Cet outil dédié au suivi quotidien des effets de la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) est testé depuis plusieurs mois par des patients à Alès. Et les résultats sont très prometteurs.
"Si vous voyez des anomalies, lignes déformées, taches, dessinez-les", indique la voix féminine de l'application OdySight, dédiée aux personnes at
Cet outil dédié au suivi quotidien des effets de la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) est testé depuis plusieurs mois par des patients à Alès. Et les résultats sont très prometteurs.
"Si vous voyez des anomalies, lignes déformées, taches, dessinez-les", indique la voix féminine de l'application OdySight, dédiée aux personnes atteintes de DMLA, la dégénérescence maculaire liée à l'âge qui frappe surtout les plus de 75 ans. À un stade avancé, cette maladie de la rétine peut rendre en partie aveugle, alors pour prévenir toute aggravation, les patients du centre ophtalmologique d'Alès (Gard) s'autosurveillent grâce à ces tests sur écran.
Les patients utilisent l'application depuis huit mois et d'après la directrice du centre, Natacha Zanatta, ce suivi a porté ses fruits : "On a amélioré le suivi, ça c'est indéniable. On a eu peut-être six ou huit signalements qui correspondaient effectivement à une prise en charge qui était nécessaire rapidement. Des pertes de champ de vision, par exemple, des nouveaux points de perte qui apparaissent et que l'application enregistre. Le patient en général, il ne s'en rend pas compte de lui-même. C'est l'application qui va le détecter avant le patient."
"Le patient nous aurait contactés seulement s'il constatait une perte de vision, bien longtemps après. Là, on est vraiment sur une prise en charge ultra-précoce".
Natacha Zanatta, directrice du centre d'ophtalmologie d'Alès à franceinfo
Delphine Zutton vient d'avoir 52 ans et elle a découvert un peu par hasard qu'elle souffrait de DMLA. Cette pathologie est plutôt rare à son âge. Pour éviter que son cas ne s'aggrave, elle fait le test une fois par jour en plaçant son visage en face de son téléphone portable : "On voit s'il y a aggravation. Pour l'instant, moi, ça ne change pas. Ça me permet de me rendre compte aussi que j'ai vraiment perdu parce que le cerveau et l'autre œil corrigent. Donc moi, j'avais vu que j'avais perdu, mais pour moi, pas tant que ça. Donc ça a un côté rassurant. Puis c'est assez facile."
Rien à signaler cette fois. Mais si l'application OdySight avait décelé une anomalie dans le test de Delphine Zutton, la clinique aurait immédiatement reçu un signalement pour que cette patiente obtienne un rendez-vous en urgence. Les médecins auraient contrôlé sa vision et éventuellement prescrit un traitement.
Source: https://www.francetvinfo.fr/
Le zinc renforce le système immunitaire, joue un rôle clé dans la lutte contre les germes, la cicatrisation des plaies et bien plus encore. Le zinc a tout bon ! Cet oligo-élément, contenu dans les viandes, les noix et dans les compléments alimentaires est également un anti-oxydant : "Les antioxydants aident à prévenir les dommages cellu
Le zinc renforce le système immunitaire, joue un rôle clé dans la lutte contre les germes, la cicatrisation des plaies et bien plus encore. Le zinc a tout bon ! Cet oligo-élément, contenu dans les viandes, les noix et dans les compléments alimentaires est également un anti-oxydant : "Les antioxydants aident à prévenir les dommages cellulaires qui contribuent aux maladies cardiaques, au cancer et à d'autres problèmes de santé graves", explique la diététicienne Julia Zumpano. Mais ses bienfaits ne s’arrêtent pas là. L'ESSENTIEL
Le zinc contribue à la fabrication des cellules du système immunitaire qui combattent les germes. En cas de rhume par exemple, sucer des pastilles ou le prendre en compléments permettra de se remettre sur pied plus rapidement.Un examen systématique de 28 études, réalisé en 2021, a révélé que l'utilisation de pastilles, de gels ou de vaporisateurs nasaux à base de zinc aidait les personnes à se sentir mieux deux jours plus tôt que celles qui n'utilisaient pas de zinc - sans pour autant atténuer la gravité des symptômes du rhume.
Le zinc est également connu pour protéger la vue : des études suggèrent que la prise de 80 milligrammes (mg) d'un supplément de zinc, associé à d'autres vitamines pour la santé des yeux, peut réduire de 25 % le risque de dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) avancé et de perte de vision."La dégénérescence maculaire liée à l'âge est une maladie chronique de l'œil, qui atteint la zone centrale de la rétine. Elle évolue à partir de l'âge de 50 ans. Elle est la principale cause de malvoyance chez les personnes âgées", indique l'Assurance Maladie.Les personnes atteintes de DMLA risquent de perdre la vue si la maladie progresse. "Vos rétines (la partie de vos yeux qui convertit la lumière en signaux que votre cerveau utilise pour créer des images) ont une concentration élevée de zinc. Un apport supplémentaire en zinc sous forme de suppléments peut contribuer à protéger vos rétines contre les radicaux libres nocifs qui endommagent les cellules”, indique Julia Zumpano.
Le zinc réduit également la glycémie et le cholestérol. Un faible niveau de zinc, observé chez les personnes atteintes de diabète de type 2, peut d’ailleurs aggraver rapidement la maladie et augmenter le risque d'accidents vasculaires cérébraux et de maladies cardiaques potentiellement mortelles. Le zinc est également bénéfique en cas de diabète gestationnel, d’après une étude de 2021.Le quatrième bienfait du zinc réside dans sa capacité à favoriser la cicatrisation des plaies. L'oxyde de zinc à appliquer directement sur la peau est un traitement éprouvé de l'érythème fessier du nourrisson, une dermite du siège due à une irritation de la peau, indique l’Assurance Maladie. Enfin, le zinc améliore la qualité du sperme : une petite étude a révélé que les personnes souffrant d'infertilité ont vu la qualité de leur sperme s'améliorer après avoir pris un supplément de zinc. La bonne nouvelle, c’est que le corps n'a besoin que de petites quantités de zinc pour rester en bonne santé, conclut la diététicienne. La quantité varie de 2mg de la naissance à 6 mois, à 11 mg pour les femmes enceintes.
Source: Margot Montpezat https://www.pourquoidocteur.fr/
Durham, États-Unis – La Food and Drug Administration (FDA) a approuvé l’injection de pegcetacoplan (Syfovre) comme premier traitement de l’atrophie géographique (AG), une cause majeure de cécité chez l’adulte.
Le pegcetacoplan injectable, des laboratoires Apellis (Apellis Pharmaceuticals), est destiné au traitement des personnes atteinte
Durham, États-Unis – La Food and Drug Administration (FDA) a approuvé l’injection de pegcetacoplan (Syfovre) comme premier traitement de l’atrophie géographique (AG), une cause majeure de cécité chez l’adulte.
Le pegcetacoplan injectable, des laboratoires Apellis (Apellis Pharmaceuticals), est destiné au traitement des personnes atteintes d’atrophie géographique secondaire à une dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA). L’atrophie géographique touche plus d’un million de personnes aux États-Unis et 5 millions de personnes dans le monde, indique Apellis.
« L’approbation [du médicament] Syfovre est l’événement le plus important dans le domaine de l’ophtalmologie rétinienne depuis plus d’une décennie », a déclaré la Dre Eleonora Lad, directrice de la recherche clinique en ophtalmologie et professeur associé d’ophtalmologie au Centre médical universitaire de Duke (University Medical Center – Durham, Caroline du Nord, États-Unis) dans un communiqué de presse sur la décision prise par la FDA. « Jusqu’à présent, il n’y avait aucun traitement approuvé à proposer aux personnes vivant avec l’AG alors que leur vision déclinait inexorablement. Avec Syfovre, nous disposons enfin d’un traitement sûr et efficace contre l’AG, une maladie dévastatrice dont les effets augmentent avec le temps. »
La Dre Lad était l’investigatrice principale d’un essai clinique sur le pegcetacoplan révélant que le médicament réduisait la croissance des lésions oculaires par rapport aux injections de placebo. Deux grands essais de l’agent injectable ont donné des résultats mitigés, et Apellis a demandé à la FDA de retarder son examen du nouveau produit.
Le pegcetacoplan est approuvé pour les patients atteints d’atrophie géographique avec ou sans atteinte sous-fovéale. Les essais cliniques du médicament, qui peut être administré tous les 25 à 60 jours, ont montré un bénéfice maximal entre 18 et 24 mois après le début du traitement.
Le médicament n’est pas destiné à être utilisé chez les personnes souffrant d’infections oculaires ou périoculaires ou d’inflammation intraoculaire active, d’après les laboratoires Apellis.
Apellis prévoit de vendre le pegcetacoplan à 2 190 dollars par flacon, a déclaré la société vendredi, comme le rapporte BioPharma Dive.
Cet article a initialement été publié sur Medscape.com FDA OKs First Drug for Geographic Atrophy, a Major Cause of Adult Blindness. Traduit et adapté par Mona El-Guechati
Source: Adam Marcus https://francais.medscape.com/
Saviez-vous que certains aliments ont une ressemblance troublante avec les organes qu'ils peuvent aider à guérir ?
Nous avons tous vu ces photos un peu déconcertantes qui apparaissent sur nos réseaux sociaux et qui montrent des « aliments qui ressemblent aux organes qu’ils traitent » Aussi curieux – et même quelque peu incrédule – que n
Saviez-vous que certains aliments ont une ressemblance troublante avec les organes qu'ils peuvent aider à guérir ?
Nous avons tous vu ces photos un peu déconcertantes qui apparaissent sur nos réseaux sociaux et qui montrent des « aliments qui ressemblent aux organes qu’ils traitent » Aussi curieux – et même quelque peu incrédule – que nous puissions être, y a-t-il vraiment du vrai là-dedans ? La nature aurait-elle pu nous fournir des aliments qui ressemblent à s’y méprendre aux organes qu’ils peuvent soigner ? Il s’avère que oui ! Des noix dont la forme ressemble étrangement à celle du cerveau humain aux patates douces dont la forme rappelle merveilleusement celle du pancréas, ces huit aliments illustrent parfaitement la puissance des remèdes naturels pour notre santé. Lisez la suite pour savoir pourquoi vous devriez les intégrer à votre régime alimentaire quotidien.
Les tomates :
Elles sont un aliment populaire qui ressemble étrangement au cœur humain. Elles contiennent du lycopène, un puissant antioxydant qui contribue à réduire l’inflammation des artères et à maintenir le taux de cholestérol à un niveau bas. La teneur élevée en fibres des tomates permet également de réduire le taux de mauvais cholestérol et peut aider à prévenir les accidents vasculaires cérébraux ou les crises cardiaques. En outre, la vitamine C contenue dans les tomates a été associée à la réduction des facteurs de risque des maladies coronariennes.
Les noix:
Les noix ressemblent étrangement au cerveau et sont pleines d’acides gras oméga-3, qui peuvent contribuer à améliorer les fonctions cognitives et la mémoire. Ces fruits à coque peuvent également protéger contre le déclin mental lié à l’âge et favoriser une bonne circulation sanguine dans le cerveau. En outre, elles contiennent de la vitamine E, qui peut aider à protéger les cellules nerveuses contre les dommages, ainsi que des vitamines B, qui peuvent aider à stimuler naturellement les niveaux d’énergie.
La betterave:
La betterave est un légume-racine qui ressemble étrangement aux reins. Elles contiennent des bétalaïnes qui agissent comme des antioxydants dans l’organisme et peuvent contribuer à réduire l’inflammation associée aux maladies rénales. Les betteraves contiennent aussi de grandes quantités de nitrates, qui peuvent contribuer à la dilatation des vaisseaux sanguins et favoriser une tension artérielle saine. En outre, elles sont riches en potassium, ce qui est important pour maintenir l’équilibre électrolytique dans les reins afin qu’ils puissent filtrer efficacement les toxines de l’organisme.
