspirerait plus d’un. Elle décrit humblement son parcours, et le message qu’elle souhaite faire passer. À 22 ans, Célia Terki cumule les médailles d’or et d’argent dans sa pratique, l’athlétisme, et souhaite un jour créer une association pour les déficients visuels et les aveugles. Son prochain objectif ? Les Jeux paralympiques 2024.
La jeune athlète, originaire de Lyon, évolue au sein de l’US Talence. Son lien au sport remonte à son enfance, alors qu’on lui diagnostique une dégénérescence maculaire à l’âge de 9 ans. « J‘ai deux tâches au centre de ma vision, qui grossissent, » explique la sprinteuse. « Ma rétine est en train de se détruire petit à petit. » La maladie lui créé également une grande sensibilité à la lumière, qui lui cause des migraines.
Ses premiers symptômes « apparaissent à l’école. » Il lui faudra attendre « plus d’un an, » avant qu’un diagnostic ne soit posé, personne ne semblant prendre au sérieux ses douleurs à la tête. « J’ai vécu beaucoup de harcèlement, parce que je commençais à porter mes lunettes de soleil, et que je demandais beaucoup plus d’attention aux profs. » Puis, tout s’enchaîne. Elle est basculée dans une école spécialisée à Villeurbanne (Rhône), où elle découvre la pratique du sport : « J’y ai mis toute ma frustration. Je ne sais pas pourquoi, ça m’est venu directement. »
Elle s’essaye au torball (un sport de ballon destiné aux personnes déficientes visuelles), à l’escalade ou encore à la natation. Puis la course. « Pendant ma première course, j’étais guidée par ma prof de sport, parce que j’avais un peu peur de courir. Et au final, ça s’est super bien passé. » Son école l’encourage à s’inscrire dans un club d’athlétisme, et l’aide même à financer sa participation. « Un jour, il y a eu un stage national où on se faisait repérer par des entraîneurs. Il y avait un pôle sur Bordeaux. Et l’entraîneur du pôle m’a demandé si je voulais bien l’intégrer. »
En 2018, encore adolescente, elle intègre alors le CREPS de Bordeaux, avant de participer l’année suivante aux Jeux Européens de la Jeunesse. Puis à ses premiers championnats d’Europe en 2020, et les championnats d’Europe Elite en 2021. « Le sport m’a sauvé la vie, » affirme la jeune femme. « Parce que je n’avais plus d’espoir. Le médecin m’a dit que j’allais perdre la vue, je ne savais plus quoi faire de ma vie. »
Elle cumule aujourd’hui un palmarès bien rempli : championne de France du 200 mètres en 2020, médaille d’or au meeting international Elite de Dubaï sur 400 mètres en 2022, première au meeting international Elite de Tunisie sur 100 et 400 mètres, médaille d’or au meeting international Elite de Suisse sur 400 mètres… entre autres.
Les championnats d’Europe Elite l’ont particulièrement aidée, alors qu’elle venait de perdre son père cette même année, raconte-t-elle : « Je n’avais plus du tout la force de continuer. J’étais vraiment au fond du gouffre. Et l’athlétisme m’a encore sauvée. »
Aujourd’hui, le quotidien de la sportive est rythmé par les entraînements en vue des Jeux Olympiques : « C’est beaucoup de sacrifices. Tu dors athlé, tu manges athlé, tu vis athlé. » Mais elle l’affirme : cet objectif lui « tient à coeur. C’est aussi un combat pour montrer que je suis encore là. »
Si elle ne vit pas de son activité sportive, la jeune femme peut compter sur le soutien de sa famille. Après s’être lancé dans un BTS Management commercial opérationnel (MCO), elle a préféré arrêter pour se consacrer à ses entraînements. « Je n’arrivais plus à suivre, et les cours n’étaient pas adaptés pour moi, » explique-t-elle. « En parallèle, j’essaye de faire des petites formations sur mon PC. Je fais aussi un peu de mannequinat. »
Au-delà de ses objectifs personnels, Célia Terki tient également à faire passer un message sur le handicap, notamment en intervenant dans les écoles. « J‘aurais adoré voir des personnes paralympiques venir dans mon école et nous dire qu’il y a de l’espoir, » affirme celle qui a elle-même été harcelée à l’école.
« J‘ai envie d’envoyer une image positive aux autres, qui sont peut-être dans la même situation que moi, » explique-t-elle. « Ne restez pas dans votre canapé, à ne rien faire, à écouter ceux qui vous disent que vous ne pouvez rien faire. Parce que ce n’est pas le cas. »
A-t-elle peur de concurrents en particulier pendant les JO ? « Non, moi je les attends, » répond-t-elle fièrement.
Une revanche, alors que sa déficience visuelle impacte grandement sa vie de tous les jours. « Je n’ai pas la même vie que les autres filles de 22 ans, » résume-t-elle. Faire ses courses lui prend « presque deux heures » et passer son permis, ou faire du vélo ou de la trottinette seraient pour elle « trop dangereux. »
Source: https://aqui.fr/
Photo crédit: Aurélien Marquot
Le nombre d’enfants qui ont besoin de lunettes pour voir des objets éloignés – une condition connue sous le nom de myopie – est en augmentation et les projections actuelles suggèrent que d’ici 205050 pour cent de la population mondiale sera touchée.
Dans les années 1970, 25 pour cent des Américains souffraient de myopie; mais à peine tre
Le nombre d’enfants qui ont besoin de lunettes pour voir des objets éloignés – une condition connue sous le nom de myopie – est en augmentation et les projections actuelles suggèrent que d’ici 205050 pour cent de la population mondiale sera touchée.
Dans les années 1970, 25 pour cent des Américains souffraient de myopie; mais à peine trente ans plus tard, la prévalence est passée à 42 pour cent. Si la génétique est responsable de certains cas de myopie, les scientifiques pensent désormais que l’environnement joue également un rôle majeur. Les chercheurs commencent désormais à démêler les raisons de cette montée en flèche des taux et à trouver des moyens de ralentir et d’inverser le déclin de la vision d’un enfant, ce qui est important pour sa qualité de vie globale et son risque de développer une perte de vision plus tard dans la vie.
« Les enfants deviennent myopes à un rythme plus rapide que jamais auparavant », déclare Nick Onken, optométriste à l’Université d’Alabama, Birmingham. “C’est plus rapide que même la génétique seule ne peut l’expliquer.”
“Nous savons depuis des décennies que plus une personne est myope”, explique Onken, “plus elle risque de perdre la vue lorsqu’elle vieillit, en raison de conditions telles que le décollement de la rétine, le glaucome, la dégénérescence maculaire et la cataracte.”
Qu’arrive-t-il à l’œil en cas de myopie
La myopie apparaît souvent pendant l’enfance, en raison d’une inadéquation entre la vitesse de croissance de l’œil et l’endroit où la lumière se concentre sur la rétine.
“La myopie ou la myopie est causée par le fait que l’œil est trop long”, explique Carolyn Lederman, un ophtalmologiste basé à Purchase, New York. Lorsque le globe oculaire entier s’allonge plus qu’il ne le devrait, cela crée une situation dans laquelle les composants de focalisation de l’œil (la cornée et le cristallin) ciblent la lumière juste devant la rétine, plutôt que sur la rétine, ce qui fait que les objets éloignés se déplacent. paraissent floues.
Il s’avère que l’âge auquel un enfant devient myope pour la première fois est souvent un indicateur de la mauvaise vision qui en résultera.
“Le plus grand indicateur de votre degré de myopie est quand vous devenez myope », dit Jeffrey Walline, optométriste et doyen associé de la recherche à l’Ohio State University. Comme l’explique Walline, plus un enfant est jeune lorsqu’il devient myope pour la première fois, plus la situation risque d’empirer, en raison du temps que le globe oculaire passe à grandir plus longtemps qu’il ne le devrait. Pour la plupart des enfants, leur vision se stabilise à la fin de l’adolescence, bien que pour une minorité d’individus, ce processus dure jusqu’au milieu de la vingtaine.
En plus d’avoir besoin de lunettes ou de lentilles correctrices pour voir correctement, les personnes myopes courent également un risque beaucoup plus élevé de développer des problèmes de vision plus tard dans la vie. Comme Anne Shue, ophtalmologiste à l’Université de Stanford, explique que lorsque l’œil est juste un peu plus gros qu’il ne devrait l’être, cela l’étire, comme la pâte à pizza, ce qui peut affecter les nerfs et les vaisseaux sanguins très délicats de la rétine qui y sont attachés. l’arrière de l’œil. “En vieillissant, cela peut tirer sur la rétine”, provoquant des problèmes tels que le glaucome, le décollement de la rétine ou la dégénérescence maculaire de l’œil, explique Shue.
Les taux de myopie augmentent
Même si les raisons de l’augmentation des taux sont complexes et qu’il y a probablement un certain nombre de facteurs qui y contribuent, un nombre d’études soulignent systématiquement le manque de temps passé à l’extérieur comme étant l’un des principaux facteurs de risque de développer une myopie.
Une théorie expliquant le lien entre le manque de temps passé à l’extérieur et un risque accru de développer une myopie est l’effet de la lumière extérieure sur la stimulation de la libération de dopamine, qui agit comme un signal pour ralentir la croissance des yeux. “Une lumière plus vive inhibe davantage la croissance des yeux”, ce qui empêche l’œil de grandir trop longtemps, explique Ian Morgan professeur à l’Université nationale d’Australie, dont les recherches portent sur la myopie.
Ce qui est moins clair est l’effet du temps passé devant un écran et à proximité du travail, comme la lecture, sur le risque de développer une myopie. “Cette augmentation des taux de myopie a commencé avant l’introduction du premier iPhone”, explique David Bernsten, optométriste à l’Université de Houston, dont les recherches portent sur la myopie. Certaines études suggèrent que le temps passé devant un écran et le travail à proximité sont liés à un risque plus élevé de développer une myopie, tandis que d’autres études ne montrent pas de lien.
La gravité peut être réduite
Pour déterminer si des interventions pourraient ralentir les changements de vision, les chercheurs ont lancé le projet Étude BLINK dans laquelle 294 enfants âgés de 7 à 11 ans ont reçu des lentilles de contact – certaines lentilles de contact ordinaires unifocales, d’autres bifocales – dont il a été démontré dans des études antérieures qu’elles ralentissaient la progression de la myopie. (Bernsten et Walline ont tous deux participé à l’étude BLINK.)
Ces lentilles de contact spéciales, qui sont généralement prescrites aux patients âgés qui ont besoin de lunettes bifocales, concentrent la majeure partie de la lumière sur la rétine, donnant au porteur une vision centrale claire, tout en permettant à une petite quantité de lumière dans la vision périphérique de se concentrer juste en face. de la rétine. Ce léger flou de la vision périphérique semble agir comme un signal à l’œil pour ralentir sa croissance. “Je n’ai rien remarqué de très différent [about my vision]”, tout en portant ces lentilles, explique Katie Krueger, étudiante à l’Université Lee de Cleveland, Tennessee, qui a participé à l’étude BLINK. Le fait qu’elle n’ait pas détecté de différence indique que sa vision était pleinement fonctionnelle avec les lentilles de contact.
Pour Krueger, même si sa vision s’est un peu détériorée au cours des années suivantes, elle s’est finalement stabilisée, la laissant avec une légère myopie.
Dans d’autres études, il a été démontré que l’utilisation quotidienne d’un collyre spécial, appelé atropine à faible concentration, ralentir la progression de la myopie. À des concentrations régulières d’environ 1 pour cent, l’atropine est utilisée pour dilater la pupille lors des examens de la vue. Mais à de très faibles concentrations, généralement entre 0,01 et 0,05 pour cent de solution, il a été démontré que les gouttes d’atropine juste avant de se coucher ralentissent la croissance du globe oculaire. Cependant, à l’heure actuelle, des questions subsistent quant à quelle dose est la plus efficace, et si l’efficacité varie selon les enfants. Bien que les détails soient encore peaufinés, il s’agit d’un traitement prometteur.
“L’utilisation de l’un ou l’autre de ces traitements semble ralentir le taux de croissance de l’œil d’environ 50 à 60 pour cent”, explique Onken. “Nous ne pouvons pas arrêter le train, mais nous pouvons le ralentir.”
Arrêter la myopie avant qu’elle ne se développe
Les chercheurs commencent à trouver des moyens d’arrêter la progression de la myopie avant qu’elle ne commence. Pour ce faire, ils tentent de prédire quels enfants développeront une myopie. « La croissance oculaire la plus rapide se produit juste avant que vous deveniez myope », explique Walline.
Walline et ses collaborateurs travaillent à la mise en place d’essais cliniques visant à prévenir ou à retarder l’apparition de la myopie chez les enfants, en utilisant des gouttes oculaires d’atropine à faible dose. Cette étude sera similaire à d’autres qui ont été menées dans le passé, en dehors des États-Unis, qui montrent que des gouttes oculaires d’atropine à faible dose peuvent retarder l’apparition de la myopie chez les enfants. Ensuite, si un enfant développe une myopie, le traitement pour la ralentir est le même que pour prévenir son apparition.
L’objectif est de pouvoir un jour proposer ces options à tous les enfants à risque de développer une myopie. “Cela présente d’énormes avantages en termes de vie pratique et d’énormes avantages en termes de conséquences potentielles à long terme”, déclare Morgan. “Je pense que nous verrons au cours des 10 prochaines années que cela deviendra une pratique optométrique standard.”
Source : https://news-24.fr/ journaliste: Gaspar Bazinet
Deux médicaments contre la dégénérescence maculaire viennent d’être approuvés aux États-Unis et d’autres molécules sont en essais cliniques. La dégénérescence maculaire est « une maladie de l’œil provoquée par une atteinte à la macula qui mène à la perte graduelle ou soudaine de la vision centrale », selon l’Association québécoise de la
Deux médicaments contre la dégénérescence maculaire viennent d’être approuvés aux États-Unis et d’autres molécules sont en essais cliniques. La dégénérescence maculaire est « une maladie de l’œil provoquée par une atteinte à la macula qui mène à la perte graduelle ou soudaine de la vision centrale », selon l’Association québécoise de la dégénérescence maculaire. La macula est la zone centrale de la rétine.
« Cette année, il y a eu deux approbations par la FDA [l’agence de réglementation américaine des médicaments] de médicaments qui empêchent le système immunitaire d’attaquer la rétine », explique Mike Sapieha, qui dirige l’unité de recherche sur les maladies neurovasculaires de l’œil à l’hôpital Maisonneuve-Rosemont de Montréal. « Ça s’ajoute à des médicaments apparus depuis 15 à 20 ans et à la validation de suppléments qui diminuent le risque de dégénérescence maculaire. » Ces suppléments combinent de la vitamine C et des minéraux.
Les médicaments qui existent depuis le début du millénaire ralentissent la progression de la forme « humide », qui représente 10 % à 20 % des cas de la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA). Les deux nouveaux médicaments sont les premiers à aider en cas de dégénérescence maculaire « sèche ».
Dans tous les cas, la DMLA implique le dépôt de particules derrière la rétine, qui causent de l’inflammation et une déformation de la rétine. La forme humide, qui progresse plus rapidement que la forme sèche, ajoute des problèmes vasculaires qui empirent l’inflammation.
Les nouveaux médicaments pour la DMLA sèche sont en attente d’approbation au Canada. Mais M. Sapieha note qu’il faut des injections de ces nouveaux médicaments chaque mois, ce qui pourrait compliquer l’adhérence au traitement. Une minorité de patients traités ont aussi vu leur DMLA empirer. Son laboratoire travaille sur plusieurs autres molécules. Un essai clinique de phase 2, l’avant-dernière étape avant l’approbation, vient d’avoir lieu pour une de ces molécules. « On a des résultats positifs après une injection unique éliminant les cellules endommagées qui causent l’inflammation. »
À l’Institut de recherches cliniques de Montréal (IRCM), le neurobiologiste Michel Cayouette travaille quant à lui sur des injections de cellules souches remplaçant des cellules de soutien de la rétine endommagées par la DMLA. D’autres équipes dans le monde travaillent sur la même approche pour les cellules photoréceptrices de la rétine, note-t-il.
D’autres chercheurs québécois travaillent plus en amont. « Ma recherche porte sur la manière dont les dépôts de particules poussent sur la rétine », explique l’ophtalmologue Miguel Burnier, du Centre universitaire de santé McGill (CUSM). Son laboratoire a aussi identifié des portions bleues de la lumière du soleil qui endommagent la rétine.
Il est possible qu’en se protégeant de cette lumière bleue, les gens plus à risque soient un peu protégés.
Miguel Burnier, ophtalmologue du Centre universitaire de santé McGill
Vincent Raymond, généticien au Centre hospitalier de l’Université Laval, étudie quant à lui des gènes qui doublent ou même triplent le risque de DMLA. « Si vous avez un frère ou une sœur qui a la DMLA, on peut vous dire si votre risque augmente ou pas », dit le Dr Raymond.
Le tabagisme est le facteur de risque le plus important pour la DMLA, augmentant le risque de dix fois. La consommation de poisson, ou de suppléments alimentaires dits ARED (Age-Related Eye Disease), diminue pour sa part le risque du quart, selon la grande étude américaine AREDS.
Source : https://www.lapresse.ca/
Journaliste: Mathieu Perreault
image: wikipédia
Les cataractes sont l’une des principales causes de cécité dans le monde. Elles se produisent lorsque le cristallin de l’œil devient trouble, ce qui entra
Les cataractes sont l’une des principales causes de cécité dans le monde. Elles se produisent lorsque le cristallin de l’œil devient trouble, ce qui entraîne une vision floue et une diminution de la clarté visuelle. Les cataractes sont généralement liées au vieillissement, mais d’autres facteurs tels que l’exposition excessive au soleil, le tabagisme et le diabète peuvent également augmenter le risque de développement de cataractes.
Heureusement, la chirurgie de la cataracte est une procédure courante et efficace qui permet de restaurer la vision chez de nombreux patients. Au cours de cette intervention, le cristallin trouble est retiré et remplacé par une lentille artificielle, ce qui améliore considérablement la clarté de la vision.
La dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) est une affection oculaire qui affecte principalement les personnes âgées. Elle se caractérise par une détérioration progressive de la macula, la partie de la rétine responsable de la vision centrale nette. Les personnes atteintes de DMLA peuvent éprouver des difficultés à lire, à reconnaître les visages et à conduire en raison de la perte de vision centrale.
Malheureusement, il n’existe pas de traitement curatif pour la DMLA. Cependant, des mesures peuvent être prises pour ralentir sa progression et préserver la vision. Les suppléments multivitaminés contenant des antioxydants et des vitamines peuvent être bénéfiques dans les stades intermédiaires de la maladie, tandis que les injections de médicaments dans l’œil peuvent être utilisées pour traiter les formes plus avancées de la DMLA.
Le glaucome est une maladie oculaire silencieuse qui peut entraîner la cécité si elle n’est pas traitée. Il est souvent causé par une augmentation de la pression intraoculaire, qui endommage le nerf optique et entraîne une perte progressive de la vision périphérique. Le glaucome est souvent appelé « le voleur silencieux de la vue » car il peut progresser lentement et passer inaperçu jusqu’à ce que des dommages permanents soient causés.
La prévention et le dépistage précoce sont essentiels pour prévenir la cécité due au glaucome. Lors d’un examen de la vue régulier, votre ophtalmologiste effectuera un test de pression oculaire pour détecter tout signe de glaucome. Si le glaucome est diagnostiqué, des médicaments, des gouttes oculaires ou même une intervention chirurgicale peuvent être recommandés pour réduire la pression intraoculaire et ralentir la progression de la maladie.
Outre les affections oculaires mentionnées ci-dessus, il existe d’autres causes de cécité et de perte de vision, telles que la rétinopathie diabétique, les maladies rétiniennes héréditaires et les traumatismes oculaires graves.
La rétinopathie diabétique est une complication du diabète qui peut endommager les petits vaisseaux sanguins de la rétine, entraînant une perte de vision progressive. La meilleure façon de prévenir la cécité due à la rétinopathie diabétique est de maintenir une glycémie et une pression artérielle stables, de suivre un régime alimentaire sain et de faire régulièrement des examens de la vue.
Les maladies rétiniennes héréditaires, telles que la rétinite pigmentaire, sont généralement causées par des mutations génétiques qui affectent la structure et la fonction de la rétine. Malheureusement, il n’existe pas de traitement curatif pour ces affections, mais des mesures peuvent être prises pour ralentir leur progression et aider les patients à mieux gérer leur perte de vision.
Enfin, les traumatismes oculaires graves, tels que les accidents de voiture ou les blessures sportives, peuvent entraîner une perte de vision partielle ou totale. Il est essentiel de protéger vos yeux en portant des lunettes de protection appropriées dans des situations à haut risque.
Bien que certaines causes de cécité ne puissent pas être évitées, il existe des mesures que vous pouvez prendre pour protéger votre vision et réduire votre risque de développer des affections oculaires graves. Voici quelques conseils pour maintenir une vision saine :
Faites des examens réguliers de la vue : Les examens de la vue réguliers permettent de dépister les problèmes oculaires à un stade précoce et de prendre les mesures nécessaires pour les traiter.
Protégez vos yeux du soleil : Portez des lunettes de soleil avec une protection UV lorsque vous êtes à l’extérieur, surtout pendant les heures de forte luminosité.
Maintenez une alimentation équilibrée : Une alimentation riche en antioxydants, en vitamines et en minéraux peut aider à prévenir les maladies oculaires liées à l’âge.
Ne fumez pas : Le tabagisme est un facteur de risque majeur pour de nombreuses affections oculaires, y compris les cataractes et la DMLA. Arrêter de fumer peut contribuer à préserver votre vision.
Protégez vos yeux des blessures : Utilisez des lunettes de protection appropriées lors de certaines activités à risque, comme le bricolage, le jardinage et les sports de contact.
En suivant ces conseils simples, vous pouvez prévenir la cécité et protéger votre vision tout au long de votre vie.
La cécité et la perte de vision sont des problèmes de santé importants qui peuvent avoir un impact considérable sur la qualité de vie d’une personne. Heureusement, de nombreuses causes de cécité sont évitables ou traitables si elles sont détectées suffisamment tôt. En prenant soin de vos yeux, en faisant des examens réguliers et en adoptant un mode de vie sain, vous pouvez prévenir les affections oculaires graves et protéger votre vision pour les années à venir. N’oubliez pas que vos yeux sont précieux, alors prenez-en soin et consultez un professionnel de la santé oculaire si vous rencontrez des problèmes de vision. Votre vision est un cadeau précieux, ne la prenez pas pour acquise.
Source: https://www.pressesante.com/
Julie Luyckx est malvoyante. Au Panorama, sur les hauteurs de la citadelle de Namur, elle décrit le paysage qu’elle perçoit. "En contrebas, je vois quelque chose de clair, c’est la Meuse. Au milieu il y a une tache sombre, ça doit être l’île Vas-t’y-Frotte qu’on me décrit depuis mon enfance. Et le reste… C’est noir". Julie a une très fort
Julie Luyckx est malvoyante. Au Panorama, sur les hauteurs de la citadelle de Namur, elle décrit le paysage qu’elle perçoit. "En contrebas, je vois quelque chose de clair, c’est la Meuse. Au milieu il y a une tache sombre, ça doit être l’île Vas-t’y-Frotte qu’on me décrit depuis mon enfance. Et le reste… C’est noir". Julie a une très forte sensibilité à la lumière. Elle doit porter des lunettes opacifiantes pour éviter de terribles migraines, son champ visuel est très limité et flou.
Ce dimanche 8 octobre, une campagne de sensibilisation à la malvoyance est lancée en Wallonie et à Bruxelles "Ça nous regarde".
Quatre panneaux pour adopter le point de vue d’une personne malvoyante sont installés à Bruxelles et en Wallonie : au Mont des Arts, au Panorama de la citadelle à Namur, aux Jardins suspendus de Thuin et au point de vue du Tombeau du Géant à Botassart. Ces quatre panneaux correspondent à la vue de quatre malvoyants. Celui de Julie est installé à la citadelle de Namur.
"Il faut savoir que la grande majorité des maladies responsables de la malvoyance avancent à pas de loup" décrit Rafal Naczyk, porte-parole de l’asbl Eqla. Quatre maladies sont responsables d’une grande partie des malvoyances : la dégénérescence maculaire (DMLA), le glaucome, la rétinite et la rétinopathie. "Elles sont souvent asymptomatiques durant de nombreuses années et quand les premiers symptômes apparaissent, il est trop tard. Il n’existe pas ou peu de traitements curatifs. Il faut compter sur le préventif pour limiter voire arrêter les dégradations. Notre conseil c’est que quel que soit votre âge consultez un ophtalmologue une fois par an".