Les oranges et les pamplemousses
La consommation d’oranges et de pamplemousses est bénéfique pour la santé des seins chez la femme, car ces deux fruits fournissent une série de vitamines et de minéraux importants. La recherche suggère que de nombreux composants de ces agrumes sont associés à une meilleure densité mammographique, c’est-à-dire à la facilité avec laquelle le cancer du sein peut être détecté par le dépistage. En outre, ils contiennent des antioxydants essentiels, comme la vitamine C, qui non seulement favorisent la croissance de tissus sains, mais protègent également contre les dommages oxydatifs causés par la pollution environnementale.
La teneur en flavonoïdes de ces aliments contribue à réduire l’inflammation et à favoriser un bon équilibre hormonal. Enfin, la consommation d’agrumes a été associée à une réduction du risque de développement de kystes mammaires et offre des nutriments supplémentaires pour maintenir les seins fermes et vigoureux. Dans l’ensemble, il est clair que la valeur nutritionnelle offerte par l’ajout d’oranges et de pamplemousses à votre régime alimentaire peut être bénéfique pour la santé générale des femmes et améliorer spécifiquement la santé des seins.
Les carottes:
Les carottes ressemblent étrangement à des yeux lorsqu’elles sont coupées en lamelles. Cependant, elles offrent bien plus qu’un simple aspect esthétique ! Les carottes contiennent du bêta-carotène ainsi que de la lutéine et de la zéaxanthine. Il a été démontré que ces deux substances aident à protéger contre la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) en bloquant les ondes nocives de la lumière bleue qui pénètrent quotidiennement dans nos yeux par le biais des écrans ou de l’exposition au soleil, protégeant ainsi notre vision à long terme.
L'avocat:
Les avocats ressemblent étrangement à un utérus en raison de sa forme ovale. Saviez-vous que les avocats sont des aliments incroyablement bénéfiques pour la santé de l’utérus ? Les avocats contiennent une multitude de vitamines, de minéraux et d’autres nutriments favorables au bien-être, tels que le bêta-carotène et les vitamines C, E, K et B6. Ces éléments sont non seulement essentiels pour de nombreuses fonctions de l’organisme, mais aussi pour la santé de l’utérus.
La teneur élevée en fibres des avocats est bénéfique pour améliorer la digestion et faciliter l’élimination, ce qui aide à prévenir les irritations dans la région pelvienne qui peuvent entraîner des problèmes de reproduction. La consommation régulière d’avocats peut également contribuer à améliorer la circulation, à fournir des nutriments vitaux aux cellules et à réduire l’inflammation. Avec tous ces avantages étonnants découlant de la consommation d’un seul fruit, il n’est pas étonnant que les avocats soient devenus si populaires !
Les champignons:
Les champignons ressemblent étrangement aux poumons en raison de leur forme similaire lorsqu’ils sont coupés en deux Cet aliment contient de puissants antioxydants tels que le sélénium et le glutathion, ainsi que plusieurs autres composés tels que l’ergothionéine et les polysaccharides. Tous ces éléments ont été associés à la réduction de l’inflammation associée aux maladies respiratoires telles que l’asthme et la bronchite, tout en renforçant l’immunité à tout moment !
Les amandes:
Les amandes ressemblent étrangement aux testicules lorsqu’elles sont coupées en deux. Elles sont un en-cas sain qui a de nombreux effets bénéfiques sur l’organisme. L’un des aspects les moins connus est que les amandes sont bénéfiques pour les testicules, ainsi que pour d’autres parties du corps. Des études ont montré que les amandes contiennent de puissants antioxydants, des minéraux et des vitamines qui contribuent à augmenter les niveaux de testostérone et à stimuler la fertilité en améliorant le nombre, la qualité et la mobilité des spermatozoïdes.
En outre, les amandes contribuent à réduire l’inflammation des organes reproducteurs, ce qui peut améliorer la santé sexuelle. La recherche indique également que la consommation d’amandes peut aider à réguler la production d’hormones et à réduire le stress, deux facteurs importants pour le maintien d’une bonne santé des testicules. En résumé, l’intégration d’amandes grillées dans votre alimentation quotidienne peut apporter de nombreux avantages à vos testicules et à votre système reproducteur.
Source:
Il y a un nouvel espoir pour les personnes atteintes d’atrophie géographique (AG), une forme avancée de la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA sèche). Les scientifiques espèrent qu’ils sont proches de nouvelles thérapies pour la maladie qui s’est avérée difficile à traiter dans le passé.
Dans la DMLA sèche, de petites lésions jaunes appelées drusen se forment sous la rétine de l’œil. S’ils grossissent, les drusen peuvent empêcher les nutriments d’atteindre la rétine et provoquer la mort cellulaire. Votre vue devient floue et si la DMLA passe à l’AG, vous aurez peut-être du mal à voir depuis la partie centrale de votre vision.
Il existe deux formes de DMLA, humide et sèche. La DMLA sèche affecte environ 90 % de toutes les personnes atteintes de DMLA et s’aggrave généralement plus lentement. Bien que les traitements de la DMLA humide aient évolué rapidement au cours des dernières années, les innovations dans la forme sèche de la maladie ont été plus lentes.
Michael Cooper, OD, optométriste et directeur de la formation médicale chez Eyes on Eyecare, qualifie l’AG de « maladie actuellement irréversible et visuellement dévastatrice pour des millions de personnes ».
« Nous voulons aider les personnes atteintes de GA à reprendre le contrôle et à les responsabiliser en identifiant l’AG plus tôt, afin qu’elles puissent vivre leur vie comme elles le souhaitent », dit-il. Et bien que la perte de vision due à l’AG soit permanente, les futurs traitements pourraient arrêter ou ralentir l’aggravation de la maladie avec le temps.
À l’heure actuelle, les seuls traitements susceptibles de réduire la progression de la DMLA sèche sont les vitamines et les suppléments. Et une fois que la maladie évolue vers l’AG, il n’y a plus de thérapies – la perte de vision dans ces zones est permanente. Récemment cependant, les chercheurs ont fait des percées passionnantes dans la recherche de traitements pour l’AG, y compris les médicaments et la chirurgie.
De nombreux traitements émergents de l’AG fonctionnent pour contrôler une partie de votre système immunitaire appelée système du complément. Ces deux systèmes s’associent pour vous protéger des éléments qui peuvent vous rendre malade, comme les virus et les bactéries. Votre système du complément renforce votre système immunitaire en activant des protéines qui vous aident à rester en bonne santé.
Environ 50 minuscules protéines présentes dans le plasma de votre sang constituent votre système du complément. Normalement, ces protéines sont inactives jusqu’à ce que quelque chose les déclenche, comme lorsque vous êtes blessé ou que vous combattez des bactéries. Cela déclenche une réaction en chaîne protectrice appelée cascade, où une protéine s’allume, suivie d’une autre et d’une autre.
Parfois, les protéines de votre système du complément travaillent trop fort et votre corps les déclenche trop souvent. Lorsque cela se produit, cela augmente vos risques de maladie, y compris la DMLA, qui peut conduire à l’AG.
Les traitements les plus prometteurs de l’AG ciblent le système du complément. Cooper dit que les chercheurs n’ont pas une bonne compréhension de la science derrière l’AG, mais récemment, le système du complément « est devenu le domaine phare de la recherche sur l’atrophie géographique ».
Les chercheurs se sont concentrés sur deux types de protéines dans votre sang, les protéines C3 et C5. Habituellement, ces protéines éliminent les germes qui vous rendent malade, mais elles peuvent provoquer une inflammation et également attaquer les cellules saines.
Les chercheurs pensent que C3 et C5 jouent un rôle essentiel dans l’obtention d’AMD et éventuellement de GA. Ils ont étudié des traitements qui permettent de contrôler le système du complément et de ralentir la croissance des lésions GA. Alors que les premiers essais cliniques n’ont pas été couronnés de succès, des études récentes ont montré plus de potentiel.
Inhibiteurs du complément
Un traitement possible est une injection oculaire appelée inhibiteur du complément. Il agit en ralentissant la C3 et la croissance des lésions GA chez les personnes atteintes de DMLA sèche. Une étude de la thérapie, nommée pegcetacoplan (Syfovre), a révélé qu’elle peut aider à ralentir la croissance des lésions chez ceux qui ont des injections mensuelles et ceux qui reçoivent des injections tous les deux mois.
Sur la base des résultats de trois études, la FDA a accéléré le traitement du médicament. Le processus accéléré accélère le développement et l’examen de nouveaux traitements importants afin qu’ils puissent être mis à la disposition des patients plus rapidement. La FDA considère si le médicament répondra à un « besoin médical non satisfait », ce qui signifie qu’il n’existe actuellement aucun traitement pour une condition médicale spécifique, telle que l’atrophie géographique.
Un autre inhibiteur du complément, appelé avacincaptad pegol (Zimura), ralentit l’aggravation de l’AG en ciblant la protéine C5. Une étude a révélé que les personnes qui prenaient le médicament, administré par injection oculaire, ralentissaient l’AG d’environ 27 % sur 12 mois.
Fin 2022, la FDA a qualifié le traitement de thérapie révolutionnaire. Comme la procédure accélérée, ce processus accélère également le développement et l’examen de certains médicaments. Une thérapie révolutionnaire vise à traiter une maladie grave, et les premières preuves peuvent montrer que le médicament présente un avantage par rapport à un traitement disponible.
Outre les injections, les chercheurs étudient également les inhibiteurs du complément sous forme de comprimés. Ces essais cliniques ne sont pas aussi avancés que ceux des traitements que vous prenez en urgence.
Chirurgie de thérapie génique
Un inconvénient possible des injections oculaires est que vous pourriez en avoir besoin une fois par mois ou tous les 2 mois à vie. Mais les chercheurs étudient une autre option pour GA dont vous n’auriez besoin qu’une seule fois.
Il s’agit d’une thérapie génique conçue pour aider l’œil à fabriquer une protéine appelée facteur I du complément (CFI). CFI garde le complément sous contrôle, et le stimuler avec une injection unique administrée sous la rétine peut équilibrer un système de complément hyperactif.
Cooper dit que la thérapie génique est la prochaine vague de traitements pour l’AG. « Au fil du temps, nous devenons plus sophistiqués avec notre capacité à formuler ces médicaments, et je pense que nous verrons plus de ce type de livraison. »
Les premières données de l’étude ont révélé que la plupart des personnes qui avaient reçu le traitement présentaient des niveaux de CFI plus élevés. Certains ont vu ces résultats plus d’un an après le traitement. Les chercheurs continuent d’étudier la thérapie génique pour l’AG dans des essais cliniques en cours.
Vitamine A modifiée
La vitamine A est essentielle à la vision mais peut devenir toxique et former ce que les scientifiques appellent des «dimères». Les chercheurs pensent depuis longtemps que les dimères jouent un rôle dans l’apparition ou non d’une DMLA sèche. Aujourd’hui, ils étudient une forme chimiquement modifiée de vitamine A qui pourrait prévenir et traiter la DMLA sèche.
Le médicament, une capsule appelée ALK-001, remplace la vitamine A naturelle de votre corps par une version qui ralentit le processus de fabrication des dimères. Les scientifiques étudient actuellement l’efficacité du médicament pour ralentir l’AG.
Source :https://www.caminteresse.fr/
Un médicament a été développé pour aider les personnes atteintes de la version sèche de la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) qui, jusqu’à présent, est restée incurable.
De nombreuses personnes au Portugal et dans le monde souffrent de cette maladie, qui provoque une perte de vision au centre de la rétine. Elle ne touche presque toujours que les personnes âgées de plus de 50 ans, mais elle s’aggrave ensuite progressivement, rendant difficile, voire impossible, l’exercice de certaines activités courantes telles que lire, écrire, conduire et regarder la télévision.