Source: https://www.rtbf.be/
C'est une alternative au chien guide, le robot chien. Car, en France, les personnes malvoyantes sont victimes de la pénur
C'est une alternative au chien guide, le robot chien. Car, en France, les personnes malvoyantes sont victimes de la pénurie de chiens guides. Il faut en effet un certain temps pour élever et dresser ces animaux de compagnie vertueux. Mais des étudiants de l'école polytechnique fédérale de Zurich (ETHZ) ont développé des petits robots qui pourraient accomplir les mêmes tâches et ainsi pallier la pénurie.
«L'objectif du projet 'RoboDog' est d'aider les personnes aveugles à s'orienter dans leur vie quotidienne», explique le doctorant Davide Plozza, auprès de nos confrères suisses de 20 minutes. «Nous avons utilisé un chien robotisé disponible dans le commerce et nous avons ajouté du matériel supplémentaire, notamment de nouveau capteurs et une unité de calcul supplémentaire», détaille-t-il. Une fois reprogrammés, ils sont capables de faire éviter des obstacles sur la chaussée, mais aussi des panneaux à hauteur de visage, par exemple.
En temps normal, les chiens guides sont remis aux aveugles bénéficiaires gratuitement. Pourtant, de leur naissance jusqu’à leur retraite, ils représentent un coût de 30 000 euros, si l’on prend en compte la formation, la nourriture et les soins, estime franceinfo. RoboDog, lui, a un coût fixe de 20 000 euros au départ, selon les chercheurs. Mais des baisses sont attendues au fur et à mesure du temps.
Si le développement de ce chien robotisé peut représenter une alternative moins coûteuse d’une part. Mais pourra d'autre part être utile lors d'opérations de sauvetage. «Je pense que ce robot peut faire mieux que les chiens, il peut même faire mieux que les humains dans des opérations de sauvetage critiques», se réjouit le professeur Michele Magno auprès de l’agence de presse Reuters. «Mais personnellement, j’achèterais quand même un chien.» En effet, les étudiants tiennent à souligner que ce projet ne vise pas à remplacer les chiens guides, mais plutôt les cannes blanches. Il reste une alternative afin de permettre une meilleure autonomie pour les malvoyants. Pour rappel, il y a plus d’un million de personnes malvoyantes en France, mais seulement 1 500 d’entre elles sont accompagnées d’un chien guide.
Source: https://www.capital.fr/
Dans les dernières heures, une information alarmante circule à propos d'une série de patients ayant perdu leur vue à l'
Dans les dernières heures, une information alarmante circule à propos d'une série de patients ayant perdu leur vue à l'Hôpital 20 Août. Selon les rapports, 16 patients auraient subi une perte de vision après avoir reçu un traitement par injection intra-vitréenne. L'établissement hospitalier a réagi en apportant des clarifications sur cette situation.
Les 16 patients en question, souffrant de maladies de la rétine et de problèmes de vision, ont été traités le 19 septembre par une injection vitréenne de "Bevacizumab", une procédure conforme aux normes en vigueur pour de tels traitements. Cette injection intra-oculaire est couramment utilisée pour traiter des affections telles que la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA), la rétinopathie diabétique et les occlusions veineuses rétiniennes.
Face aux inquiétudes grandissantes, la direction de l'Hôpital 20 Août a publié un communiqué officiel. Selon ce communiqué, deux patients ont manifesté des symptômes inquiétants tels que des rougeurs oculaires, des douleurs et une altération de la vision après l'injection. En réponse, tous les patients ayant reçu ce traitement le 19 septembre ont été convoqués et placés sous surveillance médicale pour recevoir les soins nécessaires.
L'établissement hospitalier a précisé que les résultats de la surveillance médicale ont révélé une nette amélioration chez tous les patients après le traitement. Cinq d'entre eux ont même été autorisés à quitter l'hôpital après avoir terminé leur traitement, tandis que les autres restent sous surveillance médicale et quitteront l'établissement dans les prochains jours.
Selon la direction de l'hôpital, cette méthode de traitement est largement recommandée par les sociétés médicales nationales d'ophtalmologie pour les patients souffrant de dégénérescence maculaire ou de rétinopathie diabétique. Elle est également utilisée dans les centres d'ophtalmologie du monde entier pour stopper la progression de la maladie et préserver ou stabiliser l'acuité visuelle.
L'Hôpital 20 Août a déclaré avoir ouvert une enquête médico-administrative afin de comprendre les circonstances de cet incident qu'il considère comme isolé. Les résultats de cette enquête devraient éclaircir les causes possibles de la perte de vision temporaire chez ces patients.
Un nouveau composé développé à l’Université de l’Illinois à Chicago pourrait potentiellement offrir une alternative aux injections pour les millions de personnes qui souffrent d’une maladie oculaire entraînant la cécité.
La dégénérescence maculaire humide liée à l’âge entraîne une perte de vision due à la croissance incontrôlée et à la
Un nouveau composé développé à l’Université de l’Illinois à Chicago pourrait potentiellement offrir une alternative aux injections pour les millions de personnes qui souffrent d’une maladie oculaire entraînant la cécité.
La dégénérescence maculaire humide liée à l’âge entraîne une perte de vision due à la croissance incontrôlée et à la fuite des vaisseaux sanguins à l’arrière de l’œil. Un nouveau papier dans Rapports cellulaires Médecine dirigée par la chercheuse Yulia Komarova de l’UIC, elle découvre qu’un inhibiteur à petite molécule peut inverser les dommages causés par la DMLA et favoriser les processus de régénération et de guérison.
Le médicament peut également être administré sous forme de collyres, ce qui constitue une amélioration par rapport aux traitements actuels contre la DMLA, qui nécessitent des injections répétées dans l’œil.
“L’idée était de développer quelque chose qui soit plus convivial pour le patient et ne nécessite pas de visite chez le médecin”, a déclaré Komarova, professeur agrégé de pharmacologie à l’UIC.
Le composé de Komarova cible une protéine appelée End Binding-3 dans les cellules endothéliales, qui tapissent l’intérieur des vaisseaux sanguins. Dans la nouvelle étude, les chercheurs ont examiné si l’inhibition de la fonction EB3 pouvait arrêter les fuites dommageables associées à la DMLA humide.
À l’aide de méthodes informatiques de conception de médicaments, l’équipe a développé un petit inhibiteur qui pourrait être administré en externe via des gouttes oculaires plutôt que par injection. Ils ont ensuite testé son efficacité sur des modèles animaux de DMLA humide, constatant qu’un traitement biquotidien réduisait les lésions oculaires en 2 à 3 semaines.
Une enquête plus approfondie a révélé que l’inhibiteur fonctionnait en annulant les modifications génétiques liées au vieillissement. Le vieillissement provoque une inflammation et une hypoxie de l’œil qui entraînent des modifications de l’expression des gènes associées aux effets cellulaires et aux symptômes de la DMLA humide. Komarova et ses collègues ont découvert que l’inhibiteur EB3 qu’ils ont développé a inversé ces changements épigénétiques, rétablissant ainsi l’expression des gènes à un état normal et sain.
“Nous réduisons les effets du facteur de stress sur les cellules endothéliales et améliorons les processus de régénération, accélérant ainsi la guérison”, a déclaré Komarova. “Cela peut être formidable pour le fonctionnement des cellules.”
Parce que les fuites de vaisseaux sanguins et le stress hypoxique sont également à l’origine de nombreuses autres conditions médicales, le groupe de Komarova souhaite tester l’inhibiteur sur des modèles de lésions pulmonaires aiguës, de rétinopathie diabétique, d’accident vasculaire cérébral, de maladie cardiaque et même des effets généraux du vieillissement sur le cerveau. Ils étudient également si une lentille implantable, semblable à une lentille de contact, pourrait administrer le médicament dans l’œil plus efficacement que des gouttes pour les yeux.
Outre Komarova, les auteurs de l’UIC sur l’article comprennent les co-premiers auteurs Quinn Lee, Wan Ching Chan et Xinyan Qu, ainsi que Ying Sun, Jonathan Le, Uzma Saqib, Mitchell Y. Sun, Kevin Kruse, Avik Banerjee, Ben Hitchinson, Melissa Geyer, Fei Huang, Victor Guaiquil, Amelia A. Mutso, Dr Mark Rosenblatt, Mark Maienschein-Cline, Vadim Gaponenko et Asrar Malik.
Source: https://www.crumpe.com/
La dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) peut désormais être traitée grâce à une lentille télescopique, a annoncé mardi l’UZ Brussel dans un communiqué. La semaine dernière, un chirurgien ophtalmologue de cet hôpital universitaire a inséré un "télescope miniature implantable" dans l’œil d’une personne souffrant de la maladie au de
La dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) peut désormais être traitée grâce à une lentille télescopique, a annoncé mardi l’UZ Brussel dans un communiqué. La semaine dernière, un chirurgien ophtalmologue de cet hôpital universitaire a inséré un "télescope miniature implantable" dans l’œil d’une personne souffrant de la maladie au dernier stade, pour la première fois en Belgique.
"Il s’agit d’une grande avancée pour les patients qui sont au dernier stade de la DMLA, souvent des personnes âgées de 70 ou 80 ans qui voient leur qualité de vie sévèrement impactée", a indiqué le chirurgien ophtalmologue qui a réalisé l’opération, Giuseppe Fasolino.
La DMLA est une "affection de la macula, une tache jaune, située au centre la rétine", est-il précisé dans le communiqué. La maladie oculaire entraîne une détérioration progressive de la vision.
Il s’agit, d’ailleurs, de l’une des affections oculaires les plus répandues chez les personnes de plus de 65 ans. Grâce à l’implantation de la lentille télescopique, "des images de haute résolution sont projetées sur des photorécepteurs sains autour de la macula, restaurant ainsi la vision centrale." "Cette implantation est une première étape. Après l’intervention, les patients doivent apprendre à utiliser la lentille et à exercer leurs yeux au cours d’une série de séances de revalidation", a précisé Giuseppe Fasolino.
Le traitement, qui n’est pas remboursé en Belgique, est uniquement disponible pour la patientèle qui n’a pas été opérée de la cataracte et qui est au dernier stade de la DMLA, pour les deux yeux.
Source: https://www.rtbf.be/
"A force de lire dans le noir, tu vas t'abîmer les yeux !" Qui n’a jamais entendu cette mise en garde ? Mais en réalité, lire la nuit ne dégrade pas forcément la vision… Le point sur cette idée reçue avec le Dr Abou-Ganem, ophtalmologue.
Pour prolonger la soirée, nous sommes nombreux, à avoir, enfant, dévoré des bouquins sous la couette,
"A force de lire dans le noir, tu vas t'abîmer les yeux !" Qui n’a jamais entendu cette mise en garde ? Mais en réalité, lire la nuit ne dégrade pas forcément la vision… Le point sur cette idée reçue avec le Dr Abou-Ganem, ophtalmologue.
Pour prolonger la soirée, nous sommes nombreux, à avoir, enfant, dévoré des bouquins sous la couette, dans une sorte de demi-obscurité. Un exercice pas toujours évident, tant les yeux piquent face aux caractères sombres. Mais lire dans le noir entraîne-t-il réellement un risque pour la vision ? Réponses.
Étonnamment, lire avec peu de lumière n’est pas forcément nocif pour vos yeux.
"Lire quand il fait sombre n’abîme pas la vue et n’entraîne pas de baisse d’acuité visuelle. Cela demande simplement un effort supplémentaire qui peut fatiguer les yeux et les dessécher", confie le Dr Abou-Ganem, l'œil devant forcer pour compenser le manque de luminosité.
Dans le noir, l’oeil va en effet moins cligner, ce qui peut le fatiguer et entrainer une sécheresse oculaire. Dans le pire des cas, une migraine peut apparaître. Mais vous ne risquez pas de devenir plus myope en feuilletant vos magazines favoris dans la pénombre.
En revanche, lire sur une tablette ou un téléphone, peut, de jour comme de nuit, abîmer votre vue.
Et pour cause : les écrans - qui diffusent la fameuse lumière bleue, nocive pour nos yeux - entraînent des troubles oculaires plus ou moins handicapants : vision floue, photophobie (sensibilité excessive des yeux à la lumière, ndlr), myopie, problème de coordination des yeux…
Le développement de GT005 sera arrêté dans l’atrophie géographique à la suite d’une dégénérescence maculaire sèche liée à l’âge. Cela survient après que le comité indépendant de surveillance des données a mené une première évaluation bénéfice-risque du programme HORIZON de phase 2. L’instance
Le développement de GT005 sera arrêté dans l’atrophie géographique à la suite d’une dégénérescence maculaire sèche liée à l’âge. Cela survient après que le comité indépendant de surveillance des données a mené une première évaluation bénéfice-risque du programme HORIZON de phase 2. L’instance a en effet indiqué que les données globales ne soutenaient pas la poursuite des opérations. Résultat, la société d’investissement britannique Syncona perd un important contrat très lucratif sur le marché.
Avec l’arrêt du GT005, Novartis suspend les paiements en plusieurs tranches qu’il versait à Syncona. La société d’investissement a initialement reçu 442 millions de dollars au cours de l’acquisition de Gyroscope. Elle avait aussi obtenu des versements échelonnés évalués à 54,5 millions de livres sterling (soit 68,2 millions de dollars) le 30 juin 2023. Bien entendu, l’arrêt du GT005 aura un impact non négligeable sur Novartis et son avenir dans le secteur médical.
Pour rappel, l’entreprise britannique Syncona possédait auparavant Gyroscope Holdings avant le rachat de Novartis. En 2021, le géant pharmaceutique suisse avait signé l’acquisition de la startup de thérapie génique Gyroscope Therapeutics prenant ainsi le contrôle du GT005. À cette époque, le montant de la transaction entre les deux parts est évalué à environ 1,5 milliard de dollars US. L’accord comprenait 800 millions de dollars d’avance et 700 millions de dollars de paiement répartis en plusieurs tranches.
Revoir ses ambitions et ses priorités dans le secteur
Le PDG de Syncona Chris Hollowood explique toutefois que « nous respectons la décision de Novartis » quoiqu’elle soit décevante. Bien que le manque de données soit l’origine de cette décision, Novartis cherche à abandonner ses ambitions en matière de maladies oculaires. Le groupe pharmaceutique basé en Suisse effectue en fait une restructuration majeure qui entraînera 8 000 licenciements. Dans le même temps, il se sépare de son importante unité de générique Sandoz.
De plus, Novartis envisage de vendre ses activités d’ophtalmologie et de maladies respiratoires au cours des prochaines semaines. Hormis le GT005, le géant suisse développe des traitements contre le glaucome et les maladies de la surface oculaire. En juin dernier, la société a cédé ses actifs en ophtalmologie « front of eye » à Bausch et Lomb. Le montant de la transaction entre les deux parties est d’environ 2,5 milliards de dollars et inclut le traitement approuvé pour la sécheresse oculaire Xiidra.
Source : FIERCE Biotech
Provenant de l’olivier, largement présent dans les pays méditerranéens, l’olive apporte de nombreux bénéfices à l’organisme.
Antioxydante, anti-inflammatoire, anti-cancéreuse, l’olive verte a toute sa place dans notre alimentation (et pas qu’à l’apéro !).
Jaunes, vertes, noires ou encore violettes, les olives font partie intégrante de la
Provenant de l’olivier, largement présent dans les pays méditerranéens, l’olive apporte de nombreux bénéfices à l’organisme.
Antioxydante, anti-inflammatoire, anti-cancéreuse, l’olive verte a toute sa place dans notre alimentation (et pas qu’à l’apéro !).
Jaunes, vertes, noires ou encore violettes, les olives font partie intégrante de la cuisine méditerranéenne. On doit leurs différentes couleurs à leur maturité lors de la cueillette.
En effet, alors que l’olive verte est ramassée au début de sa maturation, l'olive noire se mange plus mûre puisqu'elle est cueillie à sa maturation totale.
Fruit oléagineux de l’olivier, l’olive verte est réputée pour ses bonnes graisses mais aussi pour ses nombreux nutriments (dont le calcium, le zinc, le fer et le magnésium) ainsi que pour ses vitamines (A, B1, C, E, K). Des qualités nutritionnelles qui en font un précieux allié santé !
Elle assure la santé des yeux et de la peau
Consommer des olives vertes, c’est prendre soin de ses yeux. En effet, elles sont riches en vitamine A, un antioxydant qui joue un rôle capital pour la vision et qui permet ainsi de lutter contre la dégénérescence maculaire.
Excellente source de vitamine E, les olives contribuent également à la qualité de la peau en atténuant les rides et en lui apportant souplesse et élasticité.
Elle protège la santé cardiovasculaire
Les olives vertes sont bourrées de bonnes graisses. Elles contiennent notamment un acide gras mono-insaturé appelé acide oléique qui abaisse le mauvais cholestérol et maintient le taux du bon cholestérol.
Il s’agit de ce fait d’un très bon aliment pour lutter contre la pression artérielle. De plus, grâce à leurs propriétés antioxydantes qui protègent les cellules du stress oxydatif, les olives vertes sont connues pour prévenir les risques de maladies cardiovasculaires.
Elle assure la santé des os
Plusieurs études scientifiques ont montré l’impact positif de ce tout petit fruit sur la structure osseuse, notamment des personnes âgées.
Grâce aux polyphénols qu’elle contient, des antioxydants qui luttent contre la formation de radicaux libres à l’origine du vieillissement cellulaire, l’olive verte aide à prévenir la perte osseuse.
Si vous voulez prendre soin de vos os, pensez ainsi à intégrer davantage cet aliment dans votre alimentation !
Elle contribue au confort digestif
Vous êtes sujet·te aux maux de ventre ? Sachez que les olives vertes sont idéales pour soulager certains troubles digestifs.
Non seulement elles boostent l’appétit, mais elles contribuent également au confort digestif en stimulant la production de la bile et son transfert au niveau de l’intestin. Elles sont par ailleurs recommandées en cas de constipation chronique, possédant des propriétés laxatives
Il a été démontré que les olives vertes jouent un rôle majeur dans la prévention des maladies dégénératives, comme Alzheimer.
Les résultats d’une récente étude présentée par l’American Society for Nutrition en juillet 2023 ont en effet révélé que les personnes qui consomment plus d’une demi-cuillère à soupe d’huile d’olive par jour réduisent les risques de démence de 28%.
Source: https://www.passeportsante.net/
Consommables toute l'année, les coquillages nous apportent des protéines, essentielles au fonctionnement de nos muscles mais aussi recherchées pour leur effet coupe-faim. Une quinzaine de moules en renferment presque autant qu'un steak de 100 grammes. Et qu'il s'agisse de saint-jacques, de coques, de praires ou d'huîtres, leur facture ca
Consommables toute l'année, les coquillages nous apportent des protéines, essentielles au fonctionnement de nos muscles mais aussi recherchées pour leur effet coupe-faim. Une quinzaine de moules en renferment presque autant qu'un steak de 100 grammes. Et qu'il s'agisse de saint-jacques, de coques, de praires ou d'huîtres, leur facture calorique est deux fois inférieure à celle de la viande rouge puisque ces produits de la mer ne contiennent quasiment ni graisses ni sucres. En prime, ils regorgent de minéraux marins comme l'iode, indispensable à la bonne marche de notre système nerveux.
Le saviez-vous ? 100 grammes d'huîtres (de 6 à 8 coquillages env.) couvrent 200 % de nos besoins en cet oligoélément. « Il possède la capacité d'activer la production des lymphocytes T, des cellules capables de détruire les virus et les bactéries qui pénètrent dans notre organisme », explique Florence Foucaut, diététicienne nutritionniste. Que du bonus pour notre immunité. Le zinc est épaulé dans sa tâche par le cuivre et la vitamine B9 : tous trois agissent en synergie pour nous aider à passer entre les mailles des infections. Vous souffrez d'arthrose ou de troubles articulaires ? Les huîtres sont pour vous ! « En effet, le cuivre qu'elles contiennent possède des qualités anti-inflammatoires : il améliore la qualité du cartilage et favorise la synthèse du collagène », précise Florence Foucaut. Enfin, en dégustant ce coquillage, on fait le plein de magnésium antifatigue et antistress (90,2 mg pour 100 g), de phosphore énergisant (94,6 mg pour 100 g), de potassium indispensable au bon fonctionnement cardiaque (175 mg pour 100 g)
Ce petit coquillage se distingue par sa grande teneur en minéraux. Pas un ne manque à l'appel ! C'est surtout pour leur taux de fer que les palourdes sont souveraines. Il en faut une vingtaine pour couvrir près de 80 % de nos besoins quotidiens en cet oligoélément nécessaire au transport de l'oxygène vers tous les organes du corps et aux propriétés immunostimulantes. Autre atout des palourdes : elles représentent une source de vitamine B12, essentielle à la production de globules rouges. Un ou deux gros coquillages suffsent à assurer l'intégralité des apports recommandés.
Nichées au cœur de leur coquille noire, les moules gardent le secret de leur richesse en oméga 3. De nombreuses études ont permis de mettre en évidence les pouvoirs protecteurs de ces acides gras essentiels, notamment contre le développement de troubles cardiovasculaires et le déclin cognitif. Grâce à leurs propriétés anti-inflammatoires, ils jouent un rôle dans la prévention de la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA). Enfin, si vous ressentez un peu de fatigue, inscrivez vite des moules à votre menu, car elles s'apparentent à un véritable abécédaire de la forme : elles contiennent des vitamines A, D et E ainsi que toutes celles du groupe B. « Elles sont aussi trois fois plus concentrées en fer que la viande rouge elle-même », assure Florence Foucaut.
Premier réflexe pour s'assurer de la fraîcheur de tous les coquillages : ils doivent être bien fermés. Si une palourde ou une moule est entrouverte, tapotez dessus : la coquille devrait se refermer. Si ce n'est pas le cas, cela signifie que la « petite bête » n'est plus consommable. Pour les moules, les coquilles doivent être bien noires et celles qui sont cassées sont à jeter. Quant aux huîtres, lorsque vous les ouvrez, elles doivent baigner dans l'eau et, si vous les titillez de la pointe d'un couteau, se rétracter légèrement.
Source : https://www.femina.fr/
Journaliste: Ingrid Haberfeld
Le glaucome est la seconde cause de cécité dans les pays développés, après la dégénérescence maculaire liée à l’âge. Cette maladie progressive et silencieuse endommage le nerf optique, ce qui peut entraîner une perte de
Le glaucome est la seconde cause de cécité dans les pays développés, après la dégénérescence maculaire liée à l’âge. Cette maladie progressive et silencieuse endommage le nerf optique, ce qui peut entraîner une perte de vision sévère, voire la cécité. Malheureusement, de nombreux malades restent non-diagnostiqués. Une étude récente menée à l'Université de Göteborg en Suède a révélé que la moitié des personnes âgées de 70 ans qui souffraient de glaucome, ignorait leur condition.
Pour réaliser cette étude, les chercheurs ont utilisé les données recueillies dans le cadre l'étude H70, menée depuis 50 ans par l'Université de Göteborg et qui porte sur la santé des personnes âgées de la ville suédoise. Plus de 1.000 volontaires âgés de 70 ans ont été interrogés sur leur santé oculaire et la présence de glaucome dans leur famille. De plus, 560 participants ont eu une consultation avec un ophtalmologue. Résultat : 4,8 % des personnes examinées étaient atteints de la maladie.
"Parmi celles à qui l'étude a diagnostiqué un glaucome, 15 personnes – soit 2,7 % de tous les participants – ignoraient qu'elles souffraient de la maladie avant d'être examinées", explique Lena Havstam Johansson, responsable de ces travaux, dans un communiqué publié le 7 septembre 2023. "Ainsi, la moitié de volontaires qui souffraient de glaucome ont été diagnostiqués parce qu'ils ont participé à l'étude."
Ces résultats interpellent les chercheurs, car une prise en charge adaptée et précoce permet de réduire les lésions du nerf optique. Ainsi, cette méconnaissance du trouble peut avoir des conséquences sur la vision.
L'équipe suédoise a aussi analysé les réponses des participants aux questionnaires. Si les activités impliquant la vision sont bien affectées par le glaucome, les malades évaluent leur qualité de vie globale aussi bonne que les volontaires n'ayant pas le trouble oculaire. Ils n’étaient ni plus fatigués ni plus déprimés, et avaient des niveaux d'activité physique similaires.
"Ce fut une surprise positive et une découverte qui, je l’espère, pourra apporter du réconfort à de nombreuses personnes ayant reçu un diagnostic de glaucome. Il est difficile de vivre avec une maladie qui altère progressivement la vision, mais la vie peut quand même être belle à bien des égards", confie l'experte.