Il existe deux types de DMLA : sèche et humide. Les deux provoquent une vision floue qui peut éventuellement conduire presque à la cécité. La forme humide est depuis longtemps traitable, bien qu’elle puisse coûter cher et que le traitement ne réussisse pas toujours. Pendant des décennies, la plupart des personnes âgées atteintes de sécheresse ont abandonné l’espoir d’un remède au cours de leur vie.
Le président de la Société portugaise d’ophtalmologie, le Dr Rufino Silva, explique sur le site Web de la société que la DMLA ne présente initialement pratiquement aucun symptôme et que les personnes touchées peuvent même ne pas savoir qu’elles sont atteintes de la maladie. Seul un examen par un ophtalmologiste permet de poser le bon diagnostic.
La prévention passe par une alimentation riche en légumes et fruits, prise de vitamines et d’antioxydants qui ont été étudiés pour cette maladie et qui peuvent être prescrits par un ophtalmologiste. Surtout, cela implique également de faire de l’exercice physique et de ne pas fumer.
Le Dr Silva dit que toute personne qui remarque une distorsion des images doit consulter immédiatement un ophtalmologiste et qu’il est également important de commencer le traitement dans un délai d’une ou deux semaines.
Les personnes qui se savent déjà atteintes d’ADM voient d’abord les objets ou les visages des personnes quelque peu déformés, puis une ombre apparaît dans le champ de vision central, les empêchant de voir clairement un visage qu’elles pourraient regarder. Ils peuvent ne pas reconnaître des amis qui passent dans la rue ou qui sont assis à la table voisine d’un restaurant.
La maladie progresse avec le temps et, dans les stades intermédiaires, peut entraîner des modifications du contraste, des couleurs et de la vision en basse lumière. Dans les stades ultérieurs, il y a une perte de vision beaucoup plus grave qui peut presque aller jusqu’à la cécité. C’est la cause la plus fréquente de quasi-cécité au Portugal chez les personnes de plus de 65 ans.
Le traitement de la DMLA humide peut prévenir une grave perte de vision. Il se fait par injections intravitréennes, et il peut être nécessaire de maintenir ce traitement pendant plusieurs années. Un nouveau médicament, Vabysmo, a été introduit l’année dernière pour la DMLA humide et l’œdème maculaire diabétique (OMD). C’était le premier anticorps bispécifique approuvé pour le traitement des yeux.
Le nouveau médicament pour la DMLA sèche s’appelle Syfovre. Bien qu’il ne guérisse pas et ne ramène pas une vision normale, des essais cliniques ont montré qu’il peut ralentir la progression de la maladie. Il sera administré par injection dans l’œil tous les 25 à 60 jours.
Syfovre a été approuvé par la Food and Drug Administration des États-Unis et les patients aux États-Unis devraient commencer à recevoir un traitement cette semaine. Il est encore trop tôt pour dire à quel point le médicament sera bénéfique et il y a même des points d’interrogation sur les risques possibles, comme la transformation de la DMLA sèche en humide.
Cependant, Geraldine Hoad, directrice de recherche à la Macular Society au Royaume-Uni, a déclaré : « Ce développement est une étape importante pour les patients atteints de DMLA sèche, qui jusqu’à présent n’avaient aucun traitement disponible pour leur état. Nous espérons avoir une image plus claire dans les mois à venir.
Une soumission est en cours auprès de l’Agence britannique de réglementation des médicaments et des produits de santé pour faire approuver Syfovre au Royaume-Uni.
Avant de pouvoir être administré au Portugal ou dans tout pays membre de l’UE, le médicament devra être approuvé par la Commission européenne.
Source :https://www.caminteresse.fr/
Accélération du vieillissement de la rétine, facteur de risque de la DMLA, troubles du sommeil…La lumière bleue est accusée de nombreux maux. Pour y faire face, il existe des lunettes spéciales. Comment s'en procurer et à quel prix ?
La est une partie du spectre lumineux classique émise par une source lumineuse naturelle, le soleil, et les lumières par lumière bleue artificielles des écrans (télévision, ordinateur, smartphone) et ampoules LED. Ce sont les longueurs d'onde courtes bleu-violet situées entre 380 et 455 nanomètres qui sont considérées comme potentiellement nocives. À contrario, la lumière bleue turquoise, dont les longueurs d'onde se trouvent entre 455 et 495 nanomètres, a des effets positifs, notamment sur le cycle circadien (alternance veille-sommeil).
Les lunettes anti lumière bleue sont dotées de verres permettant de filtrer la "mauvaise" lumière bleue. Elles visent essentiellement à reposer les yeux, notamment chez une personne qui travaille sur écran toute la journée. "Les lunettes peuvent être neutres ou avec une correction optique (hypermopiétre, astigmatisme, myopie et ou presbytie). Ce sont des lunettes transparentes qui présentent une légère couleur bleutée à certains rayonnements du soleil quand on tourne un peu le verre par rapport à l'instance de la lumière", détaille le Dr Pierre Quéromès.
Pour savoir si des lunettes sont anti lumière bleue, il suffit de placer les verres à la lumière et de regarder s'ils présentent un reflet bleuté. L'opticien peut également en attester au moment de l'achat des lunettes.
Les lunettes anti lumière bleue permettent de protéger l'œil des longueurs d'onde néfastes pour la rétine, grâce à des verres qui filtrent la lumière bleu-violet mais laissent passer la lumière bleue turquoise. La lumière bleu-violet est responsable d'une stimulation anormale du rythme circadien, essentiellement en fin de journée et la nuit en cas d'utilisation d'un écran qui perturbe les phases d'éveil et de sommeil pour l'homme. "Il a été prouvé que l'exposition à la lumière bleue avait des effets négatifs sur les cellules rétiniennes et sur l'épithélium pigmentaire, pouvant notamment entraîner une inflammation de la rétine, un stress oxydatif et une apoptose des photosrécepteurs. En revanche, aucune donnée ne permet de déterminer si les rayonnements bleus issus de la lumière naturelle sont plus toxiques que ceux issus des lampes LED", développe le chirurgien ophtalmologiste.
Source :https://www.caminteresse.fr/
L’arnica est une plante que l’on trouve en milieu montagneux. C’est aussi un végétal qui est utilisé dans la fabrication de certains onguents. Il peut être utile pour soulager certaines contusions, mais pas seulement. Découvrez les autres bienfaits de l'arnica.
L’arnica est reconnue pour ses vertus anti-inflammatoires et antidouleur, ce qui fait d’elle une alliée intéressante dans le traitement traumatologique. L’arnica est présentée sous différents formats, mais les parents de jeunes enfants utilisent généralement une crème à base d’Arnica pour traiter les blessures consécutives à une chute. En phytothérapie, elle est utilisée sous forme d’onguent ou de crème pour traiter localement les ecchymoses et autres contusions. Ce végétal est aussi fréquemment utilisé dans les milieux sportifs.
L’arnica aurait un effet positif pour soulager l’insuffisance veineuse et les douleurs articulaires. La fleur d’arnica fait partie des composants utilisés dans des traitements homéopathiques. De petits granules à base d’arnica doivent être ingérés quotidiennement pendant une durée déterminée par l’homéopathe. Dans ce cas de figure, l’arnica des montagnes peut être prescrite à un patient pour plusieurs raisons. La plante est réputée être efficace en traitement préventif contre l’apparition de la DMLA ou de certaines maladies cardiaques, mais aussi pour préparer à une opération chirurgicale, ou encore en traumatologie pour soulager les hématomes. Cependant, il est important de rappeler que l’efficacité de l’homéopathie n’est pas prouvée scientifiquement.
L’arnica est une plante millénaire reconnue pour ses nombreux bienfaits. A priori, dans la Grèce antique, on avait recours à l’arnica pour traiter certains maux. Ses composants actifs lui permettent notamment d’agir comme un antidouleur, un antibactérien et un anti-inflammatoire. Cette médecine naturelle peut être attractive pour soulager certaines douleurs chroniques, en appui d’un traitement médical. Des personnes ont recours à l’arnica pour se débarrasser des maux de gorge. Il ne faut pas oublier que les plantes médicinales contiennent des principes actifs qui peuvent interférer avec certains traitements médicamenteux. Elles peuvent donc présenter certains risques. Si vous avez des problèmes de santé connus ou des allergies, il est important de parler avec votre médecin traitant de votre intention d’utiliser l’arnica.
Source :https://www.caminteresse.fr/
Les kiwis font partie des fruits aux propriétés les plus saines. Connaissiez-vous déjà ces avantages pour la santé?
Parce qu’il contient beaucoup de potassium, le kiwi assure un bon équilibre hydrique et une pression artérielle saine. De nombreux aliments contiennent aujourd’hui une grande quantité de sodium. C’est l’une des raisons pour lesquelles les gens souffrent rapidement d’hypertension artérielle. En mangeant régulièrement un kiwi, vous réduisez ce risque.
Un système respiratoire sain est très important pour un corps qui fonctionne bien. Vous y contribuez en consommant suffisamment de vitamine C. Et les kiwis contiennent beaucoup de vitamine C.
Manger quotidiennement un kiwi réduit le risque de dégénérescence maculaire (ou vieillissement rétinien). En effet, le kiwi contient de la lutéine et de la zéaxanthine. Les kiwis sont donc très bons pour vos yeux.
Votre corps fonctionne mieux à une certaine acidité, une valeur de pH. Pour avoir un pH sain, vous devez consommer suffisamment de minéraux. Les kiwis contiennent de nombreux minéraux et garantissent que votre corps n’a pas à dépendre de vos réserves.
Il n’y a pas beaucoup de calories dans un kiwi. Un snack responsable ! De plus, les kiwis contiennent également beaucoup de fibres. Et ils ne provoquent pas de pic d’insuline, alors dites adieu à la trempette au sucre.
C’est aussi un si bel avantage : votre peau peut briller incroyablement en mangeant des kiwis. Parce que les kiwis sont, comme mentionné, riches en vitamine C, ce morceau de fruit assure une peau plus saine. La vitamine C joue un rôle essentiel dans la formation du collagène. Cette substance renforce votre peau et son élasticité.
Et si cela ne suffit pas, manger un kiwi vous donne un coup de pouce sain. Les kiwis contiennent beaucoup d’antioxydants. Ils protègent le corps contre les substances nocives, telles que les rayons UV, la pollution et le stress.
Vous sentez-vous ballonné après avoir mangé ? Mangez un kiwi vert. Ils sont remplis de fibres et contiennent également l’enzyme actinidine. Cette enzyme aide votre corps à décomposer les aliments et est bonne pour votre système digestif. C’est ainsi que vous vous débarrassez de cette sensation de ballonnement de manière saine.
La vitamine C aide à lutter contre la fatigue, contribue au maintien d’une peau saine et renforce votre résistance. Important d’en avoir assez, donc:
Source : https://www.nouvellesdu-monde.com/
Les bienfaits de la courge tiennent notamment de sa richesse en fibres. Les personnes les plus fragiles au niveau digestif et les enfants préféreront les consommer toutes jeunes, car leurs fibres sont à ce moment là très bien supportées.
La courge est également pourvoyeuse de vitamines et de minéraux. Elle apporte notamment :
Elle est également riche en caroténoïdes, notamment la lutéine et la zéaxanthine, qui sont des antioxydants. Peu d’autres légumes contiennent ces 2 caroténoïdes : les pois, les brocolis, le potiron.
Les flavonoïdes sont des polyphénols, des éléments antioxydants, que la courge offre, bien qu’en petite quantité. Elle contient notamment de la rutine, qui consolide les parois des petits vaisseaux sanguins.
Sa teneur en eau est très importante, plus de 80 % voire plus de 90 %. Consommer des courgettes permet donc de compléter les apports en eau (qui doivent être de 2,5 l par jour, eau des boissons + eau contenue dans les divers aliments).