Source : https://www.pourquoidocteur.fr/ journaliste : Camille Sabourin
Un suivi régulier chez l'ophtalmo n'est pas seulement nécessaire pour surveiller l'évolution de la vue, mais aussi pour dépister de nombreuses maladies, oculaires ou non.
Maladies cardiovasculaires, diabète, cancers : à partir de 60 ans, l’incidence de certaines pathologies augmente. La prévention est donc fondamentale et un suivi médi
Un suivi régulier chez l'ophtalmo n'est pas seulement nécessaire pour surveiller l'évolution de la vue, mais aussi pour dépister de nombreuses maladies, oculaires ou non.
Maladies cardiovasculaires, diabète, cancers : à partir de 60 ans, l’incidence de certaines pathologies augmente. La prévention est donc fondamentale et un suivi médical régulier absolument nécessaire. Mais il est également important de consulter son ophtalmologiste tous les deux ans au minimum à partir de 65 ans : pour surveiller l’évolution de sa correction, mais aussi pour dépister une éventuelle maladie des yeux (DMLA, glaucome, cataracte, etc.).
L’évolution de la vue avec l’âge
Même lorsqu’il n’y aucune pathologie particulière, la vue évolue tout au long de la vie. A partir d’un certain âge, et même si nous ne sommes pas tous égaux sur ce point, il est physiologique de voir moins bien. Une surveillance régulière est donc importante, afin de mesurer l’évolution de la vision et de porter une correction adaptée. Il n’est pas rare de présenter des premiers signes de presbytie dès l’âge de 45 ans, cette évolution naturelle est caractérisée par une diminution physiologique du pouvoir accommodatif de l'œil, et donc une baisse de la vision de près. Si une correction n’est pas toujours nécessaire au départ, elle peut s’avérer indispensable au fil des années.
DMLA, cataracte, glaucome : une surveillance régulière indispensable
Bien entendu, le vieillissement est également lié à une hausse du risque de présenter certaines pathologies oculaires : la DMLA (dégénérescence maculaire liée à l'âge), la cataracte (première cause de cécité dans le monde), le glaucome etc. Des rendez-vous réguliers sont donc indispensables pour surveiller l’apparition et l’évolution de ces pathologies.
Suivi ophtalmo : surveiller les maladies des yeux, mais pas seulement
L’examen oculaire est capable de détecter beaucoup plus que les maladies des yeux. De nombreuses pathologies ont en effet un impact sur les yeux, ou sont détectables lors du fond d'œil. Cet examen est capital car il permet d’observer une microvascularisation (de petits vaisseaux très fins) qui est la même que celle présente autour du cœur. Le fond d'œil peut ainsi permettre de découvrir un infarctus, une thrombose, une dissection de la carotide ou encore un diabète, l’athérome, des accidents ischémiques transitoires (AIT), des accidents vasculaires cérébraux (AVC). L’ophtalmologiste a donc un vrai rôle de dépistage.
Les symptômes qui doivent alerter
En dehors de ces consultations régulières, il faut également être attentifs à certains symptômes qui peuvent être le signe d’une pathologie oculaire, ou d’une dégradation de la vue. Un rendez-vous chez l'ophtalmologiste est alors nécessaire.
Source: https://www.femmeactuelle.fr/ Journaliste: Esther Buitekant Un suivi régulier chez l'ophtalmo n'est pas seulement nécessaire pour surveiller l'évolution de la vue, mais aussi pour dépister de nombreuses maladies, oculaires ou non.
Maladies cardiovasculaires, diabète, cancers : à partir de 60 ans, l’incidence de certaines pathologies augmente. La prévention est donc fondamentale et un suivi médical régulier absolument nécessaire. Mais il est également important de consulter son ophtalmologiste tous les deux ans au minimum à partir de 65 ans : pour surveiller l’évolution de sa correction, mais aussi pour dépister une éventuelle maladie des yeux (DMLA, glaucome, cataracte, etc.).
Même lorsqu’il n’y aucune pathologie particulière, la vue évolue tout au long de la vie. A partir d’un certain âge, et même si nous ne sommes pas tous égaux sur ce point, il est physiologique de voir moins bien. Une surveillance régulière est donc importante, afin de mesurer l’évolution de la vision et de porter une correction adaptée. Il n’est pas rare de présenter des premiers signes de presbytie dès l’âge de 45 ans, cette évolution naturelle est caractérisée par une diminution physiologique du pouvoir accommodatif de l'œil, et donc une baisse de la vision de près. Si une correction n’est pas toujours nécessaire au départ, elle peut s’avérer indispensable au fil des années.
Bien entendu, le vieillissement est également lié à une hausse du risque de présenter certaines pathologies oculaires : la DMLA (dégénérescence maculaire liée à l'âge), la cataracte (première cause de cécité dans le monde), le glaucome etc. Des rendez-vous réguliers sont donc indispensables pour surveiller l’apparition et l’évolution de ces pathologies.
L’examen oculaire est capable de détecter beaucoup plus que les maladies des yeux. De nombreuses pathologies ont en effet un impact sur les yeux, ou sont détectables lors du fond d'œil. Cet examen est capital car il permet d’observer une microvascularisation (de petits vaisseaux très fins) qui est la même que celle présente autour du cœur. Le fond d'œil peut ainsi permettre de découvrir un infarctus, une thrombose, une dissection de la carotide ou encore un diabète, l’athérome, des accidents ischémiques transitoires (AIT), des accidents vasculaires cérébraux (AVC). L’ophtalmologiste a donc un vrai rôle de dépistage.
En dehors de ces consultations régulières, il faut également être attentifs à certains symptômes qui peuvent être le signe d’une pathologie oculaire, ou d’une dégradation de la vue. Un rendez-vous chez l'ophtalmologiste est alors nécessaire.
Source: https://www.femmeactuelle.fr/ Journaliste: Esther Buitekant
(Reuters) - Outlook Therapeutics OTLK.O a déclaré mercredi que la Food and Drug Administration américaine a refusé d'approuver son médicament expérimental contre les maladies oculaires, en partie à cause de problèmes de fabrication observés lors des inspections préalables à l'approbation.
Les actions de la société ont chuté de 71 % à 0,40
(Reuters) - Outlook Therapeutics OTLK.O a déclaré mercredi que la Food and Drug Administration américaine a refusé d'approuver son médicament expérimental contre les maladies oculaires, en partie à cause de problèmes de fabrication observés lors des inspections préalables à l'approbation.
Les actions de la société ont chuté de 71 % à 0,40 $ dans les échanges avant la mise sur le marché.
Bien que l'essai du médicament ait atteint les objectifs de sécurité et d'efficacité, le régulateur de la santé a cité le besoin de preuves cliniques confirmatives supplémentaires, a déclaré Outlook Therapeutics.
Le médicament ONS-5010 est en cours de développement sous forme d'injection pour le traitement de la dégénérescence maculaire liée à l'âge (AMD) et d'autres maladies de la rétine.
La DMLA humide est une maladie oculaire chronique qui provoque une vision floue ou une tache aveugle dans le champ visuel du patient.
Ce développement constitue le dernier obstacle en date à l'entrée du médicament sur le marché, après qu'Outlook Therapeutics a retiré l'an dernier sa demande d'autorisation de mise sur le marché après que la FDA a demandé des informations complémentaires.
Les poissons gras ont longtemps été considérés comme une source inestimable d’aliments bénéfiques pour la santé. Abondants en acides gras oméga-3, vitamines et autres nutriments, leur consommation régulière peut offrir de multiples avantages pour la santé. Cet article mettra en lumière les principaux bienfaits des poissons gras et donner
Les poissons gras ont longtemps été considérés comme une source inestimable d’aliments bénéfiques pour la santé. Abondants en acides gras oméga-3, vitamines et autres nutriments, leur consommation régulière peut offrir de multiples avantages pour la santé. Cet article mettra en lumière les principaux bienfaits des poissons gras et donnera des exemples de ces poissons pour enrichir notre alimentation.
1. Qu’est-ce qu’un poisson gras?
Les poissons gras sont des poissons qui contiennent une teneur élevée en matières grasses dans leur chair. Cependant, contrairement à de nombreuses sources de graisses saturées que l’on retrouve dans d’autres aliments, les graisses contenues dans ces poissons sont pour la plupart des acides gras insaturés, particulièrement bénéfiques pour la santé.
Exemples de poissons gras:
2. Les bienfaits des poissons gras
a. Richesse en oméga-3
Les poissons gras sont une source principale d’acides gras oméga-3, en particulier l’EPA (acide eicosapentaénoïque) et le DHA (acide docosahexaénoïque). Ces acides gras ont démontré de nombreux bienfaits pour la santé, notamment :
b. Vitamines et minéraux
Les poissons gras contiennent également une variété de vitamines et de minéraux, dont la vitamine D, essentielle pour la santé des os, et la vitamine B12, qui soutient le fonctionnement normal du système nerveux.
c. Santé des yeux
Le DHA, l’un des acides gras oméga-3, joue un rôle clé dans la structure et la fonction de la rétine. Une consommation régulière de poissons gras peut réduire le risque de dégénérescence maculaire liée à l’âge.
3. Conseils de consommation
Il est recommandé de consommer du poisson gras au moins deux fois par semaine. Cependant, il est important de choisir des poissons provenant de sources durables et de préférer, si possible, les poissons sauvages aux poissons d’élevage.
Intégrer les poissons gras dans notre alimentation est un moyen simple et savoureux d’apporter à notre corps une multitude de nutriments essentiels. Leurs bienfaits, allant de la protection du cœur à la soutien de la fonction cérébrale, font d’eux des incontournables pour tous ceux qui cherchent à adopter un régime alimentaire sain et équilibré. Source: https://perelafouine.com/ journaliste: Olivier Kauf
Une avancée révolutionnaire dans la recherche sur la vision a redonné espoir dans le traitement de la cécité. Cette avancée majeure concerne les cellules de la rétine et leur potentiel à révolutionner la façon dont elles traitent les déficiences visuelles.
Les chercheurs ont utilisé de minuscules nanotechnologies pour résoudre un problème
Une avancée révolutionnaire dans la recherche sur la vision a redonné espoir dans le traitement de la cécité. Cette avancée majeure concerne les cellules de la rétine et leur potentiel à révolutionner la façon dont elles traitent les déficiences visuelles.
Les chercheurs ont utilisé de minuscules nanotechnologies pour résoudre un problème majeur : la perte de la vue. Ils ont trouvé un moyen de créer une structure 3D capable de faire croître des cellules spéciales à partir d’une partie de l’œil appelée rétine. Cela pourrait conduire à de nouveaux traitements pour une cause courante de cécité.
Les recherches dirigées par le professeur Barbara Pierscionek de l’Université Anglia Ruskin ont découvert comment faire croître ces cellules particulières, appelées cellules épithéliales pigmentaires rétiniennes (RPE), qui restent en bonne santé pendant une longue période, jusqu’à 150 jours. Ces cellules sont essentielles car elles se trouvent à l’extérieur de la partie de l’œil qui nous aide à voir, et si elles sont blessées, notre vision peut se détériorer.
Ils ont utilisé une nouvelle méthode appelée « électrofilage » pour créer une structure dans laquelle ces cellules pourraient se développer. Cela pourrait changer la façon dont nous traitons un problème appelé dégénérescence maculaire liée à l’âge, l’une des raisons les plus courantes pour lesquelles les gens ont du mal à voir.
Lorsqu’ils traitent l’échafaudage avec de l’acétonide de fluocinolone, qui aide à lutter contre l’enflure, les cellules deviennent plus puissantes et se développent mieux. Ces résultats sont essentiels pour créer des tissus oculaires susceptibles d’être utilisés lors de greffes.
La dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) est l’une des principales raisons pour lesquelles les gens perdent la vue, surtout avec l’âge. De plus en plus de personnes pourraient être confrontées à ce problème à l’avenir en raison du vieillissement de notre population. Les chercheurs estiment qu’environ 77 millions de personnes en Europe pourraient souffrir d’une forme de DMLA d’ici 2050.
La DMLA peut survenir lorsque certaines parties de l’œil changent. La couche de support appelée membrane de Bruch et les vaisseaux sanguins à proximité, appelés choriocapillaire, peuvent avoir des problèmes, conduisant à ce problème oculaire.
Dans de nombreux pays occidentaux, la cause la plus courante de perte de la vue est l’accumulation de dépôts graisseux appelés drusen. Cela peut endommager certaines parties de l’œil, comme l’EPR, la choriocapillaire et la rétine externe. Dans d’autres régions du monde, un problème appelé DMLA est souvent causé par une croissance anormale des vaisseaux sanguins dans la choroïde, puis par un déplacement vers les cellules RPE. Cela peut entraîner des saignements, le détachement de l’EPR ou la formation de cicatrices.
Une façon de traiter les problèmes oculaires comme la DMLA consiste à remplacer les cellules RPE endommagées. Les chercheurs tentent de trouver de bons moyens d’introduire de nouvelles cellules RPE dans l’œil. Cela pourrait aider à traiter efficacement ces problèmes de vue.
L’auteur de l’étude, le professeur Barbara Pierscionek, vice-doyenne (recherche et innovation) de l’Université Anglia Ruskin (ARU), a déclaré : « Cette recherche a démontré, pour la première fois, que les échafaudages de nanofibres traités avec une substance anti-inflammatoire telle que l’acétonide de fluocinolone peuvent améliorer la croissance, la différenciation et la fonctionnalité des cellules RPE.
Auparavant, les chercheurs cultivaient des cellules sur des surfaces planes, contrairement à la façon dont elles se développent naturellement dans le corps. Avec ces nouvelles méthodes, les cellules se portent bien dans un environnement 3D créé par les échafaudages.
Ce nouveau système pourrait être utilisé en remplacement de la membrane de Bruch, qui peut causer des problèmes oculaires lorsqu’elle est endommagée. Ce substitut est constitué de matériaux sûrs et stables dans le corps. Cela pourrait être d’une grande aide pour les personnes atteintes de maladies telles que la DMLA, et c’est une découverte passionnante qui pourrait aider de nombreuses personnes dans le monde.
En conclusion, la percée des cellules rétiniennes marque un pas important vers la lutte contre la cécité et ouvre la voie à une nouvelle ère de restauration de la vision. Bien que beaucoup de travail reste à faire, cette découverte alimente l’optimisme quant au développement de thérapies révolutionnaires qui pourraient à terme transformer la vie de millions de personnes touchées par une déficience visuelle Source: https://www.nouvelles-du-monde.com/
Les pêches font partie de la famille des Rosacées, qui comprend également des fruits tels que les cerises, les abricots, les amandes et les prunes. Elles sont originaires de Chine et ont été introduites en Europe via la route de la soie. Il existe différentes variétés de pêches, notamment les pêches à noyau libre, les pêches à noyau adh
Les pêches font partie de la famille des Rosacées, qui comprend également des fruits tels que les cerises, les abricots, les amandes et les prunes. Elles sont originaires de Chine et ont été introduites en Europe via la route de la soie. Il existe différentes variétés de pêches, notamment les pêches à noyau libre, les pêches à noyau adhérent et les pêches plates. Les pêches peuvent avoir une peau blanche ou jaune, et certaines variétés peuvent avoir des taches ou des lignes rouges sur la peau. Les pêches sont souvent confondues avec les nectarines, qui sont en réalité des fruits génétiquement identiques, à l’exception d’un seul allèle génétique qui rend les nectarines sans duvet.
Composition Nutritionnelle des Pêches
Les pêches sont riches en vitamines et minéraux essentiels, tout en étant faibles en calories. Voici la composition nutritionnelle approximative d’une pêche moyenne jaune crue (environ 150 grammes) :
Calories : 58,9
Glucides totaux : 14,3 g
Fibres : 2,3 g
Sucres : 12,6 g
Graisses totales : 0,4 g
Graisses saturées : 0,03 g
Graisses polyinsaturées : 0,1 g
Graisses monoinsaturées : 0,1 g
Graisses trans : 0 g
Protéines : 1,4 g
Sodium : 0 mg
Vitamine A : 489 UI (16% de l’apport journalier recommandé)
Vitamine C : 9,9 mg (11% de l’apport journalier recommandé)
Potassium : 285 mg (6% de l’apport journalier recommandé)
Les pêches sont également riches en antioxydants, y compris les caroténoïdes, qui aident à lutter contre les radicaux libres et à prévenir les maladies.
Les pêches offrent de nombreux bienfaits pour la santé grâce à leur composition nutritionnelle riche en vitamines, en antioxydants et en fibres.
Voici quelques-uns des principaux avantages des pêches :
Les pêches sont des fruits riches en antioxydants, ce qui signifie qu’elles aident à protéger le corps contre les dommages des radicaux libres. Les antioxydants présents dans les pêches, tels que les caroténoïdes et la vitamine C, aident à réduire le stress oxydatif et à prévenir les maladies. Les pêches peuvent également aider à ralentir le vieillissement cellulaire et à protéger la peau contre les dommages causés par le soleil.
Les pêches ont été associées à la prévention de certains types de cancer. Les polyphénols présents dans les pêches ont montré des effets inhibiteurs sur la croissance des cellules cancéreuses du sein. Ils peuvent également aider à réduire le risque de développement de certains cancers du côlon.
Les pêches sont bénéfiques pour la santé cardiovasculaire. Elles sont riches en vitamine C, en potassium et en fibres, qui peuvent aider à réduire le risque de maladies cardiaques. Les antioxydants présents dans les pêches aident également à réduire l’inflammation et à protéger les vaisseaux sanguins.
Les pêches sont riches en fibres, ce qui les rend bénéfiques pour la digestion. Les fibres alimentaires aident à prévenir la constipation et à maintenir un système digestif sain. De plus, les pêches contiennent des enzymes naturelles qui aident à la digestion des aliments.
Les pêches sont excellentes pour la santé de la peau. Les antioxydants présents dans les pêches aident à protéger la peau contre les dommages causés par les radicaux libres et les rayons UV. Les pêches peuvent également aider à améliorer l’élasticité de la peau et à réduire l’apparence des rides et des taches de vieillesse.
Grâce à leur teneur en potassium, les pêches peuvent aider à réguler la pression artérielle. Le potassium aide à équilibrer les niveaux de sodium dans le corps, ce qui peut aider à réduire la pression artérielle.
Les pêches sont riches en vitamine C, un nutriment essentiel pour renforcer le système immunitaire. La vitamine C aide à stimuler la production de globules blancs, qui sont responsables de la lutte contre les infections et les maladies.
Les pêches contiennent des caroténoïdes tels que la lutéine, qui sont essentiels pour la santé des yeux. La lutéine aide à protéger les yeux contre les dommages causés par la lumière bleue et peut aider à prévenir la dégénérescence maculaire liée à l’âge.
Les pêches sont faibles en calories et riches en fibres, ce qui en fait un aliment idéal pour la gestion du poids. Les fibres alimentaires aident à favoriser la satiété et à réduire les fringales, ce qui peut aider à maintenir un poids santé.
Les pêches sont composées à près de 90% d’eau, ce qui en fait un excellent fruit pour l’hydratation. La consommation régulière de pêches peut aider à maintenir une bonne hydratation et à prévenir la déshydratation.
Pour profiter pleinement des bienfaits des pêches, il est recommandé de les consommer fraîches et de les intégrer dans une alimentation équilibrée. Voici quelques idées pour incorporer les pêches dans votre alimentation :
Mangez une pêche fraîche comme collation entre les repas.
Ajoutez des tranches de pêche à votre salade pour une touche sucrée.
Préparez un smoothie à la pêche en mélangeant une pêche fraîche avec du yaourt et des glaçons.
Utilisez des pêches fraîches pour préparer des desserts sains, tels que des crumbles aux fruits ou des compotes.
Il est important de se rappeler que les pêches doivent être consommées avec modération, car elles contiennent naturellement du sucre. Si vous avez des allergies aux fruits similaires, il est préférable de consulter un professionnel de la santé avant de consommer des pêches.
Les pêches sont non seulement délicieuses, mais elles offrent également de nombreux bienfaits pour la santé. Elles sont riches en vitamines, en antioxydants et en fibres, ce qui en fait un aliment idéal pour maintenir une bonne santé. Essayez d’incorporer les pêches dans votre alimentation quotidienne pour profiter de tous leurs bienfaits nutritionnels.
Source: pressesante.com) journaliste Marie Desange ,
Aficionados de cantaloup à vos notes ! On vous explique pourquoi consommer cet aliment est bon pour la santé, mais aussi bénéfique pour garder la ligne.
L’été, c’est la saison du cantaloup ! Tantôt on le marie avec une belle mozzarella, du basilic, une tranche de jambon cru et un filet de balsamique, tantôt on le consomme en gaspacho ou
Aficionados de cantaloup à vos notes ! On vous explique pourquoi consommer cet aliment est bon pour la santé, mais aussi bénéfique pour garder la ligne.
L’été, c’est la saison du cantaloup ! Tantôt on le marie avec une belle mozzarella, du basilic, une tranche de jambon cru et un filet de balsamique, tantôt on le consomme en gaspacho ou encore en sorbet rafraîchissant. Avec sa chair gorgée d'eau et son petit goût sucré, le melon, qui appartient à la famille des cucurbitacées au même titre que les concombres et les courges, est autant apprécié en entrée, qu’en plat ou encore en dessert.
Vous raffolez du cantaloup ? La saison estivale est le moment ou jamais de profiter de cet aliment. Non seulement le cantaloup est savoureux, mais c'est aussi un excellent allié pour la santé et un allié minceur de taille. Le média Le Journal des Femmes a révélé pourquoi il est grand temps d’intégrer le melon à son assiette d’été.
Le cantaloup: un allié minceur
En été, aucune raison de culpabiliser au moment de consommer du cantaloup: il est idéal pour garder la ligne. Cet aliment renferme près de 90% d’eau ce qui le rend extrêmement rafraîchissant pour la saison ensoleillée. Parmi les minéraux qu’il contient, sa teneur en potassium est particulièrement intéressante, car elle fait de lui un fruit diurétique. Le fait d’uriner est essentiel pour éviter la rétention d’eau et drainer le corps. De plus, le melon est riche en fibres. Résultat ? Sa consommation assure un excellent transit. À cela s’ajoute le fait que le melon a un apport en sucre plus que raisonnable et un apport calorique faible. On compte ainsi 48 calories pour 100 grammes.
Le cantaloup: un allié santé
En plus d’être un allié minceur, le cantaloup est bon pour la santé. Cet aliment contient une forte concentration en vitamine A. Cette vitamine permet aux cellules de la peau de se régénérer. Elle permet de lutter contre la cellulite ou la formation de vergetures, mais aussi contre les rides. Elle est aussi utilisée dans la prévention de la dégénérescence maculaire (des yeux). Mais ce n’est pas tout, la vitamine A présente dans le cantaloup, qu’on appelle aussi caroténoïde, permet à l'organisme de se prémunir contre certaines agressions extérieures comme les virus ou les bactéries, car elle renforce la fonction immunitaire. Une personne qui souffre de déficience en vitamine A sera plus sujette à des inflammations respiratoires par exemple. Le cantaloup est également riche en vitamine C, une vitamine très efficace aussi pour résister aux infections.
Source: https://www.gala.fr/ journaliste Sarah Pereira , adaptation : le Maculaire
Dans le monde coloré de la nutrition, certains composés ont un effet plus profond sur notre santé que nous ne le réalisons. Aujourd’hui, nous braquons les projecteurs sur l’un de ces composés silencieux mais puissants : la lutéine. Ce nom peut ne pas sonner une cloche pour beaucoup, mais ce caroténoïde essentiel joue un rôle crucial pour
Dans le monde coloré de la nutrition, certains composés ont un effet plus profond sur notre santé que nous ne le réalisons. Aujourd’hui, nous braquons les projecteurs sur l’un de ces composés silencieux mais puissants : la lutéine. Ce nom peut ne pas sonner une cloche pour beaucoup, mais ce caroténoïde essentiel joue un rôle crucial pour notre bien-être – et plus spécifiquement, pour la santé de nos yeux.
Sommaire
· Préambule sur la lutéine
· Qu’est-ce que la lutéine ?
· Son rôle
· Absorption et utilisation
· Pourquoi la lutéine est-elle importante pour la santé oculaire ?
· Sources alimentaires de lutéine
· Suppléments de lutéine
· Conclusion
· Sources
La lutéine est l’un de ces termes que nous voyons sur les emballages des compléments alimentaires, mais la compréhension de ce que c’est réellement et de son importance reste floue pour beaucoup d’entre nous. Il est grand temps de lever le voile sur cette substance naturelle et de comprendre son impact potentiel sur notre vision.