Très peu calorique car sa teneur en glucides est basse et du même coup son indice glycémique (15), elle peut être consommée sans inquiétude.
Les maladies cardio-vasculaires sont moins fréquentes chez les personnes qui consomment beaucoup de fruits et de légumes.
Quelles sont les vitamines de la courgette ?
Source : https://www.tunisienumerique.com/
Cette équipe de bioingénieurs du National Eye Institute (NEI/ (NIH) exploite la bioimpression en 3D pour créer des tissus oculaires. L’objectif est de disposer d’un modèle accessible pour étudier la genèse de la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) et d'autres maladies oculaires, et à terme de pouvoir développer de nouvelles thérapies, moins invasives, pour lutter contre cette maladie.
Les scientifiques utilisent des cellules souches de patients et la bio-impression 3D pour produire des tissus oculaires qui leur permettent d’étudier les mécanismes des maladies oculaires. Cette combinaison de cellules forme un tissu oculaire très similaire à la barrière hémato-rétinienne externe, qui soutient les photorécepteurs sensibles à la lumière de la rétine. La technique pourrait ainsi fournir un approvisionnement théoriquement illimité de tissu dérivé du patient pour l’étude des maladies rétiniennes dégénératives telles que la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA).
Première application avec la DMLA : la dégénérescence maculaire liée à l’âge commence en effet dans la barrière hémato-rétinienne externe, explique l’un des auteurs principaux, Kapil Bharti, Directeur de recherche translationnelle au NEI sur les cellules oculaires et souches :
« les mécanismes d'initiation et de progression de la DMLA vers les stades secs et humides avancés restent mal compris en raison du manque de modèles humains physiologiquement pertinents », explique le chercheur.
Ces tissus imprimés proches de la barrière hémato-rétinienne constituent des modèles précieux pour l’étude de la DMLA et la compréhension de sa pathogenèse, avec, à la clé, la perspective de nouvelles cibles et de nouvelles thérapeutiques.
Source : https://www.santelog.com
Apple l'a toujours clamé haut et fort, elle entend laisser son nom dans le domaine de la santé. Toujours du côté de la recherche, la firme travaille également sur des fonctions supplémentaires de son futur casque ARVR à destination de certaines pathologies.
Ce weekend Mark Gurman -qui semble avoir séjourné dernièrement dans les sous-sols de Cupertino- revient sur le casque ARVR en cours de développement et certaines fonctions supplémentaires développées par l'équipe XDR. La firme californienne met un soin tout particulier à améliorer l'accessibilité de ses produits, quels qu'ils soient. notamment au niveau de l'assistance face à divers problèmes visuels, auditifs et moteurs.
A priori, la première génération du casque AR/VR disposerait d'une quinzaine de modules optiques, dont plusieurs seraient utilisés pour cartographier l'espace autour de l'utilisateur. Mais ils permettraient également de projeter des informations visuelles pour les personnes atteintes d'une baisse d'acuité visuelle plus ou moins prononcée. Elle pourrait potentiellement fournir des directions audio en cas de cécité.
A cela, s'ajouteraient des fonctions ciblées pour les personnes atteintes de pathologies particulières, telles que la DMLA (dégénérescence maculaire liée à l'âge). En pratique, cette dernière provoque des angles morts dans le champs de vision. Certaines paires de lunettes -comme les Oculenz AR Wear- proposent un système de lentilles mobiles qui permettent de visualiser des objets dans ces zones..
Avec un peu de recul, on se dit que ces fonctions auraient sans doute mieux convenu à une paire de lunettes plus légères (et moins chères). Pourtant, il se murmure qu'Apple aurait mis en pause ce projet pour le moment, et ce, pour une période de temps indéterminée.
Alors que la première version n'est pas encore sortie ou confirmée, Foxconn serait déjà passée en phase de développement et de test d'une deuxième génération moins chère. Mais Apple pourrait présenter son casque lors de la WWDC en juin !
En résumé, le casque serait un produit ultra premium à plus de 3000 dollars, avec une quinzaine de modules optiques, deux écrans micro OLED 4K, du Wi-Fi 6E, et une puce M2 (plus rapide qu'un Mac) et une puce H2. Il aurait un look de masque de ski avec une batterie magnétique amovible sur le bandeau. Il offrirait un angle de vision de 120° (largement supérieur au Meta Quest pro) et une couronne digitale pour passer d'une réalité à l'autre.
Il devrait être doté de son propre App Store avec des applications tierces, mais Apple entendrait permettre aux personnes qui ne connaissent pas le code de l'ordinateur de créer des applications pour le casque, et ce, en utilisant Siri.
Source : https://www.mac4ever.com/
Lorsque l'âge se fait plus avancé et que l'on dépasse le cap des 60 ans, il est conseillé de faire une série d'examens afin de vérifier que l'état de santé reste bon. Certains détails doivent notamment être gardés à l'oeil, pour entamer des examens supplémentaires si besoin et éviter une potentielle maladie. Mais quels sont-ils exactement ? Voici quelques conseils.
C'est un fait : le corps et l'organisme des séniors n'est plus le même que celui des adultes car il change beaucoup. Plus fragile, plus faible, il peut facilement développer des complications en cas de problèmes de santé. Pour cette raison et pour anticiper d'éventuels désagréments, il est conseillé de toujours réaliser une série d'examens lorsque l'on dépasse les 60 ans.
L'audition et la vue
Si ces examens ne sont pas toujours très agréables, ils sont très importants pour anticiper la perte progressive de la vue et de l'audition par exemple, très fréquente chez les séniors. Il est donc conseillé de faire des tests auprès des deux praticiens spécialisés, l'ophtalmo et l'ORL, pour savoir si les sons vous parviennent correctement et si votre vue est toujours correcte. En fonction de vos résultats et de ce que vous conseille votre praticien, vous aurez peut-être à vous munir d'un appareil auditif, et pourrez même éviter certaines maladies liées à la vue comme la cataracte, le glaucome, ou la DMLA (dégénérescence maculaire liée à l'âge) par un traitement adéquat et/ou une rééducation. Cela vous permettra également de mieux voir le monde qui vous entoure grâce à l'achat de lunettes et de verres correcteurs par exemple.
La santé cardiovasculaire et les poumons
À partir de 60 ans, l'organisme devient plus fragile et plus susceptible de développer des complications : les risques de cancer du poumon ou encore de problèmes cardiovasculaires sont d'ailleurs beaucoup plus fréquents. N'hésitez donc pas à vous renseigner sur l'état de santé de vos poumons à travers une radio (encore plus pour les fumeurs et anciens fumeurs), et profitez-en pour demander un bilan osseux (une façon de surveiller un potentiel cas d'ostéoporose), tout comme un bilan cardiovasculaire complet. En fonction de votre poids, de votre stress, de votre tension artérielle, mais aussi de votre capacité à bouger régulièrement, vous pourrez ainsi déterminer si vous êtes plus ou moins susceptible d'avoir des soucis cardiaques. Ces mêmes mesures, ajoutées à votre taux de glycémie, peuvent aussi vous indiquer du diabète.
Le risque de cancer
Que vous soyez un homme ou une femme, le risque de cancer ne doit pas être oublié. Qu'il s'agisse de la prostate pour les premiers ou du col de l'utérus, des ovaires, ou du sein pour les secondes, les dépistages doivent être surveillés de très près. Pour cela, les hommes doivent prêter attention aux taux de concentration de PSA (antigène prostatique spécifique) lors des résultats, souvent complétés par un toucher rectal et une biopsie. Les femmes, quant à elles, doivent prêter attention à ce qui est indiqué par le frottis et la mammographie.
*Attention, fumer tue.
Source : https://tendances.orange.fr/
Les scientifiques d’UVA Health ont découvert un contributeur inconnu à la croissance nocive des vaisseaux sanguins dans l’œil qui pourrait conduire à de nouveaux traitements pour la dégénérescence maculaire aveuglante et d’autres causes courantes de perte de vision.
Jayakrishna Ambati, MD, et Shao-bin Wang, Ph.D., de l’UVA, et leurs collègues ont identifié une nouvelle cible pour prévenir la formation d’enchevêtrements anormaux de vaisseaux sanguins associés à des affections oculaires telles que la dégénérescence maculaire néovasculaire liée à l’âge, le diabète prolifératif rétinopathie et occlusion veineuse rétinienne ischémique.
“Notre étude a ouvert la possibilité d’atténuer la croissance aberrante des vaisseaux sanguins dans les maladies oculaires en ciblant la machinerie épigénétique”, a déclaré Ambati, directeur fondateur du Center for Advanced Vision Science d’UVA et membre du département de médecine de l’Université de Virginie. Ophtalmologie.
«Grâce au ciblage local du régulateur épigénétique, nous avons acquis une meilleure compréhension de la façon dont les cellules immunitaires oculaires peuvent entraîner une perte de contrôle sur la croissance des vaisseaux sanguins sous la rétine.
« Cette approche offre également une nouvelle direction pour le développement d’interventions plus efficaces, rentables et accessibles, évitant ainsi des problèmes tels que la résistance aux médicaments, qui est une préoccupation croissante avec les thérapies anti-VEGF conventionnelles utilisées dans les traitements cliniques.
Les scientifiques savent que la prolifération anormale de vaisseaux dans l’œil est alimentée par des quantités excessives d’une substance appelée «facteur de croissance endothélial vasculaire-A», ou VEGF, qui joue un rôle important dans la formation des vaisseaux sanguins. Il existe maintenant des traitements qui ciblent le VEGF pour prévenir la prolifération des vaisseaux, et ils offrent souvent des avantages spectaculaires au début. Malheureusement, ces avantages peuvent s’estomper avec le temps. Cela laisse les médecins dans le besoin de meilleurs traitements pour aider à préserver la vue des patients.
La nouvelle recherche d’Ambati et Wang identifie une protéine clé qui détermine les niveaux de VEGF. Le blocage de cette protéine chez les souris de laboratoire a considérablement réduit leurs niveaux de VEGF, et ce, de manière ciblée, sans effets secondaires indésirables. Les scientifiques ont noté, par exemple, qu’ils n’avaient observé aucun effet toxique sur la rétine, la partie sensible à la lumière de l’œil où se produit la prolifération des vaisseaux.
« Il a déjà été démontré que cette protéine associée à la masse grasse et à l’obésité (FTO) était corrélée à l’obésité chez l’homme. De manière inattendue, nous avons découvert qu’il jouait également un rôle important dans la régulation de la néovascularisation oculaire par le biais d’un mécanisme épigénétique », a déclaré Ambati.
En plus d’identifier une cible prometteuse pour le développement de nouveaux traitements pour la perte de vision, cette découverte jette un éclairage important sur les mécanismes fondamentaux responsables de la prolifération des vaisseaux sanguins qui privent des millions de personnes de leur vue. L’image est dans le domaine public
« Cette découverte passionnante répond enfin à une question de longue date sur la façon dont les cellules immunitaires oculaires, telles que les macrophages, contribuent à la croissance anormale des vaisseaux sanguins sous la rétine. Cette question a été étudiée pour la première fois par notre équipe il y a 20 ans, et nous sommes ravis d’avoir trouvé une réponse.
En plus d’identifier une cible prometteuse pour le développement de nouveaux traitements pour la perte de vision, cette découverte jette un éclairage important sur les mécanismes fondamentaux responsables de la prolifération des vaisseaux sanguins qui privent des millions de personnes de leur vue.
La dégénérescence maculaire neurovasculaire liée à l’âge touche à elle seule plus de 200 millions de personnes dans le monde. Alors que beaucoup plus de recherches et de tests seront nécessaires avant que la nouvelle découverte puisse être traduite en un traitement, les scientifiques de l’UVA sont enthousiasmés par le potentiel de la découverte.