Pourquoi la lutéine est-elle si importante pour nos yeux ? Comment ce composé se retrouve-t-il dans notre organisme ? Et comment pouvons-nous nous assurer que nous en consommons suffisamment ? Dans cet article, nous allons répondre à toutes ces questions. Alors accrochez-vous, chers lecteurs, car nous partons pour un voyage au cœur de notre santé oculaire. Bienvenue dans le monde fascinant de la lutéine.
La lutéine est un caroténoïde, une famille de pigments naturels que l’on trouve principalement dans les fruits et légumes de couleur vive. Ce composé particulier se distingue par sa couleur jaune à orange intense. Mais ne vous y trompez pas, la lutéine n’est pas qu’une simple substance colorante, elle a bien plus à offrir.
La lutéine a un rôle d’antioxydant, ce qui signifie qu’elle combat les radicaux libres – ces molécules instables qui peuvent causer des dommages à nos cellules. En particulier, la lutéine se concentre dans la rétine de nos yeux, où elle protège nos précieuses cellules oculaires des dommages causés par la lumière bleue et le stress oxydatif.
Comme la plupart des caroténoïdes, la lutéine est liposoluble. Cela signifie qu’elle est mieux absorbée lorsqu’elle est consommée avec des graisses. Une fois ingérée, la lutéine se dirige vers différents endroits de notre corps, y compris notre peau et nos yeux. Au niveau des yeux, elle se loge principalement dans la macula, une petite zone de la rétine responsable de la vision centrale.
Petite astuce : Pour une meilleure absorption de la lutéine, pensez à accompagner votre salade de légumes riches en lutéine d’une petite quantité d’huile d’olive ou d’avocat !
Ainsi, la lutéine est plus qu’un simple pigment. C’est un défenseur clé de la santé oculaire, aidant à protéger nos yeux des agressions extérieures et à maintenir notre vision nette et claire. Dans la prochaine section, nous allons explorer plus en détail comment la lutéine peut bénéficier à nos yeux.
L’importance de la lutéine pour la santé oculaire a été confirmée par plusieurs études scientifiques. Comme nous l’avons déjà mentionné, l’un des rôles les plus importants de la lutéine est de servir de filtre naturel pour la lumière bleue, dont l’exposition excessive peut causer des dommages à notre rétine.
Des recherches ont révélé que la lutéine, par sa capacité à filtrer la lumière bleue, peut réduire le stress oxydatif sur les cellules de nos yeux. Le stress oxydatif est une cause majeure de dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) et de cataractes, deux des maladies oculaires les plus courantes chez les personnes âgées.
Des études ont également montré que les personnes ayant une alimentation riche en lutéine avaient un risque plus faible de développer une DMLA. Dans une étude, ceux qui avaient consommé le plus de lutéine avaient 43 % moins de chances de développer une DMLA que ceux qui en avaient consommé le moins.
La lutéine peut jouer un rôle protecteur contre les cataractes. Une analyse de plusieurs études a montré que les personnes qui avaient des niveaux plus élevés de lutéine dans leur alimentation et leur sang avaient un risque moins élevé de développer des cataractes.
Par conséquent, la lutéine est vitale pour la santé oculaire en raison de sa capacité à protéger les yeux contre le stress oxydatif et la lumière bleue, en plus de réduire le risque de maladies oculaires liées à l’âge. Dans le prochain chapitre, nous examinerons les sources alimentaires de lutéine.
Parmi les aliments les plus couramment consommés, certains se démarquent par leur richesse en lutéine naturelle. Ces aliments incluent principalement les légumes à feuilles vertes comme les épinards, le chou frisé et les brocolis, mais aussi le maïs, les œufs, et certains fruits comme les oranges et les papayes. Ainsi, en intégrant régulièrement ces aliments à votre régime alimentaire, vous assurez à votre corps un apport régulier en lutéine naturelle, essentielle pour la santé de vos yeux.
Voici une liste des sources alimentaires les plus riches en lutéine :
· Épinards: Une excellente source de lutéine, les épinards peuvent être consommés crus en salade ou cuits.
· Chou frisé: Reconnu pour sa richesse en nutriments, le chou frisé est également l’une des meilleures sources de lutéine.
· Brocoli: Le brocoli est une autre source précieuse de lutéine.
· Maïs: En plus de ses autres bienfaits pour la santé, le maïs est une bonne source de lutéine.
· Jaune d’œuf: Le jaune d’œuf contient de la lutéine et de la zéaxanthine, un autre caroténoïde bénéfique pour la santé oculaire.
Pour maximiser l’absorption de la lutéine, il est conseillé de consommer ces aliments avec une source de matières grasses, car la lutéine est liposoluble.
Suppléments de lutéine
Bien que l’obtention de lutéine à partir d’aliments soit idéale, des suppléments de lutéine peuvent être envisagés dans certaines circonstances, par exemple si l’on ne consomme pas régulièrement d’aliments riches en lutéine.
Lors de la sélection d’un supplément de lutéine, recherchez des produits de marques réputées et assurez-vous qu’ils contiennent également de la zéaxanthine, qui travaille en synergie avec la lutéine pour la santé des yeux.
Cependant, comme pour tout supplément, il est important de prendre certaines précautions. Consultez toujours un professionnel de la santé avant de commencer un nouveau supplément, surtout si vous prenez déjà d’autres médicaments ou si vous avez des problèmes de santé. Les suppléments de lutéine ne doivent pas remplacer une alimentation équilibrée et variée, qui est la clé d’une bonne santé oculaire et globale.
Conclusion
La lutéine, ce précieux caroténoïde, joue un rôle indispensable dans le maintien de notre santé oculaire. Grâce à sa capacité à filtrer la lumière bleue nocive et à son rôle protecteur contre les maladies oculaires liées à l’âge, la lutéine est un élément clé pour conserver une bonne vue tout au long de notre vie.
Il est important de noter que la meilleure façon d’obtenir de la lutéine est par le biais de notre alimentation, en privilégiant les aliments riches en lutéine tels que les légumes à feuilles vertes, le maïs et les œufs. Pour ceux qui ne consomment pas suffisamment de ces aliments, les suppléments de lutéine peuvent être une option à considérer, toujours en concertation avec un professionnel de la santé.
En fin de compte, il est clair que pour garder nos yeux en bonne santé, nous devons faire attention à notre alimentation. Une alimentation équilibrée et riche en nutriments bénéfiques comme la lutéine est l’une des stratégies les plus efficaces pour préserver notre vue et favoriser notre bien-être général. Source: https://www.journaldunaturel.com/ journaliste, Vanessa MArtin
Avec la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), le glaucome est la principale cause de cécité majeure dans le monde. 78 millions de personnes sont atteintes de cette maladie, un chiffre qui pourrait monter à 112 millions d’ici 2040. Maladie asymptomatique, la moitié des patients touchés l’ignorent. D’où la nécessité d’un dépistage
Avec la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), le glaucome est la principale cause de cécité majeure dans le monde. 78 millions de personnes sont atteintes de cette maladie, un chiffre qui pourrait monter à 112 millions d’ici 2040. Maladie asymptomatique, la moitié des patients touchés l’ignorent. D’où la nécessité d’un dépistage précoce. Et bien qu'il existe des médicaments en gouttes qui aident à réduire la pression intraoculaire (PIO), ils fonctionnent mieux si le dosage est continuellement modifié en fonction de la pression dans l'œil.
Habituellement, cette pression doit être vérifiée très régulièrement par un ophtalmologiste ou un orthoptiste. Mais le problème est que la PIO peut devenir dangereusement élevée entre ces contrôles. C’est pour faciliter ces mesures que la start-up californienne Smartlens a mis au point un système appelé miLens basé sur un prototype de surveillance du glaucome, capable de mesurer la PIO n’importe où et à tout moment. Ce dispositif non invasif a été conçu comme une lentille de contact et utilise une nouvelle technologie brevetée de capteur sans électronique détenue par Smartlens.
Les patients prennent une photo de leur œil tout en portant la lentille qui se met et se retire quotidiennement, comme n’importe quelle autre (elle peut être correctrice).
Un canal microfluidique* scellé est intégré à la périphérie de la lentille (non visible du porteur). Cet anneau, partiellement rempli d'un liquide non toxique comporte des marquages numériques gradués qui indiquent les unités de mesure de la PIO. Ensuite, le logiciel d’imagerie analyse les images et fournit la lecture de la pression intraoculaire. MiLens, qui est le plus petit appareil microfluidique portable disponible, peut améliorer la prise de décision clinique du diagnostic en fournissant des données, permettant un traitement personnalisé et une détection précoce des patients atteints de glaucome.
Lorsque la pression intraoculaire de l'utilisateur augmente, sa cornée se gonfle et appuie sur l’anneau de miLens. Cette pression comprime le liquide dans la lentille à travers le canal. À l'aide d'une caméra tierce, les utilisateurs obtiennent un gros plan du miLens. En voyant quel numéro sur le canal le liquide a atteint, ils obtiennent une lecture de la PIO en temps réel quand et où ils le souhaitent.
Les essais cliniques se sont terminés il y a quelques mois. Savas Komban, PDG de Smartlens, a déclaré que « miLens devrait arriver sur le marché d’ici la fin de l’année 2024, à un prix abordable ».
La start-up a récemment clôturé un tour de table de financement par actions de série A de 6,1 millions de dollars pour faire avancer l’autorisation réglementaire de sa lentille.
Le cycle de financement a été mené par Ambit Health Ventures, rejoint par l’Université de Stanford, Sophia Innovation Capital, Graphene Ventures, Plaisance Capital Management, Boutique Venture Partners, Wilson Sonsini Investments ainsi que 3E Bioventures.
« Cette technologie est de la plus haute importance pour comprendre le glaucome et les fluctuations quotidiennes de la pression intraoculaire. Sa mise en œuvre permettra aux médecins d'améliorer le traitement du glaucome et d'atténuer le risque de perte de vision permanente », s’enthousiasme Sam Goldberger MD, MBA co-fondateur et associé directeur d'Ambit Health Ventures.
Si Smartlens avance à grand pas pour la détection du glaucome, l'inconvénient, notamment chez les personnes âgées, va être la difficulté de manipulation des lentilles et la sécheresse oculaire. D’autres entreprises innovent : la start-up israélienne Opthalmic Sciences a développé IOPerfect, un casque de réalité virtuelle qui utilise l’intelligence artificielle (IA) pour mesurer la pression intraoculaire. Quant au fabricant indien de dispositifs médicaux Remidio Innovative Solutions, il a mis au point une solution basée sur un examen du fond d'œil via un smartphone.
*La microfluidique est l'étude et la mise en œuvre des écoulements à petite échelle dans des réseaux de microcanaux de quelques micromètres de diamètre. Cette technologie permet la fabrication de dispositifs manipulant de très petites quantités de liquides, et trouve un grand nombre d'applications.
Source: https://www.acuite.fr/
les poivrons sont excellents pour la santé, nous explique Nathalie Négro, responsable du centre nutritionnel des Thermes de Brides-les-Bains Leurs cousins les piments aussi, y compris pour l’estomac et les intestins, contrairement aux idées reçues. Ces légumes-fruits, originaires d’Amérique centrale, sont parfaits pour marier gourmandise
les poivrons sont excellents pour la santé, nous explique Nathalie Négro, responsable du centre nutritionnel des Thermes de Brides-les-Bains Leurs cousins les piments aussi, y compris pour l’estomac et les intestins, contrairement aux idées reçues. Ces légumes-fruits, originaires d’Amérique centrale, sont parfaits pour marier gourmandise et santé. Derrière leur forte personnalité, qui donne du peps à nos menus d’été, se cache une source inépuisable de nutriments bienfaiteurs, comme l’explique la nutritionniste Nathalie Négro, responsable du centre nutritionnel des Thermes de Brides-les-Bains (Savoie).
Pourquoi les poivrons sont-ils des aliments si précieux ?
NATHALIE NEGRO. Ils sont peu caloriques et affichent des taux record de vitamine C : plus de 120 mg aux cent grammes en moyenne pour le poivron cru, soit plus que la fraise (54 mg), l’orange (47 mg), l’épinard (41 mg) ou le radis (12 mg). Quelques lamelles dans une salade composée permettent ainsi de couvrir nos besoins quotidiens en vitamine C. Ces légumes sont également bien pourvus en vitamine B9, utile pour l’activité du cerveau et la formation des globules rouges. Ils recèlent en outre de nombreux pigments antioxydants, dont de la lutéine et de la zéaxanthine qui jouent un rôle indispensable pour la santé des yeux. Ils contribuent à prévenir la DMLA (dégénérescence maculaire liée à l’âge) et à préserver la rétine des méfaits de la lumière bleue. Les légumes à feuilles en contiennent également mais ceux des poivrons sont mieux absorbés. Certaines personnes les supportent difficilement, mais il suffit d’enlever leur peau et leurs pépins pour les rendre plus digestes. Une bonne astuce pour les éplucher sans effort : enfourner les poivrons quelques minutes à 180 °C, puis les enfermer encore chaud dans un sac congélation. Attendre dix minutes avant d’ouvrir. Leur peau se détache alors presque toute seule.
Vert, jaune ou rouge, quelle différence ?
Leur couleur reflète leur degré de maturité. Le poivron est en effet vert lorsqu’il est immature. S’il n’est pas cueilli, il devient jaune, puis orangé et enfin rouge au fil des jours. Son contenu nutritionnel évolue en même temps. Le poivron rouge, plus mûr, apporte ainsi davantage de vitamine C et surtout beaucoup plus d’antioxydants protecteurs : 7120 μg de caroténoïdes pour 100 g de poivron rouge, contre 154 μg pour le vert. Le poivron jaune se situe entre les deux.
Leurs cousins, les piments, sont-ils aussi bénéfiques pour la santé ?
Tout à fait car les piments sont antioxydants et anti-inflammatoires. Comme pour le poivron, leur teneur en composés bénéfiques augmente au fur et à mesure de leur mûrissement. Et contrairement aux idées reçues, cette épice n’est pas déconseillée en cas de brûlures d’estomac ou d’intestin délicats. La capsaïcine, la molécule qui génère la sensation de brûlure en bouche, stimule en effet la motricité intestinale et protège la paroi de l’estomac. Les piments peu piquants, comme celui d’Espelette, peuvent être consommés régulièrement : ils donnent une saveur subtile aux plats, ce qui permet de se passer de sel en cuisine.
Source : https://www.leparisien.fr/
Sylvia Vaisman
Selon de nouvelles recherches, la rééducation de la basse vision peut être nécessaire pour le traitement de l’atrophie géographique (GA) secondaire à la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), parallèlement au soutien multivitaminé et aux injections intravitréennes de facteur de croissance endothélial anti-vasculaire (VEGF).
Les rés
Selon de nouvelles recherches, la rééducation de la basse vision peut être nécessaire pour le traitement de l’atrophie géographique (GA) secondaire à la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), parallèlement au soutien multivitaminé et aux injections intravitréennes de facteur de croissance endothélial anti-vasculaire (VEGF).
Les résultats ont montré une augmentation statistiquement significative des scores composites globaux et des scores de vision générale obtenus à partir du questionnaire sur la fonction visuelle du National Eye Institute (NEI-VFQ-25) après 10,75 mois de rééducation de la basse vision dans ces yeux.
“Nous pensons qu’il est nécessaire d’allouer suffisamment de temps aux patients malvoyants dans les cliniques de rétine, de leur fournir une éducation et de les motiver à utiliser des dispositifs d’aide à la basse vision”, a écrit l’équipe d’enquête, dirigée par Damla Erginturk Acar, de la Faculté des sciences de la santé de l’Université d’Ankara.
Les estimations suggèrent qu’environ 300 millions de personnes dans le monde seront atteintes de DMLA d’ici 2040, en raison de l’augmentation de l’espérance de vie.2 Forme avancée de DMLA, l’atrophie géographique se caractérise par une atrophie irréversible de l’épithélium pigmentaire rétinien, des photorécepteurs et de la choriocapillaire. Influencé par l’emplacement et la taille, le stade avancé de la maladie peut avoir des effets significatifs sur la fonction visuelle et la qualité de vie liée à la vision.
La rééducation de la basse vision vise à restaurer l’autonomie d’une personne en contribuant à l’utilisation fonctionnelle de son niveau de vision actuel. Acar et ses collègues notent qu’il n’y a pas de définition exacte du succès, mais qu’il peut être atteint lorsqu’un patient trouve un appareil utile et l’utilise pour résoudre ≥ 1 problème de vision. Les activités de proximité, y compris lire et voir les téléphones portables, sont souvent les plus touchées et les médecins prescrivent fréquemment des lunettes hyperoculaires comme aides à la vision de près.
Dans leur analyse, Acar et ses collègues visaient à évaluer les méthodes de rééducation de la basse vision chez les patients atteints d’atrophie géographique liée à la DMLA et à évaluer l’effet de la rééducation visuelle sur la qualité de vie des patients utilisant le NEI-VFQ-25. Le questionnaire en 2 parties, composé de 25 questions principales et de 13 questions supplémentaires, a été appliqué à tous les patients lors de l’examen initial et ≥ 6 mois après l’examen initial. Un total de 78 yeux qui voient mieux de 78 patients consécutifs atteints d’atrophie géographique due à la DMLA qui se sont plaints de difficultés à effectuer le goût quotidien ont été inclus dans l’étude.
Les participants à l’étude ont subi un examen ophtalmologique détaillé comprenant la mesure de la meilleure acuité visuelle corrigée (MAVC) pour l’examen de près et de loin et des segments antérieur et postérieur. Lors des examens, les erreurs de réfraction ont été corrigées et des dispositifs d’aide à la vision de loin et de près, y compris des lunettes hyperoculaires, des loupes, des télémicroscopes et des appareils électro-optiques, ont été évalués pour chaque patient et prescrits pour la rééducation de la vision de près.
Sur les 78 patients inclus dans l’étude, 57 (73,1%) ont appliqué les méthodes de rééducation et ont été considérés comme le groupe de rééducation. Pour les 21 autres patients qui n’ont pas appliqué ces méthodes, ils ont été désignés comme groupe témoin.
Au sein de la population, 29 (37,2 %) patients étaient des femmes et 49 (62,8 %) étaient des hommes. Cinquante-sept (73,1%) patients qui ont appliqué les méthodes de rééducation ont été considérés comme un groupe de rééducation, et 21 (26,9%) patients qui n’ont pas appliqué ces méthodes ont été considérés comme le groupe témoin.
Les MAVC moyennes à distance et à proximité étaient significativement meilleures dans le groupe de rééducation, par rapport au groupe témoin (0,72 ± 0,26 contre 0,85 ± 0,22 logMAR [P = .008]; 3,22 ± 2,97 contre 4,30 ± 2,89 M [P = .039], respectivement). L’étude a montré que le score composite global moyen de tous les participants au questionnaire de qualité de vie (n = 78) était de 46,85 ± 11,58 points.
Après analyse, les enquêteurs ont observé une augmentation statistiquement significative du score composite global, de la vision générale, des activités proches, des activités à distance et des variables spécifiques à la vision après la rééducation (P = 0,009 pour la vision générale ; P <.001 pour les autres). Cependant, aucun changement statistiquement significatif n'a été trouvé dans le score composite global ou d'autres sous-échelles du questionnaire dans le groupe témoin (P >.05).
L’analyse a montré qu’il était recommandé à tous les patients d’utiliser ≥ 1 aide à la basse vision pour la vision de près. Des lunettes hyperoculaires étaient recommandées pour 77 patients (98,72 %), des loupes pour 15 patients (19,23 %), des appareils électro-optiques pour 2 patients (2,56 %) et un télémicroscope pour 1 patient (1,28 %). Les enquêteurs ont noté que 17 patients (21,8 %) se sont vu prescrire plus d’une aide pour la basse vision ; cependant, pour la vision de loin, seuls 29 patients (37,18 %) ont reçu une recommandation pour une aide à la basse vision.
Les enquêteurs ont noté les niveaux élevés d’anxiété chez les personnes atteintes d’une perte de vision centrale progressive, suggérant que la réadaptation de la basse vision permettra une plus grande indépendance et confiance chez ces patients.
“Utiliser au mieux leur capacité de vision fonctionnelle actuelle leur permettra de devenir des individus indépendants, autonomes, productifs, confiants et heureux en leur permettant d’avoir une vie sociale et d’améliorer leur qualité de vie”, ont écrit les enquêteurs.
Soource: https://www.nouvelles-du-monde.com/
La DMLA humide et la rétinopathie diabétique sont les principales causes de cécité chez les personnes âgées et en âge de travailler. Pour élaborer un traitement, une protéine initialement caractérisée dans un venin de serpent est à l’étude : la Lébécétine. Le projet Reverse, porté par l’équipe de Xavier Guillonneau de l’Institut de la Vi
La DMLA humide et la rétinopathie diabétique sont les principales causes de cécité chez les personnes âgées et en âge de travailler. Pour élaborer un traitement, une protéine initialement caractérisée dans un venin de serpent est à l’étude : la Lébécétine. Le projet Reverse, porté par l’équipe de Xavier Guillonneau de l’Institut de la Vision (Sorbonne Université, Inserm, CNRS) en co-maturation avec la SATT Lutech et Lamark Biotech, vise à développer d’une nouvelle formulation de cette protéine, afin d’augmenter sa stabilité et autoriser une diffusion lente (« slow release »). L’objectif de la co-maturation est de réaliser cette nouvelle co-formulation de la Lébécétine et d’évaluer son efficacité.
La Lébécétine est un traitement inhibiteur de néovascularisation très prometteur notamment pour 30 % des patients atteints de rétinopathie diabétique et les 10 % atteints de DMLA qui ne répondent pas de façon satisfaisante aux anti-VEGF*.
La nouvelle formulation de la Lébécétine pourrait permettre d’espacer les injections dans l’œil (aujourd’hui mensuelle ou bimensuelle), un gain de temps pour les patients âgés et d’agilité pour les diabétiques qui cumulent les pathologies et les rendez-vous médicaux.
« L’institut de la vision est spécialisé sur la partie ophtalmologique, nous avons tous les équipements pour vérifier si les formulations sont efficaces. Lamark Biotech a une expertise sur l’enrobage de molécules. Nous sommes complémentaires chacun dans nos domaines avec nos partenaires et c’est une force » explique Xavier Guillonneau.
Les trois partenaires échangent régulièrement sur l’avancée scientifique, technologique et juridique du projet Reverse. Rendez-vous dans un an pour les premiers résultats.
*Le VEGF est une substance, fabriquée en excès dans l'œil lors de certains états pathologiques, facteur de croissance de vaisseaux anormaux sous la rétine. L'injection d'anti-VEGF permet de faire diminuer ces néo-vaisseaux.
Source: https://www.acuite.fr/
La cécité désigne la perte totale de la vision. En France, 207.000 personnes seraient aveugles. Éclairage avec le Dr Laurence Desjardins, ophtalmologiste.
La France compte 1,7 millions de personnes déficientes visuelles dont 207.000 aveugles, souffrant ainsi de cécité. Selon la Fédération des aveugles de France, l
La cécité désigne la perte totale de la vision. En France, 207.000 personnes seraient aveugles. Éclairage avec le Dr Laurence Desjardins, ophtalmologiste.
La France compte 1,7 millions de personnes déficientes visuelles dont 207.000 aveugles, souffrant ainsi de cécité. Selon la Fédération des aveugles de France, la cécité désigne une perte totale ou très sévère de la vision. A ne pas confondre avec la déficience. Il existe ainsi cinq stades dans la perte de la vue :
► La cécité absolue ;
► La cécité sévère ou déficience presque totale qui correspond à une acuité visuelle inférieure à 1/50 avec une perception de la lumière ou bien un champ visuel inférieur à 5 degrés ;
► La déficience profonde qui correspond à une acuité visuelles inférieure à 1/20 et supérieure à 1/50 ou un champ visuel entre 5 et 10 degrés ;
► La déficience sévère qui correspond à une acuité visuelle inférieure à 1/10 et supérieur à 1/20 ;
► La déficience moyenne qui correspond à une acuité visuelle inférieure à 3/10 et supérieure à 1/10 ou un champ visuel d'au moins 20 degrés.
La rétinopathie diabétique est la première cause de cécité avant 65 ans, en France. Le glaucome peut également progresser jusqu'à la cécité. "La cataracte est également l'une des principales causes de cécité mais principalement dans les pays en voie de développement par manque de chirurgiens permettant la réalisation de l'opération", explique le Dr Laurence Desjardins, ophtalmologiste de l'Institut Curie et directrice de la Société française d'Ophtalmologie. Concernant la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA), "la maladie est une cause de malvoyance mais pas de cécité. Si la macula est touchée par la maladie, le champ visuel périphérique, lui, reste intact. C'est l'inverse du glaucome", précise l'ophtalmologiste.
"Il n'y a pas de règles concernant les symptômes. Cela dépend de la cause."
► La rétinopathie diabétique : première cause de cécité avant 65 ans, la rétinopathie diabétique entraîne une altération du champ visuel et une baisse d'acuité visuelle rendant ainsi la lecture, les déplacements et l'orientation difficiles.
► Le glaucome : dans le cas d'un glaucome, le rétrécissement du champ visuel est lent et progressif. "La maladie étant le plus souvent asymptomatique pour les glaucomes à angle ouvert, un contrôle régulier de la tension oculaire dès 50 ans est recommandé."
► La cataracte : la cataracte se caractérise par une baisse progressive de la vision. Le patient voit alors flou et devient sensible à la lumière. S'en suit une perte de la vision des couleurs. Lire, voir les visages devient difficile mais la vision périphérique reste intacte, permettant à la personne de vivre en toute autonomie. En France, la cataracte n'entraîne pas de cécité grâce aux 600.000 opérations qui ont lieu chaque année. Dans certains pays en voie de développement, en revanche, un sujet atteint par la cataracte peut devenir aveugle.
"Il n'y a pas de règles concernant la vitesse de progression de la maladie. Cela dépend de chaque pathologie. La progression de la cataracte, par exemple, peut être très lente."
Le traitement dépend de la pathologie.
► La rétinopathie diabétique : le traitement le plus adapté est de contrôler le diabète. Le laser ou des injections intra vitréennes peuvent permettre au patient de protéger sa vue ;
► Le glaucome : le glaucome peut être traité grâce à des gouttes, du laser et de la chirurgie afin de limiter sa progression ;
► La cataracte : une opération visant à remplacer le cristallin par un cristallin artificiel permet d'éviter la progression de la maladie vers la cécité.
Merci au Dr Laurence Desjardins, ophtalmologiste de l'Institut Curie et directrice de la Société française d'Ophtalmologie.
Source: https://sante.journaldesfemmes.fr/
JOurnaliste : Morgane Rubetti
Avec toutes les façons dont les tomates favorisent la santé, protègent votre peau et préviennent les maladies chroniques, vous voudrez peut-être en ajouter plus qu'une tranche occasionnelle dans une salade verte.
Avec toutes les façons dont les tomates favorisent la santé, protègent votre peau et préviennent les maladies chroniques, vous
Avec toutes les façons dont les tomates favorisent la santé, protègent votre peau et préviennent les maladies chroniques, vous voudrez peut-être en ajouter plus qu'une tranche occasionnelle dans une salade verte.
Avec toutes les façons dont les tomates favorisent la santé, protègent votre peau et préviennent les maladies chroniques, vous voudrez peut-être en ajouter plus qu’une tranche occasionnelle dans une salade verte.
Vous pourriez remplacer votre pomme quotidienne par une autre bouchée rouge et juteuse : une tomate. Des recherches ont montré que ce fruit polyvalent, oui, c’est un fruit, et techniquement une baie, présente de nombreux avantages pour la santé. Une tomate crue de taille moyenne contient plus d’un gramme de fibres pour seulement 22 calories, ainsi que du potassium, de la vitamine A et de l’antioxydant lycopène. Les tomates ont également la particularité d’être le fruit qui contient le plus d’eau, avec 94 %, elles sont encore plus hydratantes que la pastèque.
On trouve facilement des tomates fraîches, en conserve ou sous forme de pâte ou de sauce, ce qui les rend faciles à incorporer dans les menus de la semaine et accessibles à la plupart des budgets. Le concentré ou le coulis de tomates contient en fait plus de nutriments concentrés que les tomates crues ou en conserve, mais la cuisson de tomates fraîches, par exemple dans une sauce pour pâtes, peut donner un résultat similaire en éliminant l’eau contenue dans les tomates. Si vous optez pour des produits transformés à base de tomates, recherchez ceux qui ne contiennent pas de sucre, de sel ou d’huile ajoutés, dans la mesure du possible.
Les tomates contiennent beaucoup de lycopène, un caroténoïde, un pigment liposoluble qui donne leur couleur aux fruits rouges. On a constaté que le lycopène protège contre le stress oxydatif, y compris les dommages causés par les rayons ultraviolets (UV) du soleil. En substance, si vous mangez suffisamment de ce fruit, certaines recherches montrent qu’il pourrait agir comme un écran solaire interne en prévenant les coups de soleil et, potentiellement, le cancer de la peau. Cela dit, les recherches sont toujours en cours et un bol de tomate ne devrait pas remplacer l’application régulière de crème solaire.
Le lycopène contenu dans les tomates (surtout présent dans leur peau) pourrait protéger contre d’autres cancers que ceux de la peau. Des recherches ont montré que les personnes qui consomment le plus de tomates ont tendance à avoir moins de cancers du sein, de la prostate et du poumon, peut-être parce que le lycopène contenu dans les tomates inhibe la croissance des cellules cancéreuses et module la fonction immunitaire. Le lycopène, ainsi que d’autres antioxydants présents dans les tomates, agissent en synergie pour protéger les cellules des dommages causés par les radicaux libres. Les radicaux libres sont des composés associés à la maladie et au vieillissement, de sorte que les tomates peuvent jouer un rôle crucial dans la prévention des maladies.
Dans les produits concentrés à base de tomates, comme le concentré de tomates, la teneur en lycopène peut être plus élevée mais cela ne signifie pas qu’il faille renoncer aux fruits frais, car le lycopène y est toujours abondant.
Encore une mise en garde : pour maximiser les bienfaits protecteurs du lycopène, il faut manger les tomates avec des graisses saines, car les caroténoïdes ont besoin de graisses pour être correctement absorbés par l’organisme. Essayez les tomates avec des avocats ou de l’huile d’olive, par exemple, dans une salade, pour en tirer tous les bénéfices.
Outre le lycopène, les tomates contiennent des caroténoïdes, la lutéine et la zéaxanthine, qui contribuent à la préservation de la santé des yeux et à la prévention de la dégénérescence maculaire liée à l’âge et de la cataracte. La vitamine A contenue dans les tomates est un autre nutriment essentiel pour la santé des yeux et peut également réduire le risque de dégénérescence maculaire et aider à prévenir la cécité nocturne.
Les tomates contiennent environ 94 % d’eau, ce qui les rend ultra-hydratantes. Elles contiennent également du potassium (292 milligrammes [mg] par tomate moyenne), un électrolyte qui favorise une bonne hydratation en aidant à maintenir le volume de liquide intracellulaire.
Une tasse de tomates hachées fournit environ 27 % de la valeur quotidienne recommandée en vitamine C, un antioxydant qui soutient la fonction immunitaire et la production de collagène, réduit l’inflammation et aide à protéger contre les dommages causés par les radicaux libres à l’origine de maladies et le vieillissement. En associant les tomates à des protéines maigres riches en fer comme les haricots, les lentilles, le tofu, le poulet sans peau et la dinde, ainsi qu’à des graisses saines comme l’huile d’olive, les noix et les graines, vous optimiserez l’apport en nutriments.
Une alimentation riche en tomates peut contribuer à diversifier le microbiome intestinal, ce qui permet de maintenir une digestion équilibrée et un système immunitaire optimisé. Bien que la recherche dans ce domaine en soit encore à ses débuts, des expériences menées sur des souris ont montré qu’une supplémentation alimentaire en poudre de tomate augmentait de manière significative la diversité et la richesse du microbiote intestinal des rongeurs et réduisait la réponse inflammatoire, ce qui indique que les tomates présentent un potentiel pour le traitement des maladies inflammatoires de l’intestin. Un microbiome sain et diversifié a été associé à un certain nombre de bienfaits pour la santé, notamment l’amélioration de l’immunité et la prévention de maladies telles que le cancer et les maladies inflammatoires du foie en régulant l’accumulation de bactéries nocives.
Une consommation élevée de tomates a été associée à un risque plus faible de maladie cardiovasculaire et de décès par maladie coronarienne, selon une étude publiée dans Frontiers in Nutrition en mars 2022. L’une des raisons possibles : Les antioxydants et autres nutriments contenus dans les tomates, en particulier le lycopène, ont été associés à une réduction du risque de maladie cardiaque, selon une méta-analyse antérieure. Une étude a montré que la sauce tomate enrichie en huile d’olive réduisait le taux de cholestérol et les biomarqueurs de l’inflammation.
Avec seulement 20 calories par fruit de taille moyenne, les tomates fraîches sont un aliment peu calorique, et leur teneur en fibres et en eau peut vous aider à vous sentir rassasié plus longtemps et à maintenir un poids sain. Les tomates en conserve ont des propriétés similaires, à condition qu’elles aient été traitées sans sucre ni sodium ajoutés (vérifiez l’étiquette nutritionnelle pour vous en assurer). Une petite étude passée a montré qu’une supplémentation en jus de tomate réduisait de manière significative le poids corporel, mais des recherches supplémentaires sont nécessaires pour étayer ces résultats. Quoi qu’il en soit, l’incorporation de tomates dans votre régime alimentaire peut faire partie d’une alimentation équilibrée qui recommande la règle générale de remplir la moitié de votre assiette avec des légumes non féculents ou des fruits comme les tomates.
Source : https://www.pressesante.com/ Journaliste : Marie Desange
Le Québec devient la première province à rembourser le biosimilaire Byooviz, prescrit pour le traitement d’affections oculaires.
La Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) suit la recommandation de remboursement que l’Institut national d’excellence en santé et en services sociaux (INESSS) avait donné en décembre 2022.
De son côté, Sa
Le Québec devient la première province à rembourser le biosimilaire Byooviz, prescrit pour le traitement d’affections oculaires.
La Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) suit la recommandation de remboursement que l’Institut national d’excellence en santé et en services sociaux (INESSS) avait donné en décembre 2022.
De son côté, Santé Canada a délivré son approbation de Byooviz dans le traitement de la forme néovasculaire (humide) de la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), de la déficience visuelle due à un œdème maculaire diabétique, à un œdème maculaire secondaire à une occlusion veineuse rétinienne, à une néovascularisation choroïdienne secondaire à une myopie pathologique et à une néovascularisation choroïdienne secondaire à des problèmes oculaires autres que la DMLA ou la myopie pathologique.
Ce biosimilaire peut se substituer au médicament biologique Lucentis. Byooviz est un inhibiteur du facteur de croissance de l’endothélium vasculaire (FCEV), c’est-à-dire un médicament permettant de ralentir la formation de vaisseaux sanguins anormaux. Les inhibiteurs du FCEV sont bien établis dans le traitement de divers troubles vasculaires rétiniens, y compris la DMLA, qui compte pour 90 % des nouveaux cas de cécité légale au Canada.
Ce biosimilaire recèle des possibilités d’économies importantes. Selon Express Scripts Canada, le coût de Lucentis varie de 10 000 $ à 19 000 $ par année par patient. Lucentis se classait en 2020-2021 au premier rang des médicaments non brevetés les plus coûteux pour les régimes publics d’assurance médicaments canadiens, selon le Conseil d’examen du prix des médicaments brevetés (CEPMB).
Source : https://www.avantages.ca/
La couleur de nos yeux influence-t-elle la façon de voir les couleurs de ce que nous voyons ?
Bernard Imbeault
Non, mais il y a de subtiles différences de vision selon la couleur des yeux.
La pupille des iris bruns a une plus grande contractilité – c’est-à-dire une plus grande capacité à se contracter pour modifier la quantité de lumière qu
La couleur de nos yeux influence-t-elle la façon de voir les couleurs de ce que nous voyons ?
Bernard Imbeault
Non, mais il y a de subtiles différences de vision selon la couleur des yeux.
La pupille des iris bruns a une plus grande contractilité – c’est-à-dire une plus grande capacité à se contracter pour modifier la quantité de lumière qui atteint la rétine – que celle des yeux verts et bleus, explique Philippe Valmaggia, de l’Université de Bâle, en Suisse, qui a publié en novembre dernier une étude sur le sujet dans la revue Translational Vision Science and Technology. « Nous n’avons pas encore mesuré quel impact clinique cela avait. »
Marie-Claude Robert, ophtalmologiste au CHUM, confirme que les gens qui ont des yeux bleus sont plus facilement éblouis que ceux qui ont des yeux bruns. « C’est probablement la cause de la différence de contractilité observée dans l’étude », dit la Dre Robert.
Elle prévient cependant que les différences sont faibles comparées aux variations naturelles dans la population, et que la revue où l’étude suisse a été publiée a un faible « facteur d’impact », une mesure de la qualité d’une revue scientifique.
L’étude du Dr Valmaggia a été faite sur 71 patients en santé.
Les études scientifiques sur les effets cliniques de la couleur des yeux ne courent pas les rues. Une étude texane, publiée en 2010 dans le Journal of Ocular Pharmacology and Therapeutics, a conclu que la couleur des yeux n’affecte pas la capacité de voir dans la pénombre. Une étude australienne, publiée en 2000 dans l’American Journal of Ophtalmology, affirmait de son côté que les yeux bleus augmentaient le risque de cataracte de 60 %. Et une étude autrichienne, publiée en 2012 dans la revue Graefe’s Archive for Clinical and Experimental Ophtalmology, concluait que les gens ayant des yeux bruns étaient 14 % moins souvent victimes d’éblouissements pathologiques, mais n’avaient pas une meilleure acuité que les gens ayant des yeux bleus.
La dégénérescence maculaire est le seul trouble pour lequel il existe un lien démontré avec la couleur des yeux, selon la Dre Robert.
Il est connu que la couleur des yeux augmente très faiblement le risque de dégénérescence maculaire.
La Dre Marie-Claude Robert, ophtalmologiste au CHUM
« Les femmes et les hypermétropes ont aussi un risque un peu plus élevé », souligne l’ophtalmologiste.
La Dre Robert juge qu’il s’agit d’un sujet délicat. « Je vois parfois des patients qui ont tenté ou envisagent une opération pour changer la couleur de leurs yeux, dit la Dre Robert. Ce ne sont pas des interventions sécuritaires. C’est même très dangereux. Il ne faudrait absolument pas que les gens pensent que la couleur de leurs yeux les prédispose à des problèmes de santé à un tel niveau qu’il faut changer de couleur. »
À la base, à quoi est due la différence de couleurs des yeux ? « Les yeux bruns ont des pigments et les yeux bleus n’en ont pas, dit la Dre Robert. On voit le fond de l’œil, qui est sombre, mais par diffraction, il apparaît bleu. C’est comme le ciel qui est bleu même si l’espace derrière est noir. »
* ACADÉMIE AMÉRICAINE D’OPHTALMOLOGIE
Source: https://www.lapresse.ca/ Journaliste: Mathieu Perreault
es bébés prématurés à travers l’Angleterre se verront offrir un médicament pour sauver la vue, a annoncé le NHS.
La rétinopathie du prématuré (ROP) est une maladie oculaire qui peut survenir chez les bébés nés prématurément ou ceux nés avec un faible poids à la naissance.
Le NHS dépiste régulièrement ces bébés pour la maladie, qui affecte
es bébés prématurés à travers l’Angleterre se verront offrir un médicament pour sauver la vue, a annoncé le NHS.
La rétinopathie du prématuré (ROP) est une maladie oculaire qui peut survenir chez les bébés nés prématurément ou ceux nés avec un faible poids à la naissance.
Le NHS dépiste régulièrement ces bébés pour la maladie, qui affecte les vaisseaux sanguins de la rétine, créant des tissus cicatriciels dommageables et provoquant la cécité.
Traditionnellement, la maladie est traitée par chirurgie oculaire au laser, mais certains bébés sont trop malades ou trop fragiles pour subir le traitement.
Maintenant, le NHS propose un nouveau ranibizumab, un nouveau médicament « qui change la vie », aux bébés atteints de ROP à travers l’Angleterre qui ne peuvent pas recevoir de traitement traditionnel.
Environ 20 bébés par an en bénéficieront, estime-t-on.
Le médicament est déjà couramment utilisé chez les adultes atteints de dégénérescence maculaire liée à l’âge humide.
Il agit en arrêtant temporairement l’action d’une protéine de croissance appelée facteur de croissance de l’endothélium vasculaire, qui réduit ou inverse la croissance des vaisseaux sanguins anormaux.
La directrice générale du NHS, Amanda Pritchard, a déclaré: «Les effets de la perte de vision peuvent être absolument dévastateurs, en particulier pour les enfants et les jeunes, il est donc fantastique que ce traitement offre désormais aux familles à travers le pays une autre option qui change la vie pour aider à sauver la précieuse vue de leur enfant. .
«Le déploiement national de ce traitement vital pour les bébés qui sont trop malades pour subir une thérapie au laser est une étape essentielle dans la prévention de la perte de vision évitable, et alors que nous nous préparons à marquer notre 75e anniversaire, c’est un autre exemple de la façon dont le NHS continue à veiller à ce que les traitements les plus récents et les plus efficaces soient disponibles pour tous ceux qui en ont besoin.
Une mère a décrit à quel point sa fille avait eu la « chance » d’avoir reçu le traitement.
Millie Swan, de Surrey, est née prématurément à 23 semaines.
Elle a passé cinq mois à l’hôpital et a développé une rétinopathie du prématuré.
Quand elle avait trois mois, la condition est devenue si grave dans son œil gauche qu’elle avait besoin d’un traitement urgent pour sauver sa vue.
L’histoire continue
La mère de Millie, Natalie, a déclaré: «Elle était censée subir un traitement au laser, qui est la façon habituelle de traiter cette maladie, mais quand ils lui ont donné le sédatif pour la préparer à la procédure, elle ne l’a pas du tout toléré, donc ils ne pouvaient pas. lancer la procédure.
“À ce stade, nous pensions qu’elle finirait aveugle de l’œil gauche, mais nous avons eu la chance de nous voir proposer ce nouveau traitement, qui consistait en une injection dans l’œil.
“Millie aura trois ans en juillet et sa vue est maintenant normale et elle aime regarder les photos dans ses livres et les avions dans le ciel.
“Nous nous sentons tellement chanceux qu’elle ait pu avoir cette procédure et évité une cécité presque certaine dans cet œil – et maintenant d’autres familles pourront également en bénéficier.”
Source : https://www.nouvelles-du-monde.com/
La consommation de cerises acides est associée à des niveaux réduits d’oxyde nitri
La consommation de cerises acides est associée à des niveaux réduits d’oxyde nitrique, un composé associé à l’arthrose et à la polyarthrite rhumatoïde. Des études montrent que le risque de développer la goutte, en consommant ces fruits, diminue de 35 %.
Les cerises soulagent la douleur et peuvent fournir une protection antioxydante comparable aux suppléments disponibles dans le commerce tels que la vitamine E. La consommation quotidienne de cerises peut réduire le risque de maladies cardiovasculaires ou chroniques liées à l’inflammation, d’arthrite et de goutte. Les cerises offrent des avantages cardiovasculaires et peuvent également réduire le risque d’accident vasculaire cérébral.
Contrairement aux cerises, les cerises acides contiennent moins de sucre et sont recommandées dans les programmes de perte de poids en raison du potassium qui aide à brûler les calories et fournit une énergie optimale pour le bon fonctionnement de l’organisme. Consommer des cerises acides aide également à éliminer la graisse de l’abdomen et de la taille, 100 grammes ne contenant que 60 calories.
Les cerises sont riches en vitamine A, qui aide à protéger les yeux et à offrir une vision plus claire. La vitamine A ainsi que d’autres vitamines antioxydantes aident à réduire le risque de dégénérescence maculaire.
Les antioxydants présents dans ces fruits ont également prouvé leur efficacité au niveau du fonctionnement cérébral, améliorant les fonctions cognitives. Ainsi, ils peuvent également prévenir l’apparition de la maladie d’Alzheimer et de la maladie de Parkinson.
Bon allié contre l’insomnie, les cerises acides améliorent la qualité du sommeil et préviennent la nervosité, c’est pourquoi elles agissent comme un somnifère doux. Ils peuvent être consommés deux à trois heures avant d’aller au lit.
Les cerises sont appréciées pour leurs effets régénérants et tonifiants sur la peau. Ils peuvent être utiles dans le traitement de la couperose, une forme d’acné rosacée qui survient principalement chez les personnes de plus de 30 ans, quel que soit leur sexe. En même temps, ils ont également un effet émollient, pouvant améliorer les fissures cutanées
Les lunettes de soleil ne sont pas qu’un accessoire de mode. Comme la crème solaire, elles sont indispensables pour filtrer les rayons UV du soleil et protéger les yeux des plus petits. Un ophtalmologue héraultais répond aux questions de France 3 Occitanie.
Dans vos valises, vous avez pensé à emporter la crème solaire pour protéger la pea
Les lunettes de soleil ne sont pas qu’un accessoire de mode. Comme la crème solaire, elles sont indispensables pour filtrer les rayons UV du soleil et protéger les yeux des plus petits. Un ophtalmologue héraultais répond aux questions de France 3 Occitanie.
Dans vos valises, vous avez pensé à emporter la crème solaire pour protéger la peau de vos enfants, mais vous avez probablement oublié de mettre des lunettes de soleil pour vos petits. Pourtant, comme la peau, les yeux des plus jeunes peuvent être affectés par l’exposition au soleil.
Les yeux des enfants sont plus fragiles, ils sont plus sensibles à la lumière que ceux des adultes. Les plus petits sont particulièrement concernés, puisque leurs tissus oculaires sont en plein développement. Les cinq premières années sont les plus importantes.
Il y a deux zones qui participent au risque lié au soleil : - l’iris qui est le diaphragme de l’œil, n’est pas complètement opaque chez l’enfant et donc la lumière passe de façon plus importante. - Le cristallin est beaucoup plus transparent qu’à l’âge adulte, il arrête moins bien les UV et la lumière bleue du soleil.
Marc-Antoine Chatel Ophtalmologue
En cas d’exposition prolongée au soleil, en particulier à la mer ou à la montagne, la protection solaire est indispensable. Le phénomène de réverbération amplifie l’intensité du rayonnement ultraviolet (UV).
Les UV peuvent causer des dommages. À court terme, ils peuvent créer des lésions, mais aussi entraîner des problèmes de vue à plus long terme.
Les dégâts se font sentir sur le long terme. Les pathologies de l’œil comme la cataracte et la DMLA (dégénérescence maculaire liée à l'âge) peuvent être aggravées par une exposition solaire trop importante.
Marc Antoine ChatelOphtalmologue
L'Étude POLA (Pathologies Oculaires Liées à l’Age) menée par une équipe INSERM de Montpellier a montré une nette corrélation entre l’exposition prolongée au rayonnement solaire et l’apparition précoce de cataracte. Le port fréquent de lunettes de soleil semble diminuer de 40 % le risque d'apparition de certaines cataractes.
ource : Il est recommandé de choisir un modèle certifié et un verre de catégorie 3 au minimum. L’apposition du marquage CE sur une des branches garantit a priori à l’utilisateur que les lunettes répondent à des exigences de sécurité et de performances minimales notamment en termes de filtration des rayons du soleil (visible ou non). Source: https://france3-regions.francetvinfo.fr/ Esmeralda Terpereau
Tendres et croquants, les petits pois évoquent souvent l’enfance et sont d’autant plus agréables à cuisiner qu’ils s’accommodent de très nombreuses manières. Mais ils sont aussi bien connus pour leur concentration en glucides… Peut-on, alors, les intégrer dans un régime minceur, ou risquent-ils de contrarier notre perte de poids ?
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Tendres et croquants, les petits pois évoquent souvent l’enfance et sont d’autant plus agréables à cuisiner qu’ils s’accommodent de très nombreuses manières. Mais ils sont aussi bien connus pour leur concentration en glucides… Peut-on, alors, les intégrer dans un régime minceur, ou risquent-ils de contrarier notre perte de poids ?
Le petit pois est un légume printanier qui a la cote ! Riche en fibres, antioxydant, rassasiant… Il s’invite dans nos assiettes dès le mois d’avril et jusqu’à la fin du mois de juillet. On pense souvent à lui dans le cadre de régimes minceur pour diversifier sa consommation de légumes verts, mais est-ce vraiment une bonne idée, étant donné sa teneur en glucides ? On fait le point.
Les petits pois sont réputés pour leur richesse en nutriments essentiels. Bouillis ou cuits à l’eau, ils apportent en moyenne 9,93 g de glucides aux 100 grammes, 6,3 g de protéines, 4,8 g de fibres alimentaires et 0,6 g de lipides (source 1). Ils sont aussi réputés pour leur richesse en calcium, en fer, en phosphore, en potassium, en vitamine B9, en vitamine C et en vitamine K1.