« Les stratégies actuelles de traitement des troubles néovasculaires oculaires, qui se concentrent principalement sur la régulation des taux de protéines de VEGF, ne sont pas parfaites. Par conséquent, il est impératif d’identifier davantage de candidats ciblables pour développer des thérapies alternatives », a déclaré Wang. “Nous espérons que notre étude ouvrira la voie au développement de nouveaux traitements, réduisant à terme le fardeau des maladies néovasculaires.”
Le ciblage de l’ARNm m6A déméthylase FTO supprime la libération du facteur de croissance endothélial vasculaire et la néovascularisation choroïdienne
Le facteur de croissance endothélial vasculaire-A (VEGFA, également connu sous le nom de VEGF) est un facteur angiogénique critique qui régule la croissance physiologique et pathologique des vaisseaux sanguins.
L’abondance accrue de VEGF dans l’œil sous-tend de nombreuses formes d’angiogenèse oculaire aberrante et la perte de vision qui en résulte, y compris la dégénérescence maculaire néovasculaire liée à l’âge (nvAMD), la rétinopathie diabétique proliférative (PDR), l’occlusion veineuse rétinienne ischémique et la rétinopathie du prématuré (ROP) . De multiples inhibiteurs du VEGF sont approuvés pour de telles maladies angiogéniques oculaires. Malgré l’efficacité initiale, et souvent spectaculaire, de la thérapie anti-VEGF, les études dans le monde réel et à long terme donnent à réfléchir.
Ainsi, une meilleure compréhension de la régulation du VEGF oculaire peut élucider davantage les mécanismes pathologiques sous-jacents et aider à développer de nouvelles stratégies thérapeutiques.
Source : https://www.nouvelles-du-monde.com/
Après John McClane, alias Bruce Willis dans la saga Die Hard, atteint de démence, voilà que M, le personnage emblématique de la série James Bond, incarné par Judi Dench, subit les affres d'une dégénérescence de la rétine qui l'empêche désormais de retenir ses répliques. L'actrice britannique, âgée de 88 ans, l'a révélé ce vendredi 17 février sur le plateau de l'émission Graham Norton Show.
Judi Dench
"C’est devenu impossible et comme j’ai une mémoire photographique, je dois trouver une machine qui non seulement m’apprend mon texte, mais me dit aussi où il apparaît sur la page", a affirmé la comédienne sacrée aux Oscars. " Avant, je trouvais très facile d’apprendre des répliques et de les mémoriser. Je peux ainsi vous réciter La Nuit des rois [de Shakespeare] par cœur", a-t-elle ajouté.
L’actrice, qui participait à l’émission avec Hugh Jackman, la star de Black Panther, Michael B Jordan, Michael Douglas et l’acteur canadien Eugene Levy, a fait cette confession surprenante lors de la promotion de son dernier film Allelujah !, encore inédit en France. Mais ce n'est pas la première fois qu'elle parle de cette maladie incurable qui affaiblit progressivement ses capacités visuelles. En 2019, elle avait déclaré au magazine Radio Times : "Je ne peux plus lire le journal, je ne peux pas faire les mots croisés, je ne peux pas lire un livre".
Plus récemment, en 2021, elle s’était exprimée au nom de l’organisation caritative Vision Foundation Sight Loss et avait avoué qu’elle avait trouvé des moyens alternatifs d’apprendre son texte. "Vous devez trouver une méthode pour surmonter les choses qui vous semblent très difficiles. J'ai trouvé une autre manière de mémoriser mes répliques : avoir de bons amis qui me les répètent inlassablement", avait-elle lâché.
Source : https://www.tf1info.fr/
L’ophtalmie des neiges est une affection très douloureuse qui survient dans les heures qui suivent une exposition des yeux au soleil, sans protection, lors d’un séjour au ski. Outre la douleur, parfois très intense, un larmoiement, une photophobie et une sensation de corps étranger dans les yeux peuvent être associés. Le diagnostic de l’ophtalmie des neiges est clinique, et sa prise en charge est symptomatique. Une guérison, sans séquelle, est obtenue dans les 48 heures suite à l’administration d’anesthésiants et cicatrisants locaux.
L’ophtalmie des neiges est une atteinte oculaire correspondant à l’inflammation de la conjonctive et de la cornée de l’œil. Cette affection survient suite à une exposition trop importante des yeux au soleil.
La conjonctive est la muqueuse fine et transparente qui recouvre une partie de la sclère (coque blanche et opaque du globe oculaire) et de la face interne des paupières. Elle joue un rôle protecteur. La cornée représente la première lentille de l’œil traversée par la lumière. Ses caractéristiques, à savoir sa forme et sa taille, ont un impact sur les défauts de vision.
L’ophtalmie des neiges est assimilable à un coup de soleil au niveau des yeux. Elle est fréquente en cas d’absence ou d’insuffisance de protection en milieu enneigé. Les rayons UV sont plus intenses en montagne, pour deux raisons : l’altitude et la réverbération sur la neige. En effet, la neige réfracte la quasi-totalité des rayons UV (80%) contre 17% à la plage. Par ailleurs, l’intensité des rayons augmente d’environ 10% tous les 1000 mètres d’altitude.
Les premiers symptômes de l’ophtalmie des neiges surviennent dans les 4 heures qui suivent l’exposition. Ils peuvent être divers : douleurs oculaires, photophobie, larmoiements, sensation de gêne, etc.
Des ophtalmies des neiges répétées peuvent conduire à un vieillissement précoce des yeux, et être à l’origine d’une cataracte précoce ou d’une DMLA (dégénérescence maculaire liée à l’âge).
Le diagnostic de l’ophtalmie des neiges est évident devant la présence des symptômes caractéristiques de l’affection associés à une exposition solaire récente sans protection. Une consultation n’est pas toujours nécessaire, sauf en cas de persistance des symptômes.
L’ophtalmie des neiges est une affection bénigne dans la mesure où elle ne se répète pas régulièrement. Elle est guérie en 2 à 3 jours avec l’administration d’un collyre anesthésiant et/ou d’une pommade ophtalmique cicatrisante. Des antalgiques par voie orale, principalement le paracétamol, peuvent être pris en complément. Enfin, pendant sa convalescence, le patient doit éviter toute source lumineuse.
Pour prévenir l’ophtalmie des neiges, il est indispensable d’opter pour une bonne protection solaire avec un indice de protection 4, adapté à la lumière en montagne. Il faut également s’assurer que la monture recouvre bien les yeux et leurs côtés.
Charline D., Docteur en pharmacie
Source : https://www.sante-sur-le-net.com/
L’organisme a besoin de micronutriments pour soutenir les processus métaboliques et optimiser la santé et le bien-être. L’un de ces micronutriments comprend la vitamine B6.
La vitamine B6 est un groupe de vitamines B nécessaires aux processus cataboliques et métaboliques dans le corps. La pyridoxine, ou vitamine B6, est essentielle au dév
L’organisme a besoin de micronutriments pour soutenir les processus métaboliques et optimiser la santé et le bien-être. L’un de ces micronutriments comprend la vitamine B6.
La vitamine B6 est un groupe de vitamines B nécessaires aux processus cataboliques et métaboliques dans le corps. La pyridoxine, ou vitamine B6, est essentielle au développement normal du cerveau et à la santé du système immunitaire et du système nerveux. C’est une vitamine hydrosoluble, et les quantités excessives sont excrétées par l’urine.
La pyridoxine favorise la santé du cerveau et d’autres fonctions du corps. Il est lié au métabolisme des glucides, des protéines et des graisses et au développement des neurotransmetteurs et des globules rouges.
Étant donné que le corps ne produit pas naturellement de vitamine B6, ce micronutriment doit être obtenu à partir d’aliments ou de suppléments.
De nombreuses personnes peuvent obtenir de la vitamine B6 à partir de leur alimentation. Cependant, certaines personnes peuvent souffrir d’une carence en vitamine B6.
Les personnes à risque de carence en vitamine B6 comprennent les personnes suivantes:
Les conditions des personnes à risque de carence en vitamine B6 interfèrent avec l’absorption de la vitamine B6.
La vitamine B6 peut être trouvée dans certaines plantes et aliments d’origine animale. Vous pouvez vous procurer de la vitamine B6 à partir de ces aliments :
Les dernières études de recherche ont montré que la vitamine B6 peut jouer un rôle dans la réduction de la dépression et de l’anxiété chez les personnes présentant ou non une carence en vitamine B6.
L’apport nutritionnel recommandé (AJR) pour les hommes et les femmes diffère légèrement. Pour les garçons et les filles âgés de 4 à 8 ans, la RDA est de 0,6 mg/jour, tandis que pour les garçons et les filles âgés de 9 à 13 ans, la RDA augmente à 1,0 mg/jour. Les hommes de 14 à 18 ans devraient prendre 1,3 mg/jour de vitamine B6 et 1,3 mg/jour pour ceux âgés de 19 à 50 ans. Les hommes de 51 ans et plus devraient prendre 1,7 mg/jour.
Les femmes de 14 à 18 ans ont un RDA de 1,2 mg/jour et de 1,3 mg/jour pour celles de 19 à 50 ans. Les femmes de 51 ans et plus devraient prendre 1,5 mg/jour. Il est conseillé aux femmes enceintes de prendre 1,9 mg/jour et 2,0 mg/jour lorsqu’elles allaitent leur bébé.
Les personnes carencées en vitamine B6 présentent les symptômes suivants :
Un ensemble de preuves d’études animales à humaines a documenté les avantages de la vitamine B6. Voici quelques avantages étayés par des études menées ces dernières années.
La vitamine B6 a été associée à la prévention de maladies telles que la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA). Il a été démontré que des niveaux élevés d’homocystéine circulante dans le corps peuvent entraîner la DMLA.
Une étude [6] ont montré qu’une supplémentation en vitamine B6, en acide folique et en vitamine B12 pouvait prévenir le risque de DMLA. Il convient de noter que la DMLA est la principale cause de perte de vision chez les personnes âgées. Pour améliorer la santé des yeux, vous devez prendre des niveaux appropriés de vitamine B6.
La vitamine B6 reste un micronutriment vital et un membre de la famille des vitamines B. On pense qu’il joue un rôle dans la fonction cognitive et la mémoire. Certains des avantages de ce micronutriment incluent la réduction du risque de maladies cardiovasculaires et de certaines formes de cancer.
La prise de doses trop élevées de vitamine B6 ne doit être effectuée que sous la supervision d’un médecin. Consultez toujours votre médecin lors de la prise de suppléments de vitamine B6 pour vous assurer que vous prenez le bon dosage au fil du temps.
La longévité peut être atteinte en prenant des quantités appropriées de micronutriments et de macronutriments dans le corps. Prendre des suppléments de vitamine B6 ou manger des aliments riches en vitamine B6 pourrait allonger la durée de vie et améliorer la santé de différents groupes de population.
La vitamine B6 reste un micronutriment vital et un membre de la famille des vitamines B. On pense qu’il joue un rôle dans la fonction cognitive et la mémoire. Certains des avantages de ce micronutriment incluent la réduction du risque de maladies cardiovasculaires et de certaines formes de cancer.
La prise de doses trop élevées de vitamine B6 ne doit être effectuée que sous la supervision d’un médecin. Consultez toujours votre médecin lors de la prise de suppléments de vitamine B6 pour vous assurer que vous prenez le bon dosage au fil du temps.
La longévité peut être atteinte en prenant des quantités appropriées de micronutriments et de macronutriments dans le corps. Prendre des suppléments de vitamine B6 ou manger des aliments riches en vitamine B6 pourrait allonger la durée de vie et améliorer la santé de différents groupes de population.
Dans une étude [1] récemment publié dans la revue Psychopharmacologie humaine, Des chercheurs de l’Université de Reading ont découvert que de fortes doses de vitamine B6 pouvaient réduire la dépression et l’anxiété.