Les petits pois figurent parmi les légumes les plus caloriques : comptez en moyenne 80 calories aux 100 grammes pour des petits pois frais et bouillis et entre 90 et 100 calories aux 100 grammes pour des petits pois en conserve. Pour cause ? Les conserves sont généralement chargées en sucre pour relever le goût. Certes, cela plaît aux enfants, mais en réalité, mieux vaut miser sur des petits pois frais ou surgelés non transformés que l’on cuisine soi-même.
À titre de comparaison, les betteraves fournissent environ 43 Kcal aux 100 grammes, les carottes fournissent environ 40 Kcal aux 100 grammes, les choux-fleurs fournissent environ 30 Kcal aux 100 grammes lorsqu'ils sont cuits à la vapeur et les légumineuses comme les pois chiches fournissent environ 147 calories pour 100 grammes.
Les petits pois sont considérés comme des légumes santé par excellence :
Au risque de vous décevoir, les petits pois en eux-mêmes ne font pas « grossir » ou « maigrir ». En règle générale on les plébiscite plutôt dans le cadre d’une perte de poids. Pour cause ? Ils contiennent des glucides complexes qui sont digérés lentement par l’organisme, ce qui signifie qu’ils fournissent une énergie soutenue dans le temps et limitent les pics de glycémie. Par ailleurs, les fibres présentes dans les petits pois favorisent la satiété, ce qui permet de se sentir rassasié(e) plus longtemps et de réduire les fringales.
Si vous consommez régulièrement des petits pois dans le cadre d’un régime alimentaire équilibré et que vous vous servez en quantités raisonnables, la consommation de petits pois ne devrait donc pas entraîner une prise ou une perte de poids significative. Dans l’idéal, privilégiez la cuisson à la vapeur et ajoutez un filet d’huile d’olive. Le cas échéant, veillez à ne pas avoir la main trop lourde sur la cuisson et l’assaisonnement : « si les petits pois sont cuisinés à la poêle avec beaucoup de beurre et qu’on y ajoute du fromage râpé ou de la crème, la facture calorique augmente forcément », souligne le Dr Nina Cohen-Koubi, médecin nutritionniste. Et de rappeler :
Pour perdre ou prendre du poids sans mettre sa santé en danger, il faut miser sur une alimentation équilibrée qui inclut toutes les familles d’aliments.
En théorie, vous pouvez manger autant de petits pois que vous le voulez. Mais en réalité, les excès ne sont jamais bénéfiques pour notre santé. Autrement dit, hors de question d’engloutir des conserves de petits pois toute la journée… « Comme tout aliment, les petits pois doivent être consommés avec modération. Dans l’idéal, on diversifie les légumes, qui doivent remplir à peu près la moitié de notre assiette, midi et soir », conseille la nutritionniste.
Comme indiqué ci-dessus, les petits pois sont relativement faibles en calories par rapport à d’autres aliments. Si vous en consommez en trop grande quantité et au détriment d’autres aliments, vous vous exposez à un déséquilibre nutritionnel et à de potentielles carences alimentaires. À la clé ? Une baisse d’immunité, des troubles cognitifs et des désordres physiologiques divers.
Sans oublier que les petits pois peuvent être à l’origine de ballonnements et distendre l’estomac, d’où un inconfort digestif accompagné de douleurs abdominales, ajoute le Dr Cohen-Koubi.
La santé de nos yeux est essentielle pour mener une vie épanouissante et indépendante. Malheureusement, de nombreux problèmes de vision peuvent survenir et causer des pertes de vue importantes. Heureusement, il existe des mesures préventives que nous pouvons prendre pour protéger notre vision et réduire le risque de perte de la vue. Dans
La santé de nos yeux est essentielle pour mener une vie épanouissante et indépendante. Malheureusement, de nombreux problèmes de vision peuvent survenir et causer des pertes de vue importantes. Heureusement, il existe des mesures préventives que nous pouvons prendre pour protéger notre vision et réduire le risque de perte de la vue. Dans cet article, nous examinerons neuf conseils essentiels pour maintenir une bonne santé oculaire et prévenir les problèmes de vision.
Les examens oculaires réguliers sont le seul moyen de détecter divers problèmes de vision, notamment des maladies telles que le glaucome, qui ne présente aucun symptôme à ses stades précoces mais qui est une cause majeure de cécité chez les personnes de plus de 60 ans. La dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), une cause majeure de perte de vision chez les personnes de plus de 50 ans, peut également commencer sans aucun symptôme aux stades les plus précoces, mais peut être détectée lors d’un examen oculaire complet.
Examens oculaires complets selon le calendrier suivant :
Une fois dans la vingtaine
Deux fois dans la trentaine
Encore à l’âge de 40 ans, lorsque les premiers signes de maladie ou de changements de vision peuvent survenir
Tous les un ou deux ans si vous avez 65 ans ou plus
Certaines personnes peuvent avoir besoin de consulter leur ophtalmologue plus fréquemment. Si vous portez des lentilles de contact, vous devriez consulter votre ophtalmologiste une fois par an. Si vous êtes diabétique ou avez des antécédents familiaux de maladies oculaires, en particulier le glaucome, parler à votre médecin de la fréquence à laquelle vous devriez faire vérifier vos yeux.
Arrêtez le tabac sous toutes ses formes. Fumer est aussi nocif pour vos yeux que pour le reste de votre corps. Le tabagisme peut entraîner des problèmes oculaires graves pouvant entraîner une perte de vision ou la cécité, notamment la DMLA et les cataractes. Si vous fumez, vous avez deux fois plus de chances de développer une DMLA que les personnes qui ne fument pas. La DMLA affecte la vision centrale, dont vous avez besoin pour voir les objets clairement et pour les tâches quotidiennes telles que la lecture, la reconnaissance des visages et la conduite. Si vous fumez, vous êtes également deux à trois fois plus susceptible de développer des cataractes que les personnes qui ne fument pas. Les cataractes causent une vision floue qui s’aggrave avec le temps et peut entraîner une perte de vision importante. Arrêter de fumer peut réduire votre risque à la fois de DMLA et de cataractes, et si vous avez déjà une DMLA, arrêter de fumer peut ralentir la progression de la maladie.
Les rayonnements ultraviolets (UVA et UVB) du soleil et des lits de bronzage provoquent des modifications de l’ADN qui peuvent conduire à des cancers de la peau sur les paupières ainsi qu’au vieillissement prématuré de la peau autour des yeux, selon la Fondation du cancer de la peau. Les rayonnements ultraviolets peuvent également provoquer d’autres problèmes oculaires graves, notamment :
Les cataractes obscurcissent et jaunissent le cristallin de votre œil, entraînant une perte de vision qui s’aggrave avec le temps. Au moins 10 % des cas de cataracte sont dus à l’exposition aux UV.
Ces cancers de l’œil sont plus fréquents qu’auparavant.
Pour protéger vos yeux du soleil, les lunettes de soleil sont indispensables. Cela s’applique chaque fois que vous êtes exposé au soleil, toute l’année. Mais ne vous laissez pas tromper en pensant que plus elles sont foncées, mieux c’est. C’est l’autocollant que vous retirez des lunettes lorsque vous les achetez qui importe », dit-elle. Les lunettes de soleil doivent offrir une protection complète de 99 à 100 % contre les rayons UVA et UVB (longs et courts). Vous devriez également porter un chapeau avec un rebord et un tissu tissé serré, ainsi qu’une crème solaire à large spectre avec un SPF de 15 ou plus.
Lorsque vos yeux ne produisent pas suffisamment de larmes ou le bon type de larmes, cela s’appelle la sécheresse oculaire. Paradoxalement, l’un des symptômes les plus courants de la sécheresse oculaire est un œil avec beaucoup de larmes, car vos yeux produisent plus de larmes lorsqu’ils sont irrités par la sécheresse oculaire. La sécheresse oculaire peut également provoquer des picotements, des brûlures, des rougeurs, des irritations et des douleurs, et peut affecter votre vision.
Les causes de la sécheresse oculaire comprennent :
Le vieillissement ou les changements hormonaux. La sécheresse oculaire est particulièrement fréquente chez les femmes après la ménopause.
Les maladies telles que la polyarthrite rhumatoïde, le syndrome de Sjögren, les maladies thyroïdiennes et le lupus.
La blépharite (lorsque les paupières sont rouges ou enflées).
L’entropion (lorsque les paupières se tournent vers l’intérieur) ; l’ectropion (lorsque les paupières se tournent vers l’extérieur).
Le fait d’être dans un climat fumeux, venteux ou très sec.
L’utilisation prolongée de lentilles de contact.
La chirurgie réfractive des yeux, telle que le LASIK.
Travailler toute la journée sur un ordinateur peut vous donner la sécheresse oculaire, tout comme la lecture prolongée. Cela est en partie dû au fait que lorsque nous faisons des activités de près, nous clignons moins des yeux, explique Taylor.
Évitez d’utiliser un sèche-cheveux.
Évitez les pièces très chaudes. Ajoutez de l’humidité à l’air avec un humidificateur pendant les mois d’hiver.
Source: https://www.pressesante.com/ Marie Desange
Une nouvelle campagne de dépistage à partir de Milan pour intercepter et traiter les personnes atteintes de maculopathie et risquant de perdre la vue presque sans s’en rendre compte
La partie centrale de la rétine “aveugle” et lire, conduire, voire s’habiller ou manger devient presque impossible : cela arrive avec
maculopathie
maladies de
Une nouvelle campagne de dépistage à partir de Milan pour intercepter et traiter les personnes atteintes de maculopathie et risquant de perdre la vue presque sans s’en rendre compte
La partie centrale de la rétine “aveugle” et lire, conduire, voire s’habiller ou manger devient presque impossible : cela arrive avec
maculopathie
maladies de la partie centrale de la rétine qui sont parmi les principales causes dbasse vision chez les plus de 50 ans. Les reconnaître à temps, c’est pouvoir les traiter et bloquer la progression des dégâts, mais souvent je les symptômes sont subtils et vous ne remarquez rien jusqu’à ce qu’il soit trop tard : c’est pourquoi la campagne de sensibilisation “Votre point de vue compte – ne laissez pas la maculopathie vous arrêter”, qui dans les mois à venir mènera dans différentes villes d’Italie des visites de dépistage gratuites grâce à une initiative promue par Roche et parrainée par l’Association of Eye Disease Patients (APMO), le Macula Committee, Retina Italia ODV et la Société italienne des sciences ophtalmologiques (SISO).
Lorsque la partie centrale de la rétine commence à dégénérer, on dit que nous n’en sommes pas conscients : la vision dans la partie centrale du champ visuel se détériore, les contours des choses semblent “faux” mais le cerveau compense longtemps et il peut arriver que des mois ou des années passent sans se rendre compte que quelque chose ne va pas. Parallèlement, les dégâts progressent : la maculopathie humide liée à l’âge, qui touche principalement les plus de 65 ans, est la principale cause de perte de vision dans les années plus de soixante ans et lesoedème maculaire diabétiquequi touche les personnes atteintes de diabète même à un plus jeune âge, est une cause d’invalidité et de perte de capacité de travail chez les plus de 50 ans.
Pour ces deux formes de maculopathie, les plus fréquentes existent cependant traitements efficaces: Les inhibiteurs du VEGF, le facteur de croissance de l’endothélium vasculaire, administrés par injections intravitréennes peuvent bloquer la progression de la maladie, cependant, pour obtenir les meilleurs résultats, un diagnostic précoce est nécessaire et un traitement régulier est également nécessaire. Ce sont précisément les deux enjeux cruciaux auxquels répond la nouvelle campagne, à travers des journées de dépistage gratuit dans les lieux fréquentés par la population en âge de risque et des actions d’information pour expliquer à quel point il est important de prendre soin de soi et de bien le faire.
“Ce qui effraie le patient, c’est que de nombreux traitements contre la maculopathie devront être répétés pour le reste de sa vie”, explique Francesco Viola, directeur de la structure complexe ophtalmologique de la Fondation IRCCS Cà Granda Ospedale Maggiore Policlinico à Milan. « Ceci, combiné au fait que de nombreux patients ne sont pas autonomes, contribue à une diminution de l’adhésion thérapeutique, avec pour conséquence une aggravation de la maladie : c’est exactement ce que nous ne voulons pas qu’il se produise. Grâce à la recherche, les patients disposeront de nouveaux traitements qui leur faciliteront de plus en plus la bonne observance thérapeutique, essentielle pour une récupération significative de la vision et une vie sociale et quotidienne active ». «Les maculopathies entraînent chez le patient une perte d’autonomie rapide, en raison de la réduction progressive de la vision centrale et détaillée», ajoute Francesco Bandello, directeur de l’unité d’ophtalmologie de l’hôpital IRCCS San Raffaele de Milan et président de l’Association des patients atteints de maladies oculaires. «Cela a un impact important tant sur la vie quotidienne que sur le psychisme de la personne et de toute la cellule familiale. L’oedème maculaire diabétique, par exemple, être associé au diabète et non à l’âge peut également affecter les personnes plus jeunes qui ne peuvent plus travailler. Au contraire, la dégénérescence maculaire néovasculaire elle touche majoritairement les personnes de plus de soixante ans qui éprouvent le profond malaise de ne pas être autonomes, de ne pas bien voir, de ne pas pouvoir se rendre seules aux visites et à la thérapie. Il devient donc essentiel de prendre en charge le patient rapidement et adéquatement ». « Le message que nous voudrions faire passer avec cette campagne est double : d’une part, que le la prévention c’est essentiel pour préserver la vision des gens, par contre les maculopathies ne doivent pas vous faire peur. Aujourd’hui, nous disposons de traitements efficaces, mais pour qu’ils soient vraiment efficaces, ils doivent être répétés avec des cycles constants. Il est donc nécessaire d’aider le patient à suivre correctement le plan thérapeutique, afin qu’il ait une meilleure qualité de vie», conclut Teresio Avitabile, président de la Société italienne des sciences ophtalmologiques.
SOurce: https://www.nouvelles-du-monde.com/ Elena Méli
La Fondation de recherche Banting a dévoilé la liste des lauréats et lauréates 2023 de ses Prix Découverte. Le professeur à l’École d’optométrie de l’Université de Montréal Sergio Crespo-Garcia y figure grâce à sa recherche sur les bien-fondés thérapeutiques et les mécanismes cellulaires du folate dans la dégénérescence maculaire liée à
La Fondation de recherche Banting a dévoilé la liste des lauréats et lauréates 2023 de ses Prix Découverte. Le professeur à l’École d’optométrie de l’Université de Montréal Sergio Crespo-Garcia y figure grâce à sa recherche sur les bien-fondés thérapeutiques et les mécanismes cellulaires du folate dans la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA). Ces distinctions, décernées aux chercheurs et chercheuses en début de carrière dans le domaine des sciences de la santé et biomédicales, s’accompagnent d’un financement de 30 000$.
Titulaire d’un postdoctorat en ophtalmologie expérimentale et en biochimie, Sergio Crespo-Garcia se spécialise dans les maladies vasculaires rétiniennes. Ses recherches l’ont notamment amené à identifier de nouvelles cibles permettant de réduire l’inflammation de la rétine, en plus d’expérimenter de nouveaux traitements pharmacologiques pour traiter les vasculopathies prolifératives et ischémiques de la rétine. Au cours de l’étude pilote qui lui a permis d’obtenir le Prix Découverte, il se penchera, avec son équipe, sur les interactions intercellulaires de la rétine en ce qui a trait à la santé et aux maladies afin de déterminer leur contribution à des rétinopathies spécifiques. Un des buts de cette recherche sera de démontrer en quoi les vitamines et les folates jouent un rôle fondamental dans la prévention des maladies. «Plusieurs études ont montré que les personnes souffrant de dégénérescence maculaire liée à l’âge présentaient des taux de folates significativement plus faibles, indique-t-il. Avec notre projet, nous visons à identifier les aspects cellulaires du métabolisme des folates dans la rétine et à déterminer si une fonction défectueuse dans la liaison et le transport des folates pourrait contribuer directement à la pathogenèse de la DMLA. Éventuellement, et après avoir découvert les mécanismes dictés par les folates dans différents types de cellules de la rétine, nous chercherons à utiliser ces connaissances pour transformer les thérapies actuelles et contribuer à la guérison de la DMLA.»
Selon lui, cette recherche a un potentiel important pour son milieu, au sens où les résultats préliminaires que son équipe et lui produiront dans la prochaine année pourront être utilisés dans des recherches futures plus ambitieuses ou alors servir à mieux se réorienter. «Les traitements de la DMLA sont très limités et de nombreux patients n’y répondent pas bien, mentionne-t-il. Il est crucial de développer des thérapies plus raffinées et plus efficaces pour traiter cette maladie aveuglante omniprésente. Ce projet réunit tous les ingrédients pour transformer potentiellement les thérapies actuelles, en plus de donner de l’espoir aux patients qui perdent la vue à cause de la DMLA. Les fonds obtenus grâce à ce prix permettront non seulement de faire avancer le domaine biomédical, mais plus particulièrement la recherche sur la santé visuelle, ce qui est primordial.»
Source: https://nouvelles.umontreal.ca/
On estime qu’environ 20 millions de personnes aux États-Unis souffrent d’une forme de dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), une maladie qui provoque une perte de vision centrale.
Précédent recherche a démontré qu’un télescope miniature implantable (IMT) composé de lentilles spécialisées qui servent de minuscule télescope dans l’œil affecté peut aider à réduire les déficits associés à la DMLA dans la vision centrale.
Cet implant de première génération a été décrit comme rentable et compatible avec d’autres procédures telles que la chirurgie de la cataracte. Il a été approuvé pour une utilisation chez les personnes âgées de 65 ans et plus atteintes de DMLA avancée.
Une deuxième génération de cette prothèse développée par Samsara Vision, Inc., appelée télescope miniature implantable de nouvelle génération à plus petite incision (SING IMT), est conçue pour réduire la complexité du processus chirurgical, améliorer la sécurité et augmenter la vitesse de récupération .
Une étude récente de trois mois suggère que le SING-IMT est sûr et améliore la distance et la vision de près chez les personnes atteintes de DMLA avancée, tout en entraînant des niveaux de traumatisme chirurgical inférieurs à ceux de son prédécesseur.
SING-IMT n’a pas encore été approuvé par la Food and Drug Administration (FDA).
Le Dr Edward Wood, chirurgien vitréo-rétinien chez Austin Retina Associates au Texas, a déclaré que la nouvelle technologie était prometteuse.
« [This study evaluating the impact of the SING IMT showed] qu’au troisième mois postopératoire, 70,83 % des patients ont gagné ≥ 2 lignes d’acuité visuelle sur le diagramme oculaire, 58,33 % ont gagné ≥ 3 lignes et 25,00 % ont gagné ≥ 4 lignes d’acuité visuelle de loin corrigée. L’acuité visuelle proche s’est également améliorée », a déclaré Wood Nouvelles médicales aujourd’hui.
« Les modifications postopératoires de la cornée (y compris les modifications de la couche de cellules endothéliales) étaient comparables à celles observées dans la chirurgie moderne de la cataracte. Dans l’ensemble, cet essai a montré que le SING IMT semblait être sûr et efficace en tant qu’aide à la rééducation de la basse vision chez les patients présentant une perte de vision modérée à profonde due à une DMLA avancée », a-t-il ajouté.
La rétine est la couche la plus interne de l’œil, composée de photorécepteurs qui convertissent la lumière en influx nerveux. La macula est la partie centrale de la rétine et est impliquée dans la vision nette et droite, également connue sous le nom de vision centrale.
Les dommages aux cellules de la macula, connus sous le nom de dégénérescence maculaire, entraînent une perte progressive de la vision centrale, altérant la capacité de voir les détails fins.
La dégénérescence maculaire liée à l’âge est la principale cause de perte de vision chez les personnes âgées. La DMLA entrave la performance des activités quotidiennes, telles que la lecture et la conduite, et est associée à une baisse de la qualité de vie.
La DMLA peut être classée comme DMLA humide ou sèche.
DMLA humide est causée par une fuite de vaisseaux sanguins associés à la rétine, alors que DMLA sèche implique des dommages aux photorécepteurs de la macula associés à l’accumulation de dépôts appelés drusen.
Bien que des thérapeutiques soient disponibles pour le traitement de la DMLA à un stade précoce, il existe un manque d’interventions pour les personnes atteintes de DMLA avancée. Des efforts sont également en cours pour développer des interventions visant à régénérer les cellules de la macula qui sont perdues en raison de la dégénérescence maculaire. Cependant, ces interventions sont encore en phase d’essai clinique et sont à des années d’utilisation clinique.
Actuellement, les options non chirurgicales pour les personnes atteintes de DMLA comprennent les lunettes et les loupes. Cependant, l’utilisation de ces aides nécessite que les personnes atteintes de DMLA s’habituent aux mouvements de la main ou de la tête pour balayer le champ visuel.
Une alternative à ces aides optiques comprend la chirurgie pour implanter des optiques qui sont plus intuitives à utiliser et peuvent atténuer les déficits de vision associés à la DMLA.
L’une de ces technologies est le télescope miniaturisé implantable (IMT), qui utilise une combinaison de lentilles qui fonctionnent comme un minuscule télescope galiléen.
Ce télescope implantable est constitué d’une lentille objectif biconvexe qui fait converger les rayons lumineux de l’objet pour former une image et d’une autre lentille biconcave appelée oculaire qui projette cette image vers l’œil. Ces lentilles sont scellées pour éviter l’exposition aux fluides dans les yeux.
Ce télescope miniaturisé aide à projeter la lumière vers les régions les plus saines de la rétine et à former une image agrandie de 2,2 à 2,7 fois du champ visuel central. L’autre œil non opéré fournit des informations sur le champ visuel périphérique.
L’IMT de première génération nécessitait une incision de 10-12 mm pour l’implantation. Un essai clinique montré que les prothèses IMT de première génération ont amélioré l’acuité visuelle de 90 % des yeux opérés. Après la mise en place de la prothèse IMT, les patients doivent suivre quelques mois de rééducation postopératoire pour éviter une double vision et les aider à s’habituer à l’utilisation de la prothèse.
La deuxième génération de cette prothèse, le télescope miniature implantable de nouvelle génération à plus petite incision (SING IMT), a été développée pour réduire la complexité chirurgicale et améliorer la sécurité tout en conservant le même grossissement que son prédécesseur.
Plus précisément, l’implantation du SING IMT nécessite moins de sutures et une incision plus petite de 6 à 8 mm. La facilité d’implantation et la complexité chirurgicale réduite peuvent réduire les traumatismes pendant la chirurgie et le temps de récupération après l’opération.
« Le télescope miniature implantable de nouvelle génération à incision plus petite (SING IMT) est une lentille spéciale qui pénètre à l’intérieur de l’œil pour améliorer l’expérience visuelle des patients présentant une déficience bilatérale de la vision centrale modérée à profonde due à une dégénérescence maculaire avancée liée à l’âge », a expliqué Wood. . « Le patient subit une opération de la cataracte suivie de l’implantation d’une lentille spéciale de télescope miniature implantable (IMT) au lieu de l’une des lentilles intraoculaires (LIO) les plus couramment utilisées. »
« Cela n’améliore pas à lui seul la santé de l’œil, mais c’est un exemple sophistiqué d’aide à la basse vision qui est placée à l’intérieur de l’œil, minimisant ainsi le fardeau lié à l’utilisation d’autres aides à la basse vision », a-t-il ajouté. « Le SING IMT est la lentille de deuxième génération de ce type, avec des améliorations telles qu’une taille plus petite et une chirurgie plus efficace par la suite. »
La récente étude de trois mois a été réalisée auprès de personnes atteintes de DMLA modérée à avancée des deux yeux.
Les chercheurs ont déclaré qu’il a montré que l’implantation de la prothèse SING IMT améliorait considérablement l’acuité visuelle de loin et de près dans l’œil opéré par rapport à avant la chirurgie.
De plus, l’étude a révélé que les dommages causés à la couche interne de la cornée lors de l’implantation de SING IMT étaient moins graves que ceux dus à la prothèse de première génération. Cela suggère que SING IMT peut en effet réduire les traumatismes pendant la chirurgie, probablement en raison du moins grand nombre de sutures nécessaires pendant la chirurgie.
Source: https://ma-clinique.fr/
Il est facile de tenir votre vision pour acquise, surtout si vous avez été génétiquement béni avec une vision 20/20. Cependant, certaines habitudes quotidiennes peuvent nuire davantage à votre vision que vous ne le pensez. Que vous passiez la plupart de votre temps à regarder votre téléphone portable ou votre ordinateur portable ou que
Il est facile de tenir votre vision pour acquise, surtout si vous avez été génétiquement béni avec une vision 20/20. Cependant, certaines habitudes quotidiennes peuvent nuire davantage à votre vision que vous ne le pensez. Que vous passiez la plupart de votre temps à regarder votre téléphone portable ou votre ordinateur portable ou que vous portiez vos contacts toute la journée, vous ne savez peut-être pas à quel point ces choses nuisent à votre santé oculaire et à votre vision. Selon le Académie américaine d’ophtalmologie, au cours des 30 prochaines années, au moins 150 % de personnes supplémentaires développeront des problèmes de vision. Il n’est jamais trop tôt pour prendre soin de votre vision, car cela augmentera vos chances de limiter les problèmes de vision plus tard dans la vie.