L’étude, dirigée par David T Field, a recruté 478 jeunes adultes qui étaient soit des étudiants en licence, soit en maîtrise. Les participants ont été recrutés sur cinq ans dans des cohortes successives. L’âge moyen des étudiants était de 23,0 ans (+/- 7,2 ans). Les étudiants ont été regroupés en deux groupes expérimentaux et un groupe témoin. 3
Les participants du premier groupe ont reçu de la vitamine B6 à raison de 100 mg par jour pendant 30 à 35 jours. Le deuxième groupe a reçu de la vitamine B12 à une dose de 100 microgrammes par jour pendant la même période, tandis que le troisième groupe n’a reçu qu’un placebo pendant la même période.
Les résultats ont montré que ceux qui ont reçu B6 ont considérablement réduit leurs scores autodéclarés sur la dépression et l’anxiété par rapport à ceux des groupes B12 et placebo. Bien que ceux du groupe B12 aient démontré des réductions significatives de la dépression et de l’anxiété, ces réductions étaient mineures par rapport à celles du groupe B6.
Les résultats de l’étude ont indiqué que la supplémentation en vitamine B6 pourrait potentiellement traiter la dépression et l’anxiété. Cependant, le dosage utilisé pour la supplémentation en B6 était élevé à 100 mg/jour. Dans l’étude, aucun des participants du groupe B6 ne s’est plaint d’effets indésirables du supplément. Cela suggère que la posologie à ce niveau peut être thérapeutique et sans danger pendant au moins 30 à 35 jours.
Une analyse plus approfondie de l’étude a montré que la vitamine B6 augmente la production d’acide gamma-aminobutyrique (GABA) en agissant comme coenzyme dans sa production. Le GABA est connu pour avoir des effets inhibiteurs sur le système nerveux. En tant que neurotransmetteur inhibiteur, il peut calmer le cerveau en limitant les signaux nerveux des neurones excitateurs ou en bloquant certaines impulsions dans le cerveau. Cet effet calmant peut aider à lutter contre le stress, la dépression et l’anxiété.
La fonction cognitive peut décliner avec l’âge. Les troubles cognitifs peuvent être dus à des facteurs génétiques et environnementaux. Les troubles cognitifs s’accompagnent souvent de problèmes de mémoire, qui à leur tour peuvent avoir un impact sur la santé et le bien-être général d’un individu.
Une étude qui a recruté 70 hommes âgés de 54 à 81 ans a révélé que les personnes ayant des concentrations sériques plus élevées de vitamine B6 étaient plus susceptibles d’avoir des scores élevés aux tests de mémoire. En revanche, ceux dont les concentrations sériques de vitamine B6 sont plus faibles dans leur corps ont tendance à avoir de faibles scores aux tests de mémoire.
Cependant, les résultats sur la vitamine B6 et le fonctionnement cognitif ne sont pas cohérents. Une revue systématique [4] menée par Balik et ses collègues du centre médical Tufts-New England à Boston a démontré des preuves insuffisantes que la vitamine B6 peut améliorer le fonctionnement cognitif, en particulier chez les personnes âgées.
La revue a évalué 14 essais cliniques. Cependant, ces études de recherche étaient de faible qualité, avaient des échantillons de petite taille et évaluaient différents résultats cliniques. L’hétérogénéité des résultats a rendu difficile l’examen si la vitamine B6 seule pouvait améliorer la fonction cognitive des participants à la recherche.
Malgré les preuves contradictoires sur la capacité de la vitamine B6 à améliorer la mémoire et le fonctionnement cognitif, les propriétés antioxydantes de la vitamine B6 pourraient expliquer pourquoi cela est lié à une meilleure cognition.
Il a été démontré que la perte de mémoire et les troubles cognitifs pourraient être dus au vieillissement cellulaire et au stress oxydatif. Étant donné que la vitamine B6 peut retarder le vieillissement cellulaire et lutter contre le stress oxydatif, on pense que des doses appropriées de cette vitamine peuvent ralentir la progression des troubles cognitifs ou prévenir leur apparition.
Lorsqu’elle est associée à l’acide folique ou à la vitamine B5 et à la vitamine B12, la vitamine B6 est censée prévenir les maladies cardiovasculaires en abaissant les niveaux d’homocystéine.
Cependant, il existe des preuves contradictoires sur l’efficacité de la vitamine B6 dans la réduction du risque de maladies cardiovasculaires et de mortalité toutes causes confondues. Les études de recherche fournissent peu de preuves que la supplémentation en vitamine B6 réduit le risque et la gravité des accidents vasculaires cérébraux et des maladies cardiovasculaires.
En induisant une phototoxicité rétinienne et une dérégulation du rythme veille-sommeil, source de perturbations du sommeil, le mésusage des écrans mène à un concentré de pollution lumineuse, délétère pour l’adolescent, alerte l’Académie de Médecine.
Les enfants passent en moyenne 1h19 par jour sur un équipement numérique, et 2h07 le week-
En induisant une phototoxicité rétinienne et une dérégulation du rythme veille-sommeil, source de perturbations du sommeil, le mésusage des écrans mène à un concentré de pollution lumineuse, délétère pour l’adolescent, alerte l’Académie de Médecine.
Les enfants passent en moyenne 1h19 par jour sur un équipement numérique, et 2h07 le week-end. Et ce sont 96% d'entre eux qui sont exposés (et/ou) en possèdent un écran numérique (tablette, téléphone, ordinateur). Face à cette réalité sociétale, le gouvernement a lancé ce 8 février une campagne d’accompagnement des parents à l’éducation numérique, avec des conseils pratiques disponibles sur la plateforme jeprotegemonenfant.gouv.fr. L’idée étant de ne pas interdire les écrans, mais d’en avoir une utilisation raisonnée, complémentaire de moments d’échanges quotidiens parents-enfants.
Car la réalité c’est que leur usage abusifexpose à des effets néfastes pour la santé, en particulier sur les yeux et le cerveau, rappelle l’Académie de Médecine dans un communiqué de presse, publié ce 8 février.
L’usage des écrans et l’utilisation des ampoules LEDs se sont généralisés ces dernières années. Et pour cause : les téléphones mobiles sont devenus omniprésents et les ampoules LEDs(utilisés en éclairage à domicile, comme dans les éclairages publics) consomment moins d’énergie. Problème : ces éclairages contiennent un spectre de lumière bleue de forte intensité, toxique pour la rétine.
Dans ses expertises sur le sujet, l’Anses a plusieurs fois souligné cette toxicité. En 2019, elle confirmait "des effets phototoxiques à court terme liés à une exposition aiguë et des effets à long terme liés à une exposition chronique, qui augmentent le risque de survenue d'une dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA)".
La raison ? Les ampoules LEDs créent une lumière blanche en combinant deux lumières : jaune et bleue. Or, les rayons de cette dernière sont plus énergétiquesdont plus susceptibles d’interagir avec les tissus oculaires et donc de les endommager, quel que soit l’âge. "Alors que la lumière solaire et les anciennes sources d’éclairage artificiel ont une énergie homogène dans la bande du spectre visible, les LEDs disponibles actuellement émettent un pic d’émission de lumière bleue, proche du rayonnement ultra-violet, dont les effets délétères sur la rétine sont connus", explique l'Académie de Médecine.
Conséquence directe : l’exposition aux diodes électroluminescentes (LEDs), mille fois plus lumineuses que les lampes à incandescence, est "source d’éblouissement" et peut "s’avérer photo-toxique pour la rétine".
Concrètement, si sur le moment cette exposition n’est pas responsable de brûlure de l’œil comme cela pourrait se produire en orientant son regard vers le soleil, c’est l’exposition chronique aux LEDs qui induit des lésions de l’oeil, "d’ordre photo-chimique particulièrement néfastes pour la rétine maculaire située au centre de la rétine et assurant la vision fine, la lecture, l’écriture et la vision colorée", précise l’Académie de médecine.
Qui plus est, l’exposition aux écrans pendant la nuit est très délétère puisqu’elle prive les utilisateurs d’une régénération des pigments rétiniens. "Ces pigments sont consommés le jour pour initier le phénomène de la vision, et régénérés la nuit dans une l’obscurité qui doit être totale. L’homme est bien un être à activité diurne et repos nocturne."
L'exposition, même très faible, à de la lumière riche en bleu le soir ou la nuit, perturbe les rythmes biologiques et donc le sommeil. La raison ? L’organisme est synchronisé par son horloge biologique en fonction de l’exposition à la lumière du jour et à l’obscurité de la nuit. Cette même horloge biologique, située dans l’hypothalamus, pilote nombre de processus biologiques cycliques.
Le problème, explique l’Académie de Médecine, "c’est que lors d’expositions chroniques à la lumière durant la nuit, y compris d’écrans (smartphones, tablettes, ordinateurs), des troubles du rythme veille-sommeil apparaissent en lien avec une désynchronisation de l’horloge interne."
Selon une étude de l’OMS menée dans 45 pays auprès d’adolescents, 30 % d'entre eux communiquent en ligne, y compris tard le soir avec, pour certains, une véritable addiction à internet ou aux jeux vidéo. "Chez ces adolescents, en résulte un sommeil tardif, lié à une augmentation de la vigilance générée par un retard de phase de l’horloge et à une inhibition de la sécrétion de mélatonine, impliquée dans l’endormissement", souligne encore l’Académie. Les conséquences sont connues : dette de sommeil, fatigue au lever et pendant la journée, altération des capacités d’apprentissage, manque de concentration, hyperactivité, voire retard scolaire.
"Ces enfants et adolescents se trouvent ainsi dans un état de désynchronisation, appelé "jet-lag social", caractérisé par une dissociation dans laquelle le temps biologique (l’horloge interne) et le temps astronomique (la montre) sont dissociés de la vie sociale. La récupération du sommeil durant le week-end ne fait que conforter la désynchronisation de l’adolescent”, note l’Académie.
Sources
Des séances d’orthoptie et d’ergothérapie peuvent aider les patients atteints de DMLA à retrouver de l’autonomie dans leurs activités. Le principe : optimiser la vision résiduelle et s'appuyer sur les autres sens.
«Béatrice ne peut plus compter sur sa vue. Pour se déplacer, elle a désormais besoin du toucher». Depuis trois ans, elle souf
Des séances d’orthoptie et d’ergothérapie peuvent aider les patients atteints de DMLA à retrouver de l’autonomie dans leurs activités. Le principe : optimiser la vision résiduelle et s'appuyer sur les autres sens.
«Béatrice ne peut plus compter sur sa vue. Pour se déplacer, elle a désormais besoin du toucher». Depuis trois ans, elle souffre en effet d’une DMLA, une dégénérescence maculaire liée à l’âge.
"Je l'ai très mal vécu les deux premières années, maintenant, je commence à m’y habituer, je l'ai admis", reconnaît Béatrice, 85 ans.
Pour compenser cette perte, Béatrice suit depuis deux mois, une rééducation intensive. Chaque jour, avec l’orthoptiste, pendant une heure, elle apprend de nouvelles stratégies visuelles. La lecture était devenue impossible pour Béatrice. Sa vision centrale étant touchée, elle réapprend à lire en changeant l’orientation de son regard.
Béatrice enchaîne les exercices avec un seul objectif : apprendre à voir autrement pour retrouver de l’autonomie. "Je vais faire des pages d’écriture comme ça pour essayer de réécrire, ça fait deux ans que je ne prends plus de crayon, que je n’écris plus", se désole Béatrice.
"Il faut de toute façon essayer de développer un maximum de potentiel visuel résiduel et puis le stimuler une fois qu'il est là", explique Lorène Bale, orthoptiste à l'institut Aramav, à Nîmes.
Grâce à ces exercices, petit à petit, Béatrice retrouve confiance en elle et en ses capacités."Ce qu'on cherche ici à faire, c'est casser le cercle vicieux de la basse vision" commente le Dr Luc Jeanjean , ophtalmologue à l'institut Aramav.