Vous trouverez ci-dessous certaines des choses les plus courantes que vous pourriez faire et qui nuisent à votre vision, ainsi que les mesures préventives que vous pouvez prendre. Veuillez noter que si vous rencontrez des changements inquiétants dans votre vision ou votre santé oculaire, il est important de prendre rendez-vous avec votre fournisseur de soins oculaires, qui peut effectuer les examens appropriés requis.
Utiliser du maquillage périmé
Il est facile d’oublier que vos produits de maquillage préférés ont une durée de vie, surtout lorsque vous les utilisez tous les jours. Cependant, l’utilisation de mascara et d’eye-liner périmés peut exposer vos yeux à un risque d’infection. Une bonne règle de base pour déterminer quand il est temps d’abandonner le produit est de rechercher le Période après ouverture, ou PAO. Ce tampon vous indiquera combien de temps vous avez après avoir ouvert le produit avant qu’il ne doive être remplacé. Par exemple, généralement le mascara peut durer environ trois mois. Il est également important de bien ranger vos cosmétiques. Un stockage inapproprié peut affecter la longévité d’un produit et peut entraîner la croissance de bactéries ou de moisissures, ce qui vous expose à un risque d’infection.
Réutiliser les lentilles de contact
Si vous pensez économiser de l’argent en recyclant vos contacts, cela peut finir par vous coûter plus cher à long terme. En tant que personne qui avait l’habitude de faire cela et qui s’est retrouvée avec de multiples infections oculaires, je peux attester que c’est une habitude qui vaut la peine d’être rompue. Lorsque je suis passé à l’utilisation de contacts quotidiens et à l’utilisation interchangeable de lunettes, j’ai considérablement réduit mes risques de développer une infection oculaire et j’ai gardé mes yeux en meilleure santé. Il vaut la peine d’envisager de passer aux quotidiens : une étude a révélé que les personnes qui portent les lentilles de contact réutilisables sont environ quatre fois plus à risque de développer une kératite à Acanthamoebaune infection oculaire rare qui peut augmenter votre risque de perte de vision ou de cécité, par rapport aux personnes qui utilisent des contacts quotidiens.
D’autres habitudes que vous devriez rompre avec vos lentilles de contact incluent dormir, se doucher ou nager avec elles. Le Dr Mackenzie Sward, un ophtalmologiste certifié, avertit : « Dormir dans vos lentilles de contact et ne pas nettoyer correctement vos lentilles peut augmenter considérablement le risque d’ulcère cornéen causé par une infection bactérienne, fongique ou parasitaire. Comme si cela ne suffisait pas, la perte de vision due aux complications liées aux lentilles de contact peut être grave et permanente.
Ne pas porter de lunettes de soleil
Vous savez que votre peau a besoin d’un écran solaire pour la protéger des rayons UV nocifs, et croyez-le ou non, vos yeux doivent également être protégés. Sward recommande de porter une protection UV appropriée à l’extérieur ou dans la voiture, même par temps couvert. « C’est parce que les rayons UVA et UVB nocifs dans l’atmosphère peuvent augmenter le risque de dégénérescence maculaire, de cataracte, de cancer de la peau de la paupière et d’autres maladies de l’œil », explique-t-elle. Pour protéger vos yeux, Sward conseille d’opter pour des lunettes de soleil avec une protection UV à 100 % chaque fois que vous sortez.
« L’exposition et les dommages cumulés aux UV ne font qu’augmenter l’incidence à vie de la dégénérescence maculaire, des cataractes, ptérygion et le cancer de la peau », explique-t-elle. Ces conditions peuvent être permanentes ou nécessiter un traitement chirurgical pour être corrigées. plus soucieux de se protéger.
Ne pas porter de lunettes de protection
Vous devez également porter des lunettes de protection lorsque vous pratiquez un sport ou effectuez un travail qui comporte un risque de blessure aux yeux. Les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis « estiment qu’environ 2 000 personnes par jour subissent des blessures oculaires liées au travail, et l’American Academy of Ophthalmology estime qu’il y a 30 000 blessures oculaires liées au sport chaque année aux États-Unis », a déclaré Sward. Bon nombre de ces blessures sont évitables et impliquent généralement des corps étrangers qui se coincent dans l’œil, comme de la poussière, du bois, du métal ou des débris végétaux. D’autres blessures que vous pouvez subir en raison d’un manque de protection oculaire comprennent les traumatismes contondants ou directs dus à des chutes ou à des objets plus gros tels que des outils qui heurtent le visage.
Fumeur
Outre les multiples risques connus pour la santé que le tabagisme peut entraîner, il peut également endommager vos yeux. Fumer des cigarettes double risque de dégénérescence maculaire, ce qui peut entraîner une perte de vision dans la partie de l’œil connue sous le nom de macula. Fumer nuit également à votre rétine et augmente vos risques de cataractes, qui obscurcissent les lentilles de vos yeux et peuvent également entraîner une perte de vision. Selon la Food and Drug Administration des États-Unis, les fumeurs sont environ trois fois plus susceptibles de développer des cataractes et jusqu’à quatre fois plus susceptibles de développer une dégénérescence maculaire liée à l’âge que les non-fumeurs. Donc, si vous êtes un fumeur, il serait dans votre intérêt de vous débarrasser de cette habitude.
Passer trop de temps sur les écrans
Nous pouvons tous admettre que nous pourrions limiter notre temps sur nos smartphones, ordinateurs portables et tablettes. Passer moins d’heures avec ces objets serait également bénéfique pour notre vue. Fatigue oculaire numérique ou Le syndrome de vision par ordinateur, est une condition qui survient lorsque vous regardez un ordinateur ou l’écran du téléphone pendant trop longtemps. Il peut provoquer une sécheresse oculaire, une vision floue, des maux de tête, des maux de dos et d’autres symptômes d’inconfort.
Sward recommande de prendre des pauses fréquentes des écrans pour permettre à vos yeux de se détendre et de vous équiper d’une paire de lentilles de prescription spécialement conçues pour être utilisées sur l’ordinateur. « Il est important de consulter régulièrement un professionnel de la vue pour s’assurer que vous portez la correction de lunettes appropriée et [to] dépister les affections oculaires qui, autrement, ne présenteraient aucun symptôme », a-t-elle déclaré.
Source: https://news-24.fr/
Selon les résultats d’un essai clinique financé par le National Eye Institute (NEI), un traitement répété avec des injections de corticostéroïdes a amélioré la vision chez les personnes atteintes d’œdème maculaire persistant ou récurrent lié à l’uvéite mieux que deux autres traitements. Comparé aux injections intravitréennes de méthotrex
Selon les résultats d’un essai clinique financé par le National Eye Institute (NEI), un traitement répété avec des injections de corticostéroïdes a amélioré la vision chez les personnes atteintes d’œdème maculaire persistant ou récurrent lié à l’uvéite mieux que deux autres traitements. Comparé aux injections intravitréennes de méthotrexate ou de ranibizumab (dans l’œil), le traitement aux corticostéroïdes a permis d’obtenir des réductions plus importantes du gonflement rétinien et était le seul traitement de l’étude qui a amélioré la vision. Le rapport a été publié aujourd’hui dans la revue Ophtalmologie. NEI fait partie des National Institutes of Health.
Avant cette étude, nous ne connaissions pas le meilleur traitement pour l’œdème maculaire persistant ou récurrent, une cause majeure de perte de vision chez les personnes atteintes d’uvéite. Cet essai indique clairement que les injections intraoculaires répétées de corticostéroïdes sont supérieures aux injections intravitréennes de méthotrexate ou de ranibizumab. »
Douglas A. Jabs, MD, Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, Baltimore, président de l’étude
L’uvéite est un ensemble de conditions inflammatoires qui affectent les tissus internes de l’œil. L’uvéite peut affecter l’avant de l’œil (uvéite antérieure), le milieu de l’œil (uvéite intermédiaire), l’arrière de l’œil (uvéite postérieure) ou l’avant, le milieu et l’arrière de l’œil (panuvéite). L’inflammation de l’œil peut entraîner une accumulation de liquide dans la partie centrale de la rétine sensible à la lumière de l’œil, connue sous le nom de macula, et diminuer la vision. Cette accumulation de liquide, appelée œdème maculaire, est une complication de l’uvéite qui persiste ou se reproduit souvent avec le temps, malgré le traitement de l’uvéite.
Le traitement initial de l’œdème maculaire lié à l’uvéite vise à contrôler l’inflammation et à réduire le liquide sous la rétine. Alors que certains patients atteignent cet objectif avec des corticostéroïdes oraux, la plupart des patients atteints d’œdème maculaire ont également besoin d’injections intraoculaires de corticostéroïdes. L’implant intraoculaire de dexaméthasone est l’un de ces traitements. Cependant, les corticostéroïdes intraoculaires peuvent augmenter la pression à l’intérieur de l’œil. Une pression intraoculaire élevée est un facteur de risque clé du glaucome, qui peut endommager le nerf optique et entraîner une perte de vision. Les corticostéroïdes intraoculaires peuvent également entraîner une cataracte, une opacification du cristallin qui diminue la vision.
Dans cette étude, les chercheurs ont comparé trois traitements pour l’œdème maculaire lié à l’uvéite : une injection intraoculaire supplémentaire de corticostéroïdes, une injection de ranibizumab, un médicament anti-facteur de croissance endothélial vasculaire (anti-VEGF), ou une injection de l’anti-inflammatoire méthotrexate. Les injections d’anti-VEGF sont utilisées pour traiter la dégénérescence maculaire liée à l’âge, ainsi que l’œdème maculaire dû à d’autres causes, telles que la rétinopathie diabétique. De petites études pilotes antérieures ont suggéré que les injections de ranibizumab et les effets anti-inflammatoires du méthotrexate pourraient aider à réduire l’œdème maculaire lié à l’uvéite.
L’essai clinique a recruté 194 participants (225 yeux de l’étude) avec une uvéite bien contrôlée mais un œdème maculaire persistant ou récurrent. Soixante-cinq participants ont reçu un corticostéroïde dexaméthasone, 65 participants ont reçu du méthotrexate et 64 participants ont reçu du ranibizumab. L’étude s’est déroulée dans 33 centres cliniques, situés aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Australie et en Inde. Tous les participants avaient déjà reçu au moins une injection intravitréenne de corticostéroïdes pour un œdème maculaire lié à l’uvéite.
Les calendriers d’injection pour chaque groupe étaient basés sur la façon dont chaque traitement est généralement utilisé dans la pratique clinique. Les participants du groupe corticostéroïde ont reçu une injection d’implant de dexaméthasone au départ et, si l’œdème maculaire n’avait pas disparu, une autre injection à huit semaines. Le groupe méthotrexate a reçu une injection au départ, puis des injections répétées à quatre et huit semaines si l’œdème maculaire n’a pas disparu. Le groupe ranibizumab a reçu des injections au départ, quatre semaines et huit semaines, même si leur œdème maculaire a disparu.
Après 12 semaines, les trois groupes ont montré des réductions du gonflement de la rétine. La réduction était la plus importante dans le groupe dexaméthasone par rapport aux deux autres (réduction de 35 % pour les corticostéroïdes ; 20 % pour le ranibizumab ; 11 % pour le méthotrexate). De plus, seul le groupe des corticostéroïdes a montré une amélioration de la vision, près de cinq lettres – environ une ligne sur un tableau des yeux. Le groupe des corticostéroïdes a eu plus d’occurrences d’augmentations légères de la pression intraoculaire, mais les augmentations à des niveaux élevés étaient peu fréquentes (<10 %) dans les trois groupes.
« La corticothérapie intraoculaire reste le traitement le plus efficace pour l’œdème maculaire lié à l’uvéite », a déclaré Nisha Acharya, MD, Université de Californie à San Francisco, auteur principal de l’étude. « Les gains de vision chez les participants qui ont reçu le traitement aux corticostéroïdes étaient très prometteurs. »
Cette étude a été financée par NEI. Allergan et Genentech ont fourni une partie des implants de dexaméthasone et du ranibizumab, respectivement. Numéro d’essai clinique NCT02623426.
Source : https://ma-clinique.fr
Le Dr Chris Tackaberry, PDG des pionniers de l’IA des technologies de la santé Clinithink, souligne la crise à laquelle est confronté le NHS et l’importance de la Semaine du diabète du 12 au 18 juin.
Chaque semaine, le diabète entraîne environ 180 amputations, 590 crises cardiaques et 2 300 cas d’insuffisance cardiaque. L’impact financier
Le Dr Chris Tackaberry, PDG des pionniers de l’IA des technologies de la santé Clinithink, souligne la crise à laquelle est confronté le NHS et l’importance de la Semaine du diabète du 12 au 18 juin.
Chaque semaine, le diabète entraîne environ 180 amputations, 590 crises cardiaques et 2 300 cas d’insuffisance cardiaque. L’impact financier de cela sur le NHS est époustouflant. Le coût total du diabète pour le service de santé dépasse les 10 milliards de livres sterling par an, soit plus de 25 000 livres sterling par minute, ce qui équivaut à 10 % de son budget total.
Plus de 5 millions de personnes au Royaume-Uni souffrent de diabète, et on estime que des millions d’autres risquent de développer la maladie en raison de la prévalence croissante de facteurs de risque tels que l’obésité et l’inactivité physique. Le diabète est une maladie qui change la vie, exposant les personnes atteintes à un risque élevé de complications graves pour la santé, notamment l’insuffisance rénale, les accidents vasculaires cérébraux, l’amputation et la cécité.
Un diagnostic précoce et une gestion prudente peuvent contrôler la maladie et même la mettre en rémission. Cependant, on estime qu’environ 850 000 personnes au Royaume-Uni vivent sans le savoir avec le diabète de type 2 – la forme la plus courante de la maladie – les laissant sans accès aux soins médicaux vitaux et au soutien, et les exposant à un risque important de problèmes de santé majeurs.
De plus, même ceux qui ont un diagnostic ne sont souvent pas conscients des signaux d’alerte – comme une perte de sensation – qui pourraient signifier une complication majeure, et n’adaptent donc pas leurs comportements ou ne consultent pas un médecin lorsque cela est nécessaire.
Les complications de santé causées par le diabète sont en grande partie évitables grâce à la gestion de la maladie – contrôle de la glycémie, de la tension artérielle et du cholestérol – et un nombre croissant de personnes atteintes se tournent vers la technologie pour y parvenir.
La «technologie du diabète» comprend tout, des stylos à insuline intelligents, qui enregistrent automatiquement quand et combien d’insuline une personne a injectée, aux moniteurs de glycémie en continu qui permettent aux gens de vérifier leur glycémie sans prélever de sang. Un nombre toujours croissant d’applications et d’outils intelligents permettent aux personnes atteintes de diabète de surveiller de près leur poids, leur consommation alimentaire et leur activité physique pour les aider à mieux maîtriser la maladie.
La technologie est également utilisée pour permettre le diagnostic précoce des patients souffrant de complications du diabète. Par exemple, la maladie du pied diabétique (DFD) est un problème de santé courant qui touche environ 15 à 20 % des personnes atteintes de diabète et qui, sans intervention précoce et prise en charge attentive, peut entraîner une amputation. Il y a un nombre important de personnes vivant avec un DFD non diagnostiqué au Royaume-Uni. Sans diagnostic précoce, la maladie pourrait nuire aux résultats de santé des patients et augmenter le fardeau du NHS à un moment où le service de santé est déjà soumis à une pression immense.
Le problème est que les précieuses données de santé nécessaires pour aider les cliniciens à identifier si un patient est atteint de DFD – ou s’il risque de développer la maladie – sont cachées dans des données médicales denses et non structurées, qui ne sont pas calculables par les méthodes traditionnelles et ne sont donc généralement pas analysées. .
Alors, comment la technologie peut-elle aider à résoudre ce problème de données ? Eh bien, les outils d’analyse de données basés sur l’IA peuvent désormais examiner et interpréter les dossiers médicaux, y compris les données non structurées, avec une rapidité et une précision radicales, en identifiant les groupes vulnérables de patients qui risquent de contracter le DFD.
La technologie a déjà été déployée dans Barts Health NHS Trust, l’une des plus grandes fiducies du NHS au Royaume-Uni, qui génère des millions de documents par an contenant des informations vitales sur les patients, mais n’a pas le temps clinique nécessaire pour s’asseoir et les lire tous. En appliquant l’IA, Barts Health a pu trouver 350 % de patients à risque en plus que les méthodes précédentes ne le permettaient. Cela permet d’effectuer des interventions – telles qu’une référence urgente à un podiatre ou à un chirurgien vasculaire – pendant qu’un patient est hospitalisé, réduisant ainsi le risque d’amputation ou d’autres problèmes de santé graves et permettant à la confiance de gagner un temps clinique précieux.
La rétinopathie diabétique est une autre complication majeure, qui peut entraîner la cécité si elle n’est pas traitée. Des recherches récentes effectuées dans le cadre d’une collaboration entre DeepMind (maintenant Google Health) et Moorfields Eye Hospital et rapportées dans Médecine naturelle a démontré le potentiel de l’IA pour identifier avec précision la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) à partir d’analyses rétiniennes, démontrant que l’IA peut également être appliquée pour améliorer la vitesse et la précision du diagnostic de la rétinopathie diabétique.
Les cas de diabète de type 2 sont en augmentation à mesure que le nombre de personnes en surpoids ou obèses au Royaume-Uni augmente. Alors que nous approchons de la semaine du diabète de cette année, une initiative à l’échelle du Royaume-Uni visant à accroître la sensibilisation à la maladie et à augmenter le financement de la recherche future, il est essentiel que nous communiquions le besoin urgent que davantage d’organisations du NHS explorent les avantages de l’adoption des technologies d’IA pour accélérer le voie vers le diagnostic du diabète.
L’utilisation de l’IA pour signaler les patients souffrant de complications du diabète ou risquant de développer des complications est essentielle pour que le NHS combatte cette crise sanitaire croissante – avant qu’elle ne devienne une urgence pure et simple.
Source: https://ma-clinique.fr/
Un traitement de thérapie par cellules souches développé par des chercheurs de la Duke-NUS Medical School à Singapour, pour l’insuffisance cardiaque a montré des résultats prometteurs dans les essais précliniques. Ces cellules, lorsqu’elles sont transplantées dans un cœur blessé, sont capables de réparer les tissus endommagés et d’amélio
Un traitement de thérapie par cellules souches développé par des chercheurs de la Duke-NUS Medical School à Singapour, pour l’insuffisance cardiaque a montré des résultats prometteurs dans les essais précliniques. Ces cellules, lorsqu’elles sont transplantées dans un cœur blessé, sont capables de réparer les tissus endommagés et d’améliorer la fonction cardiaque, selon leur étude.
La nouvelle procédure développée par les chercheurs de Duke-NUS consiste à transplanter des cellules cardiaques non battantes dans le cœur endommagé. Après la transplantation, les cellules se sont développées et ont acquis le rythme du reste du cœur. Avec cette procédure, l’incidence de l’arythmie a été réduite de moitié. Même lorsque la condition a été détectée, la plupart des épisodes étaient temporaires et résolus d’eux-mêmes en 30 jours environ. De plus, les cellules transplantées n’ont pas déclenché la formation de tumeurs, une autre préoccupation courante en matière de thérapies à base de cellules souches.
Le professeur Tryggvason, qui est également professeur de recherche sur le diabète à la Fondation Tanoto, dirige d’autres études pour adapter cette méthode de médecine régénérative aux patients atteints de diabète, de dégénérescence maculaire des yeux et de ceux qui ont besoin de greffes de peau.
La technologie a été concédée sous licence à une start-up suédoise de biotechnologie plus tôt cette année pour promouvoir davantage le développement de la cardiologie régénérative basée sur les cellules.
Une étude révolutionnaire a franchi une étape importante dans la compréhension des complexités de l’œil humain. En cartographiant l’architecture moléculaire de l’épithélium pigmentaire rétinien (RPE) et de la choroïde – composants intégraux du système visuel – la recherche fournit des informations cruciales sur les compositions cellulaire
Une étude révolutionnaire a franchi une étape importante dans la compréhension des complexités de l’œil humain. En cartographiant l’architecture moléculaire de l’épithélium pigmentaire rétinien (RPE) et de la choroïde – composants intégraux du système visuel – la recherche fournit des informations cruciales sur les compositions cellulaires et les mécanismes moléculaires sous-jacents aux changements de l’œil avec l’âge et la région.
Le RPE et la choroïde, situés derrière la rétine humaine, sont fondamentaux pour la vision, jouant une myriade de rôles allant de l’absorption de la lumière à la fourniture de sang oxygéné aux cellules photoréceptrices. Cependant, notre compréhension des expressions géniques dans ces cellules et de leur contribution aux maladies rétiniennes est limitée. Au fil du temps, l’EPR humain accumule de la lipofuscine, un produit final de la dégradation des phagosomes, qui affaiblit les cellules de l’EPR. Parallèlement, l’épaisseur de la choroïde diminue considérablement avec l’âge, réduisant son flux sanguin. Ces deux facteurs contribuent à la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), une maladie qui touche des millions de personnes dans le monde.
Dans une étude publiée dans la revue de Gènes et maladies, des chercheurs de l’hôpital populaire provincial du Sichuan ont révélé ces processus dégénératifs et, surtout, identifié des cibles thérapeutiques potentielles. L’étude a séquencé l’ARN d’environ 0,3 million de cellules individuelles de l’EPR humain et des choroïdes dans deux régions à sept âges différents. Cette analyse détaillée a dévoilé des différences régionales et spécifiques à l’âge au sein de l’EPR et de la choroïde humaine. Ces interactions cellulaires soulignent les vastes réseaux de connectivité entre le RPE et différents types de cellules choroïdes. De plus, l’équipe de recherche a découvert que des facteurs de transcription spécifiques et leurs gènes cibles changent au cours du vieillissement. Ils ont notamment identifié le gène ELN comme un candidat potentiel pour atténuer la dégénérescence de l’EPR et la détérioration de la structure choroïdienne au cours du vieillissement, offrant des pistes prometteuses pour les interventions dans les maladies rétiniennes.
En conclusion, cette étude offre un atlas transcriptomique unicellulaire complet de l’EPR et de la choroïde humaine dans différentes régions et âges. Il fournit une mine d’informations sur les signatures génétiques de ces composants intégraux du système visuel. De plus, l’identification de l’ELN comme candidat pour lutter contre la dégénérescence des structures choroïdiennes et RPE ouvre la voie à des interventions ciblées pour le traitement anti-âge ou des maladies oculaires.
Cette nouvelle recherche a le potentiel de révolutionner notre compréhension du système de support visuel humain. Il constitue une ressource précieuse pour les études futures sur les signatures d’expression génique distinctes et jette une base solide pour les recherches futures sur les fonctions de l’EPR et des gènes choroïdes.
source: https://ma-clinique.fr
Les images de la rétine, qui a des connexions vasculaires avec le cerveau, sont une source précieuse d’informations biologiques et physiologiques. Des études ont démontré que certaines de leurs caractéristiques sont liées à plusieurs maladies liées au vieillissement, notamment la rétinopathie diabétique, les maladies cardiovasculaires ou
Les images de la rétine, qui a des connexions vasculaires avec le cerveau, sont une source précieuse d’informations biologiques et physiologiques. Des études ont démontré que certaines de leurs caractéristiques sont liées à plusieurs maladies liées au vieillissement, notamment la rétinopathie diabétique, les maladies cardiovasculaires ou la maladie d’Alzheimer. Les chercheurs de Google Research et leurs collègues ont utilisé le deep learning pour établir une horloge biologique ou horloge de vieillissement. Leur étude a été publiée sur eLife.
Nous avons deux âges différents : l’âge chronologique, c’est-à-dire notre âge réel et l’âge biologique, qui peut être plus faible ou plus élevé, influencé par la génétique mais aussi par de nombreux facteurs externes liés au mode de vie, notamment l’alimentation, l’exercice et les habitudes de sommeil, le stress ou le tabagisme. Les horloges de vieillissement permettent d’étudier ce dernier et aident à prédire le risque de maladies liées à l’âge.
La microvascularisation rétinienne pourrait être un indicateur fiable de la santé globale du système circulatoire du corps et du cerveau. Les changements oculaires accompagnent le vieillissement et de nombreuses maladies liées à l’âge telles que la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), la rétinopathie diabétique et les troubles neurodégénératifs comme la maladie de Parkinson ou la maladie d’Alzheimer.