"Quand un patient voit moins bien, quand il va sortir, il va être mis en échec, il va tomber, se cogner. Il ne va pas reconnaître le visage de son voisin ou de ses amis et il va s’autolimiter. Le manque de stimulation va encore baisser ses capacités. On va essayer de briser ce cercle vicieux pour augmenter au maximum le potentiel du patient", poursuit-il.
Dans ce centre, Béatrice apprend aussi à développer un autre sens, le toucher, avec un ergothérapeute. Elle réapprend ainsi la valeur des pièces grâce à leur texture et espère pouvoir refaire ses courses sans crainte de se tromper dans sa monnaie.
"Les informations sont à la fois visuelles et d'ordre tactile. Elles vont effectivement pouvoir créer une image au niveau du cerveau qui est beaucoup plus fiable et beaucoup plus précise que lorsqu'on utilise uniquement son potentiel visuel. Ici, on parle de regard tactile", confie Xavier-Michel Lucas, ergothérapeute à l'institut Aramav.
Béatrice devra poursuivre cette rééducation encore quelques semaines afin de consolider ses nouveaux acquis et de se sentir à l’aise avec "cette nouvelle façon de voir".
SOURCE https://www.allodocteurs.fr/
Atteinte depuis une dizaine d'années de dégénérescence maculaire, Hélène Ségara parle peu de cette maladie oculaire pourtant irréversible. Dans un entretien accordé à Télé-Loisirs en octobre dernier, la chanteuse expliquait ne pas vouloir "apitoyer" les gens.
"Je veux juste faire mon métier."
Atteinte depuis une dizaine d'années d’une mala
Atteinte depuis une dizaine d'années de dégénérescence maculaire, Hélène Ségara parle peu de cette maladie oculaire pourtant irréversible. Dans un entretien accordé à Télé-Loisirs en octobre dernier, la chanteuse expliquait ne pas vouloir "apitoyer" les gens.
"Je veux juste faire mon métier."
Atteinte depuis une dizaine d'années d’une maladie oculaire rare, Hélène Ségara fait tout pour éviter le sujet. Déjà en 2016 sur le plateau de C’est au programme sur France 2, la chanteuse s’énervait d’une question de Sophie Davant sur sa santé après avoir évoqué le travail des infirmières. "J'ai mis deux ans à m'enlever cette étiquette de femme malade puisqu'on ne me parlait plus que de ça. Je trouve qu'on a tourné beaucoup les sujets de discussion me concernant qu'autour de ça. Moi j'ai décidé de positiver, d'aller de l'avant et je suis là pour prouver qu'un grand mental, une pensée positive peut dépasser beaucoup de choses", avait-elle alors répondu.
Six ans plus tard, l’artiste révélé par la comédie musicale Notre-Dame de Paris ne faiblit guère malgré la progression de la maladie. "Apitoyer les gens, ce n'est pas du tout dans mon tempérament", confiait-elle à Télé-Loisirs en octobre dernier à l'occasion de la diffusion de la dix-septième saison de La France a un incroyable talent, télé-crochet dans lequel elle officie en tant que jury depuis 2015. Si la production de l’émission avait craint une défection de sa part, après l’annulation d’une partie de sa tournée à cause d’un nouveau traitement "long et fatigant", la chanteuse avait bel et bien répondu à l’appel et ce, malgré l’appréhension causée par les effets secondaires de ses médicaments. "Je me disais que le public allait voir que j'ai un visage différent en raison de mon traitement. C'est un défi pour moi de passer outre cela", avait-elle expliqué à nos confrères.
"Je veux être dans mon émission parce que je m'y amuse et parce que j'y vis des émotions magnifiques", avait-elle ajouté, évoquant avec émotion son 'Golden Buzzer' pour le jeune Rayane. L'interprète de 'Il y a trop de gens qui t'aiment' a une nouvelle fois prouvé son flair artistique puisque l’adolescent, ainsi qualifié d’office, s’est ensuite imposé lors de la finale du concours en remportant le plus de votes de la part des téléspectateurs.
SOURCE :https://www.programme.tv/
image FB Hélène Ségara
TORONTO, le 7 févr. 2023 /CNW/ - Chez les Canadiens de plus de 60 ans, la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) constitue l'une des causes les plus courantes de perte de vision. En fait, elle est à l'origine de 90 % des nouveaux cas de cécité légale au Canada. Pourtant, seulement 31 % des Canadiens connaissent cette maladie ou les
TORONTO, le 7 févr. 2023 /CNW/ - Chez les Canadiens de plus de 60 ans, la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) constitue l'une des causes les plus courantes de perte de vision. En fait, elle est à l'origine de 90 % des nouveaux cas de cécité légale au Canada. Pourtant, seulement 31 % des Canadiens connaissent cette maladie ou les facteurs de risque qui y sont associés. Puisque février marque le Mois de la sensibilisation à la DMLA, la Société canadienne d'ophtalmologie (SCO) veut renseigner les Canadiens sur les différentes complications, les facteurs de risque associés et les innovations entourant la détection et le traitement de la DMLA.
La DMLA est une maladie dégénérative qui touche la macula, une partie de l'oeil qui nous permet de distinguer nettement les menus détails et d'effectuer des activités comme lire, conduire et reconnaître des visages. La DMLA est une détérioration ou un affaiblissement des « cellules visuelles » de la macula. En plus de l'âge, d'autres facteurs de risque de la DMLA incluent le tabagisme et les antécédents familiaux. « Nous avons à coeur de sensibiliser les Canadiens et de les renseigner sur l'importance de la détection et de la prise en charge précoces de la DMLA, déclare le Dr Phil Hooper, président de la Société canadienne d'ophtalmologie. Au début de la maladie, la personne atteinte pourrait ne pas constater de symptômes, en particulier si un seul oeil est touché, mais votre spécialiste des soins oculaires peut détecter les résultats et offrir des conseils sur la façon de ralentir l'évolution de la maladie. Il est donc essentiel que les Canadiens fassent vérifier régulièrement leurs yeux par un professionnel des soins oculaires qui peut détecter rapidement la maladie et assurer le traitement nécessaire. » Types de DMLA Il existe deux types de DMLA. Le plus courant est la DMLA atrophique ou « sèche », qui représente 90 % des cas. La DMLA sèche provoque une perte graduelle de la vision centrale. La DMLA exsudative ou « humide » est moins courante, mais elle est plus grave. Elle peut entraîner une perte de vision plus rapidement et doit être traitée le plus tôt possible. Les personnes atteintes de cette maladie doivent vérifier régulièrement leur vision dans chaque oeil à l'aide d'une grille d'Amsler. Même si la grille d'Amsler n'est pas utilisée pour poser un diagnostic de DMLA et qu'elle ne doit pas remplacer des examens de la vue complets et réguliers, il s'agit d'un outil de dépistage utile qui peut permettre de détecter de façon précoce les zones problématiques dans votre champ de vision. « Au cours des 50 dernières années, l'innovation dans le domaine de l'ophtalmologie a été remarquable, et nous assisterons dans la prochaine décennie à des avancées formidables dans le traitement de la DMLA, affirme le Dr Varun Chaudhary, membre de la SCO et chef du Département d'ophtalmologie et professeur de chirurgie à l'Université McMaster. En plus de la mise au point de nouveaux médicaments pour traiter la DMLA humide, nous nous attendons à ce que des médicaments pour traiter la DMLA sèche deviennent accessibles, sans oublier l'évolution des technologies d'imagerie à domicile permettant de mieux surveiller les patients atteints de DMLA. » Symptômes Même si les symptômes de la DMLA peuvent différer d'une personne à l'autre, les plus courants incluent les suivants : un changement graduel ou soudain dans la qualité de votre vision des lignes droites semblent ondulées ou déformées des zones sombres et floues ou des zones de perte de vision apparaissent au centre de votre vision dans de rares cas, vous pourriez constater un changement dans votre perception des couleurs Un sondage national réalisé en 2022 par la SCO, en partenariat avec l'Association canadienne des optométristes, a recensé des lacunes dans le système de santé oculaire pour aider à orienter les interventions futures et s'attaquer aux enjeux de santé oculaire partout au pays, et a également mis en relief la nécessité de créer un Bureau national de la santé oculaire à l'Agence de la santé publique du Canada et d'élaborer une stratégie nationale sur les soins oculaires. Pour en savoir plus sur le traitement de la DMLA, ou pour faire le test de DMLA, visitez voirlespossibilites.ca. À propos de la Société canadienne d'ophtalmologie La Société canadienne d'ophtalmologie (SCO) est l'autorité nationale reconnue en matière de soins oculaires et visuels au Canada. En tant que médecins et chirurgiens ophtalmologistes, ses membres veillent à ce que la population canadienne reçoive les meilleurs soins oculaires médicaux et chirurgicaux possible, en encourageant la poursuite de l'excellence en ophtalmologie et en procurant des services de soutien à nos membres en exercice. La SCO regroupe plus de 900 ophtalmologistes et 200 médecins résidents en ophtalmologie. Nous collaborons avec le gouvernement, d'autres sociétés de surspécialité nationales et internationales, nos collectivités universitaires (ACUPO), nos partenaires provinciaux et sociétés affiliées et d'autres professionnels des soins oculaires et groupes de patients pour promouvoir une politique en matière de santé oculaire et visuelle au Canada. La SCO est prestataire agréée et primée de développement professionnel continu (DPC) dans le cadre du programme du Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada (CRMCC). Elle est en outre affiliée à l'Association médicale canadienne (AMC). Pour de plus amples renseignements, visitez le site cos-sco.ca. À propos du sondage Un sondage en ligne a été réalisé auprès de 2 003 Canadiens âgés de 18 ans et plus entre le 10 et le 21 juin 2022 à l'aide du panel en ligne de Léger. Aucune marge d'erreur ne peut être associée à un échantillon non probabiliste (c.-à-d., un panel Web dans le cas présent). Toutefois, à titre comparatif, un échantillon aléatoire de 2 003 répondants aurait une marge d'erreur de ±2,2 %, 19 fois sur 20. Le panel en ligne de Léger compte environ 400 000 membres à l'échelle nationale et a un taux de rétention de 90 %.
SOURCE Canadian Ophthalmological Society
Calories et valeurs nutritionnelles des baies de goji séchées
Uniquement commercialisées séchées en France, les baies de goji ont une valeur nutritionnelle élevée, avec une forte concentration en nutriments et micronutriments, comme c’est le cas de tous les fruits secs.
Leur valeur calorique avoisine les 320 calories et leur teneur en gluci
Calories et valeurs nutritionnelles des baies de goji séchées
Uniquement commercialisées séchées en France, les baies de goji ont une valeur nutritionnelle élevée, avec une forte concentration en nutriments et micronutriments, comme c’est le cas de tous les fruits secs.
Leur valeur calorique avoisine les 320 calories et leur teneur en glucides est de 70 g pour 100 g, à savoir sensiblement comme ceux des raisins secs : les baies de goji séchées sont donc des fruits plutôt énergétiques.
On note également leur exceptionnelle teneur en fibres, qui contribuent à faire de ce fruit un aliment précieux pour la ligne et pour la santé.
Mais ce qui a fait le succès de ces petites baies, c’est leur très grande teneur en antioxydants variés, largement vantée par les industriels. Elles contiennent en effet des vitamines A, E et C, des caroténoïdes, de la zéaxanthine, des flavonoïdes, du sélénium ou encore du zinc.
Son indice ORAC- qui permet de mesurer la performance antioxydante d'un aliment - s’élève ainsi à 3 290, ce qui est bien, mais pas autant que la prune (6100), la framboise (5065), ou encore la mûre (4669)
Depuis le début des années 1980, la baie du goji est au centre de nombreuses études qui s’emploient à justifier son usage historique. Un certain nombre d’entre elles ont été menées et publiées en Chine par la prestigieuse commission scientifique et technologique gouvernementale et ont abouti à des résultats intéressants.