Les scans rétiniens, examens non invasifs très rapides, utilisant une source lumineuse de faible intensité et un capteur pour scanner les vaisseaux sanguins à l’arrière de la rétine sont couramment effectués par les ophtalmologues.
Des travaux antérieurs de Google ont montré qu’ils peuvent être utilisés pour prédire l’âge, le risque de maladie cardiovasculaire, le sexe ou le tabagisme. Dans cette étude, l’équipe a voulu étendre ces résultats au vieillissement afin d’identifier un nouveau biomarqueur utile pour les maladies humaines, elle a ainsi mis en évidence que les algorithmes de deep learning peuvent prédire avec précision l’âge biologique à partir d’une image rétinienne et révéler des informations qui prédisent mieux les maladies liées à l’âge chez les individus.
Prédire l’âge chronologique à partir d’images rétiniennes
Les chercheurs ont entraîné un modèle, nommé “eyeAge”, pour prédire l’âge chronologique en utilisant des centaines de milliers d’images rétiniennes d’un programme de prévention de la cécité basé sur la télémédecine, provenant de cliniques de soins primaires et anonymisées.
Ils ont ensuite évalué les performances de ce modèle à la fois sur un ensemble de 50 000 images rétiniennes et sur un ensemble de données de l’UKBiobank contenant environ 120 000 images. Les prédictions du modèle correspondent fortement à l’âge chronologique réel des individus, (Corrélation de Pearson : coefficient de 0,87), leur horloge de vieillissement rétinien se révèle la plus précise à ce jour.
Bien qu’eyeAge soit bien corrélé avec l’âge chronologique dans de nombreux échantillons, la figure ci-dessus montre également que, pour certaines personnes, l’âge oculaire diffère considérablement de l’âge chronologique, que ce soit dans les cas où le modèle prédit une valeur beaucoup plus jeune ou plus âgée que l’âge chronologique.
Pour vérifier si cette différence reflète des facteurs biologiques sous-jacents, les chercheurs ont exploré sa corrélation lors de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), d’infarctus du myocarde ou avec d’autres biomarqueurs de la santé comme la pression artérielle systolique.
Ils ont pu observé qu’un âge prédit supérieur à l’âge chronologique est en corrélation avec la maladie et les biomarqueurs de la santé dans ces cas. Par exemple, une corrélation statistiquement significative (p = 0,0028) a été démontrée entre l’âge oculaire et la mortalité toutes causes confondues, un âge oculaire plus élevé étant associé à un plus grand risque de décès au cours de l’étude.
Pour explorer davantage l’utilité du modèle eyeAge pour générer des informations biologiques, l’équipe a relié les prédictions du modèle aux variantes génétiques, qui sont disponibles pour les individus dans l’ensemble de données UKBiobank.
Les variantes génétiques, héritées des parents, sont fixées à la naissance, ce qui rend cette mesure indépendante de l’âge. Cette analyse a généré une liste de gènes associés au vieillissement biologique accéléré (étiquetés dans la figure ci-dessous).
Le gène le plus identifié dans cette étude d’association pangénomique est ALKAL2, une étude antérieure a montré qu’il jouait un rôle dans l’allongement de la durée de vie des mouches des fruits. L’un des auteurs de la présente étude, le professeur Pankaj Kapahi, de l’Institut Buck de recherche sur le vieillissement, a révélé dans des expériences de laboratoire que la réduction de l’expression du gène chez les mouches entraînait une amélioration de la vision, fournissant une indication de l’influence d’ALKAL2 sur le vieillissement du système visuel.
Pour Google Research :
« Notre horloge eyeAge a de nombreuses applications potentielles. Comme démontré ci-dessus, il permet aux chercheurs de découvrir des marqueurs du vieillissement et des maladies liées à l’âge et d’identifier les gènes dont les fonctions pourraient être modifiées par des médicaments pour favoriser un vieillissement en meilleure santé. Il peut également aider les chercheurs à mieux comprendre les effets des habitudes de vie et des interventions telles que l’exercice, l’alimentation et les médicaments sur le vieillissement biologique d’un individu. De plus, l’horloge eyeAge pourrait être utile dans l’industrie pharmaceutique pour évaluer le rajeunissement et les thérapies anti-âge. En suivant les changements dans la rétine au fil du temps, les chercheurs pourraient être en mesure de déterminer l’efficacité de ces interventions pour ralentir ou inverser le processus de vieillissement ».
Les chercheurs ont rendu public les Modifications du code utilisé pour ces modèles qui s’appuient sur des cadres ML pour analyser les images de la rétine précédemment publiés.
Ils espèrent que ces travaux aideront les scientifiques à créer de meilleurs processus pour identifier rapidement les maladies ou les risques de maladie et mèneront à des interventions plus efficaces en matière de médicaments et de mode de vie pour promouvoir le vieillissement en santé.
Source: https://www.actuia.com/
MISSISSAUGA, ON, le 29 mai 2023 /CNW/ - Hoffmann-La Roche Limited/Limitée (Roche Canada) a annoncé aujourd'hui qu'elle avait conclu avec succès ses négociations avec l'Alliance pancanadienne pharmaceutique (APP) concernant VABYSMO® (faricimab injectable), indiqué pour le traitement de la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) néova
MISSISSAUGA, ON, le 29 mai 2023 /CNW/ - Hoffmann-La Roche Limited/Limitée (Roche Canada) a annoncé aujourd'hui qu'elle avait conclu avec succès ses négociations avec l'Alliance pancanadienne pharmaceutique (APP) concernant VABYSMO® (faricimab injectable), indiqué pour le traitement de la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) néovasculaire (humide) et l'oedème maculaire diabétique (OMD)1, deux des premières causes de la perte de vision dans la population canadienne1. « L'obtention d'une lettre d'intention de l'APP pour VABYSMO est une très bonne nouvelle pour les patients et les personnes concernées par la perte de vision », a indiqué Larissa Moniz, directrice des programmes de recherche et de missions, pour l'organisme Vaincre la cécité Canada. « Nous encourageons les provinces à reconnaître les bienfaits potentiels de VABYSMO pour les patients atteints de DMLA néovasculaire ou d'OMD, et le remboursement de ce médicament par les assureurs publics aux Canadiens admissibles est pour nous, une priorité. » VABYSMO est le premier traitement contre la DMLA (humide) et l'OMD au Canada qui agit en ciblant à la fois le VEGF-A et l'Ang-2, deux des principaux facteurs responsables de l'instabilité vasculaire associée à des affections rétiniennes menaçant la fonction visuelle2,3,4,5. Ce double mode d'action unique en son genre témoigne de l'expertise de Roche en ingénierie des anticorps. « Il s'agit là d'une étape décisive vers l'accès à VABYSMO pour les Canadiens atteints de DMLA néovasculaire et d'OMD qui présentent une perte de vision,» a dit Varun Chaudhary, chef, Département d'ophtalmologie et professeur, Chirurgie, Hamilton Regional Eye Institute, Université McMaster. « VABYSMO a démontré des résultats prometteurs en termes d'efficacité, d'innocuité et de durabilité pour ces deux maladies, et l'accès public rapide pour les Canadiens ayant besoin de ce traitement est d'une importance primordiale.» VABYSMO a été passé en revue, et une recommandation positive lui a été accordée par des agences d'évaluation des technologies de la santé, y compris l'Agence canadienne des technologies de la santé (ACMTS) à l'automne 2022 et l'Institut national d'excellence en santé et en services sociaux (INESSS) au début de 2023, pour le traitement de la DMLA néovasculaire et de l'OMD. Comme prochaine étape, Roche Canada continuera de travailler avec d'autres administrations provinciales afin de permettre l'accès à VABYSMO dès que possible par l'intermédiaire des régimes publics d'assurance médicaments. À propos de VABYSMO® (faricimab injectable) VABYSMO est un anticorps de type immunoglobuline G1 (IgG1) humanisé bispécifique qui agit en inhibant à la fois l'Ang-2 et le facteur de croissance de l'endothélium vasculaire (VEGF-A). En inhibant le VEGF-A, le faricimab élimine la prolifération des cellules endothéliales, la néovascularisation et la perméabilité vasculaire. En inhibant l'Ang-2, le faricimab augmenterait la stabilité vasculaire et désensibiliserait les vaisseaux sanguins aux effets de VEGF-A. Le taux d'Ang-2 est plus élevé chez certains patients atteints de DMLA humide et d'OMD2. À propos de la dégénérescence maculaire liée à l'âge (humide) La dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) est une dégradation de la macula, la région de l'oeil responsable de la vision centrale et de l'acuité visuelle nécessaires à des activités comme la lecture, la conduite, la reconnaissance des visages et la distinction des couleurs3. Première cause de la perte de vision au Canada, elle touche quelque 2,5 millions de personnes4. La DMLA humide, ou néovasculaire, est une forme avancée de la maladie et peut causer une perte de vision rapide et irréversible si elle n'est pas traitée5. Environ 250 000 personnes sont concernées au Canada6. La DMLA humide est causée par la formation de vaisseaux sanguins anormaux, dans un processus nommé néovascularisation choroïdienne, dans la macula. Du sang ou d'autres liquides peuvent s'échapper de ces vaisseaux et provoquer l'apparition de tissu cicatriciel, qui détruit la rétine centrale7. Si aucun traitement n'est entrepris, le processus entraîne une détérioration de la vue en quelques mois ou quelques années8. À propos de l'oedème maculaire diabétique Touchant environ 15,7 % des personnes diabétiques au Canada, l'oedème maculaire diabétique (OMD) est une affection de la rétine qui, si elle n'est pas traitée, menace la fonction visuelle et est associée à la cécité et à une baisse de la qualité de vie9. L'OMD se produit lorsque des vaisseaux sanguins abîmés dans la rétine entraînent un écoulement de liquides et causent un gonflement dans la macula - la partie centrale de la rétine responsable de la vision des détails, nécessaire pour lire et conduire10. On s'attend à ce que le nombre de personnes atteintes d'OMD augmente en raison de l'augmentation de la prévalence du diabète11. À propos de Roche Canada Les patients et la science sont au coeur de tout ce que nous faisons. Chez Roche, notre passion pour la science et notre volonté de poursuivre sans relâche l'impossible pour les patients a fait de nous l'un des leaders mondiaux de l'industrie pharmaceutique, du diagnostic in vitro et des technologies de la santé. Nous cultivons aussi notre expertise dans de nouveaux domaines, tels que l'intelligence artificielle et la collecte et l'analyse de données en contexte réel, tout en collaborant avec différents secteurs et industries. Roche est une entreprise novatrice dans des domaines thérapeutiques de premier plan, dont l'oncologie, les maladies infectieuses, le diabète, l'ophtalmologie et les affections du système nerveux central. Roche Canada a été fondée en 1931 et compte aujourd'hui plus de 1 800 employés dans l'ensemble du pays au sein de sa division pharmaceutique à Mississauga, en Ontario, et de ses divisions Diagnostics et Soins du diabète à Laval, au Québec.
Depuis des années, les œufs ont été associés à une augmentation du taux de cholestérol, ce qui a conduit de nombreuses personnes à éviter leur consommation, des nouvelles études ont remis en question cette croyance populaire et ont montré que les œufs ne sont peut-être pas aussi mauvais pour la santé que nous le pensions.
Depuis des années, les œufs ont été associés à une augmentation du taux de cholestérol, ce qui a conduit de nombreuses personnes à éviter leur consommation, des nouvelles études ont remis en question cette croyance populaire et ont montré que les œufs ne sont peut-être pas aussi mauvais pour la santé que nous le pensions.
Le cholestérol est une substance cireuse produite par le foie qui est nécessaire pour le bon fonctionnement de notre corps, un excès de cholestérol dans le sang peut augmenter le risque de maladies cardiovasculaires, notamment les accidents vasculaires cérébraux et les crises cardiaques.
Il est important de comprendre que le cholestérol ne provient pas seulement de notre alimentation, mais qu’il est également produit par notre corps, c’est pourquoi, même si vous avez une alimentation équilibrée, vous pouvez toujours avoir un taux de cholestérol élevé.
Il y a deux types de cholestérol : le « bon » cholestérol (HDL) et le « mauvais » cholestérol (LDL), le LDL est souvent appelé « mauvais » cholestérol car il peut s’accumuler dans les artères et entraîner des maladies cardiovasculaires et le HDL est considéré comme le « bon » cholestérol car il aide à éliminer le cholestérol des artères.
Plusieurs facteurs qui peuvent influencer votre taux de cholestérol, notamment votre alimentation, votre poids, votre âge et votre niveau d’activité physique, prendre des mesures pour maintenir votre taux de cholestérol dans une plage saine comme l’exercice régulier, manger une alimentation équilibrée et limiter la consommation d’aliments riches en gras saturés et en cholestérol.
Bien que le cholestérol soit nécessaire pour le fonctionnement de notre corps, un excès peut causer des problèmes de santé graves, comprendre les différents types de cholestérol et les facteurs qui affectent votre taux de cholestérol, afin de prendre les mesures nécessaires pour maintenir une bonne santé cardiovasculaire.
Les œufs sont une excellente source de protéines, de vitamines et de minéraux, ils contiennent également du cholestérol, environ 200 mg par œuf, la consommation d’œufs n’augmente pas nécessairement le taux de cholestérol dans le sang, certaines études ont montré que manger des œufs peut augmenter le taux de « bon » cholestérol (HDL) et améliorer la santé cardiaque.
La façon dont vous cuisez vos œufs peut également avoir un impact sur leur impact sur le taux de cholestérol, les œufs frits et les œufs brouillés ont tendance à être cuits dans de l’huile ou du beurre, ce qui peut ajouter des graisses saturées à votre régime alimentaire, les œufs durs ou pochés sont une option plus saine.
Les œufs ne sont pas la seule source de protéines disponible, si vous cherchez à augmenter votre apport en protéines, vous pouvez également manger du poisson, de la viande, des légumes, des noix et des graines, il est recommandé de manger une variété d’aliments pour s’assurer d’obtenir tous les nutriments dont votre corps a besoin.
Une autre chose à considérer est la qualité des œufs que vous achetez, les œufs de poules nourries avec des aliments biologiques et élevées en plein air ont tendance à avoir une meilleure qualité nutritionnelle que les œufs de poules élevées en batterie, il peut être utile de faire des recherches sur les sources d’œufs disponibles dans votre région pour trouver les meilleures options pour votre régime alimentaire.
Ils peuvent être une partie saine et délicieuse de votre régime alimentaire si vous les consommez avec modération et que vous les préparez de manière saine, en gardant à l’esprit ces conseils, vous pouvez profiter des nombreux avantages des œufs tout en prenant soin de votre santé globale.
Les œufs sont une excellente source de protéines de haute qualité, de vitamines et de minéraux essentiels, un œuf contient tous les acides aminés essentiels dont votre corps a besoin, sont riches en choline, une substance importante pour la santé du cerveau.
Manger des œufs peut aider à maintenir un poids santé, les protéines des œufs augmentent la sensation de satiété, ce qui peut vous aider à manger moins de calories globalement, la choline dans les œufs peut aider à prévenir l’accumulation de graisse dans le foie.
Les œufs peuvent avoir un effet bénéfique sur la santé des yeux, ils sont riches en lutéine et en zéaxanthine, deux nutriments qui peuvent réduire le risque de dégénérescence maculaire liée à l’âge, ils peuvent être préparés de nombreuses façons délicieuses et sont un aliment polyvalent qui peut être consommé à tout moment de la journée, essayez-les brouillés sur du pain grillé pour le petit-déjeuner, en omelette pour le déjeuner ou en frittata pour le dîner.
La consommation d’œufs peut être bénéfique pour la santé, surtout si vous choisissez des options plus saines comme les œufs durs ou pochés, prendre en compte votre régime alimentaire dans son ensemble et de ne pas se concentrer sur un seul aliment ou nutriment, de préférence consulter votre médecin ou un(e) diététicien(ne) avant de faire des changements importants dans votre alimentation.
Source: https://www.pressesante.com/
iHealthScreen, fabricant de logiciels compatibles avec l’IA pour l’imagerie rétinienne, a reçu l’autorisation 510(k) de la FDA pour son système de dépistage oculaire iPredict qui exploite l’IA pour aider les prestataires à déterminer si un patient de plus de 50 ans souffre de dégénérescence maculaire liée à l’âge.
Le système iPredict dét
iHealthScreen, fabricant de logiciels compatibles avec l’IA pour l’imagerie rétinienne, a reçu l’autorisation 510(k) de la FDA pour son système de dépistage oculaire iPredict qui exploite l’IA pour aider les prestataires à déterminer si un patient de plus de 50 ans souffre de dégénérescence maculaire liée à l’âge.
Le système iPredict détecte la DMLA en utilisant l’IA pour analyser des images haute résolution des yeux d’un patient prises avec une caméra de fond d’œil couleur. Le test peut être effectué en cinq minutes et les résultats sont disponibles en 60 secondes.
La société est actuellement en train de lever des fonds pour un tour de pré-série A de 5 millions de dollars.
« Il s’agit d’une étape majeure pour iHealthScreen. Les outils de diagnostic des maladies oculaires iPredictTM peuvent aider à prévenir la cécité chez des millions de personnes et à faire économiser aux assureurs d’innombrables millions de dollars en coûts de soins de santé évitables », a déclaré le Dr Alauddin Bhuiyan, fondateur et PDG d’iHealthScreen dans un communiqué.
LA GRANDE TENDANCE
En 2019, 19,8 millions de personnes aux États-Unis vivaient avec une forme de dégénérescence maculaire liée à l’âge, soit une augmentation de plus de 2,75 fois les estimations précédentes, selon une étude en JAMA Ophtalmologie.
En 2021, iHealthScreen a reçu Certification CE pour son système iPredict pour le diagnostic précoce de la rétinopathie diabétique, du glaucome et de la dégénérescence maculaire liée à l’âge. Un an plus tard, la société basée aux États-Unis a annoncé qu’elle avait gagné approbation de la Therapeutic Goods Administration d’Australian Health.
Une autre entreprise utilisant l’IA pour détecter la DMLA est Optain, lancé plus tôt ce mois-ci par Aegis Ventures et Northwell Holdings, la branche d’investissement du système de santé basé à New York. Optain utilise l’imagerie rétinienne basée sur l’IA pour détecter les premiers signes de la maladie en utilisant la technologie de la société australienne Eyetelligence. Les partenaires ont fourni à Optain un investissement initial de 12 millions de dollars.
Source : https://news-24.fr/
Chaque jour, nos yeux sont soumis à une multitude de stimuli lumineux. Chaque couleur, chaque rayon de soleil, chaque écran numérique consulté, infligent un choc aux tissus sensibles à la lumière situés à l’arrière de nos yeux, produisant des composés toxiques qui menacent les cellules impliquées dans la vision. Récemment, des scientifi
Chaque jour, nos yeux sont soumis à une multitude de stimuli lumineux. Chaque couleur, chaque rayon de soleil, chaque écran numérique consulté, infligent un choc aux tissus sensibles à la lumière situés à l’arrière de nos yeux, produisant des composés toxiques qui menacent les cellules impliquées dans la vision. Récemment, des scientifiques ont mis en évidence un mécanisme de défense fascinant, basé sur la chimie quantique, qui protège nos yeux contre la perte d’acuité visuelle. Une voie d’espoir dans la recherche de traitements contre la dégénérescence maculaire liée à l’âge.
La rétine, cette couche de cellules réactives à la lumière qui tapisse la paroi arrière de nos yeux, est le théâtre d’un processus biochimique étonnant. Concrètement, chaque cellule de la rétine contient des disques remplis d’une substance appelée rétinal, qui capte les photons et déclenche une chaîne de réactions aboutissant à un signal nerveux que le cerveau interprète comme une image.
Cependant, la première étape de ce processus de conversion est potentiellement dangereuse : le rétinal se transforme en une substance qui interfère avec les fonctions de la cellule, devenant ainsi une toxine. L’évolution a muni notre œil d’un mécanisme lui permettant de se prémunir de cet effet néfaste. Des enzymes remettent le rétinal dans sa forme inoffensive.
De plus, l’œil recycle constamment les piles de disques usagés d’un côté, et en introduit de nouveaux, sensibles à la lumière, de l’autre. Néanmoins, ce processus, bien qu’efficace, est loin d’être parfait. Chez les personnes atteintes d’une maladie rare appelée maladie de Stargardt, une seule enzyme déficiente provoque une accumulation de produits toxiques qui entraîne une perte de vision claire dans la zone focale de la rétine.
Même chez les individus dont l’ensemble d’enzymes fonctionne aussi efficacement que possible, une lacune dans le processus de dégradation risque de permettre à un autre composé potentiellement dangereux, appelé lipofuscine, de s’accumuler et de former des amas dangereux. Là encore, l’évolution a une réponse, apparemment sous la forme du pigment foncé, la mélanine, qui a été observée en combinaison avec les granules de lipofuscine dans les rétines d’individus plus âgés.
Récemment, des chercheurs de l’Université de Tübingen en Allemagne et de l’Université Yale ont révélé que la mélanine exploite un comportement quantique pour éliminer la lipofuscine avant qu’elle ne s’accumule en amas dangereux. Leur étude est publiée dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences.
La mélanine, ce pigment responsable de l’assombrissement de nos cheveux, de notre peau et de nos yeux, joue un rôle crucial dans la protection de notre vision. Elle utilise un processus appelé chimioexcitation, qui permet à ses électrons d’atteindre des niveaux d’énergie plus élevés que ceux généralement permis.
Ce comportement permet de produire des radicaux d’oxygène nécessaires pour décomposer la lipofuscine. Douglas E. Brash, radiologue thérapeutique à Yale et co-auteur de l’étude, explique dans un communiqué : « Ces réactions de chimie quantique excitent un électron de la mélanine à un état d’énergie élevé et inversent son spin, permettant une chimie inhabituelle par la suite ».
Mais l’efficacité de la mélanine peut diminuer avec l’âge, comme beaucoup d’autres molécules et fonctions de notre corps. Ainsi, au fil du temps, ces agrégats de lipofuscine peuvent causer la détérioration des tissus, conduisant à une forme plus courante de déficience visuelle, la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA).
La DMLA est la principale cause de perte de vision dans les pays occidentaux. Elle consiste en une détérioration de la vision centrale, qui commence lorsque des gouttelettes de lipides et de protéines appelées lipofuscine s’accumulent dans la rétine et endommagent les cellules.
Les chercheurs espèrent que cette découverte pourrait être appliquée à la recherche de médicaments pouvant servir d’alternative à la mélanine chez les individus vieillissants, décomposant la lipofuscine avant qu’elle ne puisse causer des ravages dans les tissus rétiniens.
Ulrich Schraermeyer, auteur principal de l’étude et ophtalmologiste expérimental à l’Université de Tübingen, souligne : « La chimioexcitation est le chaînon manquant, et elle devrait nous permettre de contourner le problème que la DMLA amène lorsque la mélanine de l’œil diminue avec l’âge. Un médicament qui est directement ‘chimioexcité’ pourrait être une percée pour nos patients ».
La chimie quantique qui se déroule à l’intérieur de nos yeux joue un rôle crucial dans la protection de notre vision. En comprenant mieux ces mécanismes, nous pourrions être en mesure de développer de nouvelles stratégies afin de prévenir et traiter des maladies oculaires telles que la DMLA. La nature a doté nos yeux d’un système de défense complexe et fascinant, nous sommes maintenant en capacité de le comprendre et de l’exploiter pour améliorer notre vision, si rudement mise à mal par notre société ultra connectée.
Source : https://trustmyscience.com/
Généreux en zéaxanthine, un pigment présent dans leurs feuilles, ils protègent de la cataracte et de la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA). Manger des épinards est donc un atout pour préserver ses yeux.
Composés essentiellement d’eau, ces pousses sont au menu de la p
Généreux en zéaxanthine, un pigment présent dans leurs feuilles, ils protègent de la cataracte et de la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA). Manger des épinards est donc un atout pour préserver ses yeux.
Composés essentiellement d’eau, ces pousses sont au menu de la plupart des régimes hypocaloriques, à consommer crus dans une salade composée ou cuisinés. Riches en fibres, ils aident en effet à éliminer.
Grâce à leur teneur en vitamines du groupe B, et surtout en vitamine B9 qui participe à la production de sérotonine et de dopamine, les épinards contribuent à réguler nos humeurs, ainsi que notre sommeil.
La vitamine K1 (phylloquinone) qu’ils contiennent intervient également dans le renouvellement osseux et participe à maintenir la densité des os, réduisant ainsi le risque de fracture due à de