Outre les nombreux antioxydants, vitamines et minéraux qu’elle contient, la baie de goji est également une très bonne source de glucides sous forme de polysaccharides qui amélioreraient le taux d’hydrates de carbone de l’organisme ainsi que de l’insuline. Une récente étude menée en Chine (source 1) s’est ainsi intéressée au potentiel thérapeutique des polysaccharides végétaux dans les maladies métaboliques, et en particulier dans le diabète de type 2.
Une autre étude (source 2) a mis en avant l’effet protecteur des polysaccharides de Lycium barbarum (baies de goji) sur le stress oxydatif, directement impliqué dans la survenue du diabète.
Par ailleurs, la très grande proportion de fibres contenue dans la baie de goji, doublée de son faible index glycémique, contribue à faire de cette petite baie un fruit qui élève modérément la glycémie et donc autorisé aux diabétiques.
Avec son fort pouvoir antioxydant, la baie de goji n’a pas volé son surnom ancestral de "baie de jouvence". Parmi les nombreux antioxydants dont elle recèle, la goji contient de la zéaxanthine, connue pour son effet protecteur sur les yeux, qu’elle préserve des maladies dues au vieillissement cellulaire comme la DMLA ou encore la cataracte (source 3).
Les antioxydants ont par ailleurs la faculté de lutter contre les radicaux libres, responsables en grande partie du vieillissement prématuré des cellules.
Plusieurs études se sont penchées sur les effets anti-cancer des baies de goji. Elles suggèrent d’une part que les baies pourraient être un traitement adjuvant utile dans le traitement de plusieurs cancers (source 4), d’autre part qu’elles sont capables d’accroître la sensibilité à la radiothérapie et de renforcer le système immunitaire de patients cancéreux (source 5), et enfin qu’elles pourraient inhiber la croissance de cellules humaines de leucémie (source 6).
Les polysaccharides, la zéaxanthine et le cérébroside contenus dans la goji, contribueraient à l’effet hépatoprotecteur de la baie de goji. Elle agirait en inhibant la peroxydation lipidique des cellules du foie, en aidant à réparer les lésions des cellules du foie induites par du tétrachlorure de carbone (un composé chimique toxique) et en facilitant le rétablissement d’une nécrose hépatique.
Bien qu’elle soit relativement calorique et sucrée, comme tous les fruits secs, la baie de goji est réputée pour son effet sur la ligne. À la fois riche en fibres qui limitent l’absorption intestinale des sucres et des graisses, en vitamine C antifatigue et en chrome qui réduit les envies des sucres, cette petite baie serait un précieux aide-minceur. Son index glycémique bas la rend par ailleurs très rassasiante et contribue à réguler les prises alimentaires et à favoriser la perte de poids.
Enfin, les baies de goji sont intéressantes dans le cadre d’un régime hypocalorique, car elles permettent de limiter les carences vitaminiques et minérales, souvent liées à ces régimes restrictifs.
Mélangées à un yaourt, à du muesli, à une salade de fruits, cuisinées dans des gâteaux ou des biscuits, en jus, en smoothie, en jus ou encore en infusion : les possibilités de recettes avec la goji sont infinies !
Certaines études récentes ont révélé la présence de pesticides en quantité importante dans de nombreux produits commercialisés en France. Dans certaines régions de cultures, présentent des notamment des quantités de soufre très élevées dans les terres, engendrant une forte concentration de ce métal toxique dans les baies. On recommande donc de choisir les produits avec la certification agriculture biologique et sans résidus de pesticides, et dans le doute de limiter leur consommation à des cures de quelques semaines.
Par ailleurs, les baies de goji sont contre-indiquées durant la grossesse, car sont suspectées de stimuler l’utérus et de provoquer des contractions.
source: https://www.santemagazine.fr/
Le jus de carotte, un booster pour renforcer le système immunitaire :
Les antioxydants permettent de mieux protéger le corps du vieillissement et des agressions extérieures. La consommation régulière de jus de carotte est une bonne manière de renforcer le système immunitaire.
L’ensemble des qualités nutritionnelles de la carotte permetten
Le jus de carotte, un booster pour renforcer le système immunitaire :
Les antioxydants permettent de mieux protéger le corps du vieillissement et des agressions extérieures. La consommation régulière de jus de carotte est une bonne manière de renforcer le système immunitaire.
L’ensemble des qualités nutritionnelles de la carotte permettent de nourrir le corps. Mieux nourri, celui-ci se défend plus facilement contre les virus et autres bactéries. Les vitamines et la teneur en bêta-carotène présents dans le jus de carotte assurent une meilleure résistance face aux maladies et une meilleure vitalité globale.
Des études scientifiques ont mis en lumière le lien entre une alimentation riche en vitamines A et en bêta-carotène et la prévention de certaines formes de cancer. Les personnes consommant régulièrement des aliments où ils sont présents seraient moins à risque de développer un cancer du poumon, du côlon ou de la prostate.
Les effets antioxydants du jus de carotte :
La richesse en caroténoïde du jus de carotte est reconnue pour ses vertus protectrices. Cet antioxydant est utilisé par la peau afin de se protéger contre les effets néfastes du soleil et pour se défendre contre les agressions extérieures. Une cure de jus est un bon moyen de préparer sa peau au soleil avant l’été et possède des vertus pour ralentir l’apparition de rides et de ridules.
Les bienfaits du jus de carotte sont nombreux pour les yeux, le cœur et le système digestif. Dans notre vie moderne, les antioxydants permettent de lutter contre les effets du stress. Les antioxydants présents dans le jus de carotte sont parfaits pour pallier à l’anxiété et à la sédentarisation.
Le jus de carotte, la boisson idéale pour protéger les yeux :
Les effets antioxydants de ce super-aliment permettent de prévenir le vieillissement des cellules. Les organes et les cellules se régénèrent plus facilement et plus rapidement. Au niveau des yeux, la consommation de carotte participe au maintien d’une bonne vision et améliore l’acuité visuelle.
Il a été prouvé que deux verres de jus de carotte est un moyen efficace de lutter contre la dégénérescence maculaire ou des maladies oculaires telles que la cataracte.
Le jus de carotte, ingrédient beauté pour la peau :
Le jus de carotte est reconnu pour donner une teinte légèrement dorée à la peau lorsque l’on en consomme en grande quantité. Les fameuses “fesses roses”… Loin de n’être qu’un mythe, la consommation de jus de carotte permet effectivement de profiter d’un vrai effet bonne mine.
Autre avantage du jus de carotte, la boisson est très hydratante. Entre sa richesse en vitamines, en minéraux et la haute teneur en eau, la boisson à base de carotte est naturellement un cocktail beauté pour la peau.
Le jus de carotte et ses bienfaits pour le cœur et le cholestérol:
Le jus de carotte est un aliment particulièrement intéressant à inclure dans un régime anticholestérol. La composition nutritionnelle de la carotte permet de mieux prévenir les troubles cardio-vasculaires et joue un rôle dans la diminution du mauvais cholestérol.
Autre avantage lié à une consommation en jus de la carotte, c’est que cette boisson est un bon diurétique. C’est-à-dire que le jus de carotte permet de mieux éliminer et de mieux digérer, permettant ainsi une meilleure absorption des minéraux et des vitamines. Et grâce à une meilleure alimentation et une bonne digestion, vous protégerez mieux votre cœur et vos vaisseaux sanguins.
Le jus de carotte aide à réguler la glycémie :
Les jus de légumes sont conseillés aux sportifs et aux personnes suivant un régime diététique. Le jus de carotte sans sucre ajouté est un aliment peu sucré, peu calorique et très riche en nutriments. L’indice glycémique bas de la carotte ne risque pas de créer de pic d’insuline et ses effets diurétiques boostent l’élimination des toxines. Boire un verre de jus de carotte bio chaque jour dans le cadre d’une alimentation saine peut permettre de garder la forme et d’aider le corps à se détoxifier.
Surtout pendant la saison froide, nous entendons encore et encore à quel point il est important zinc peut être. En fait, consommer ce nutriment peut aider une infection pseudo-grippale À raccourcir. Mais le minéral a plus avantages pour la santé. Entre autres choses, il peut glyc
Surtout pendant la saison froide, nous entendons encore et encore à quel point il est important zinc peut être. En fait, consommer ce nutriment peut aider une infection pseudo-grippale À raccourcir. Mais le minéral a plus avantages pour la santé. Entre autres choses, il peut glycémie et le cholestérol améliorer.
Dans un article récent de la Cleveland Clinic (États-Unis), la nutritionniste agréée Julia Zumpano explique ce que le zinc peut faire pour votre santé et comment vous pouvez en consommer suffisamment.
Le zinc est un oligo-élément, ce qui signifie que votre corps n’a besoin que de petites quantités (traces) pour rester en bonne santé. C’est aussi un antioxydant. “antioxydants aider à prévenir les dommages cellulaires qui contribuent aux maladies cardiaques, au cancer et à d’autres problèmes de santé graves”, explique Zumpano. L’expert énumère certains des bienfaits du zinc pour la santé :
Le zinc aide à former des cellules du système immunitaire qui combattent les germes. Vous ne pouvez pas prendre de pastilles de zinc ou de compléments alimentaires avant un un froid protéger, mais vous aider à vaincre plus rapidement un rhume.
Une méta-analyse publiée dans la revue BMJ Open a révélé que l’utilisation de pastilles, de gels ou de sprays nasaux au zinc aidait les gens à se sentir mieux deux jours plus tôt que ceux qui n’utilisaient pas de zinc.
Cependant, le zinc n’a pas réduit la sévérité de la symptômes du rhume. Et faites attention aux effets secondaires comme le mauvais goût et les nausées.
Si vous souhaitez essayer le zinc pour vous sentir mieux plus rapidement, Zumpano vous recommande de vérifier pastilles garder. “En de rares occasions, les personnes qui utilisent des sprays nasaux au zinc perdent leur odorat, parfois de façon permanente.”
Selon le National Eye Institute (NEI) des États-Unis, des études suggèrent que la prise de 80 milligrammes (mg) d’un supplément de zinc avec d’autres vitamines pour la santé oculaire réduit le risque de dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) avancée et de perte de vision de 25 pour cent peut . Les personnes atteintes de DMLA risquent de perdre la vue à mesure que la maladie progresse.
les rétine a une forte concentration en zinc. Le zinc supplémentaire sous forme de supplément peut aider à protéger votre rétine des radicaux libres nocifs qui endommagent les cellules.
Les niveaux de zinc sont souvent trop bas chez les personnes atteintes de diabète de type 2. Certains professionnels pensent que ces faibles niveaux de zinc peuvent rapidement aggraver la maladie. Diverses études suggèrent que le zinc peut réduire la glycémie et l’hypercholestérolémie chez les personnes atteintes de diabète de type 2.
Une glycémie élevée et un taux élevé de graisses dans le sang augmentent le risque d’accidents vasculaires cérébraux et de maladies cardiaques mettant la vie en danger.
Un article publié dans le Journal of Maternal-Fetal and Neonatal Medicine montre que le zinc peut également améliorer la glycémie chez les femmes atteintes de diabète gestationnel.
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Des recherches sont toujours en cours pour déterminer si les suppléments oraux de zinc peuvent accélérer la guérison des ulcères du pied liés au diabète et d’autres ulcères cutanés. mais oxyde de zinc, que vous appliquez directement sur la peau (topiquement), est un traitement éprouvé pour l’érythème fessier. Il agit également comme une barrière contre l’humidité, aidant à protéger les fesses douloureuses de votre bébé d’une irritation supplémentaire.
Certains types de fruits de mer, viandes et volailles sont naturellement riches en zinc. Il existe également des produits enrichis en zinc, comme le pain et le muesli. “Il est généralement facile d’obtenir la quantité recommandée de zinc sans compléments alimentaires obtenir”dit Zumpano.
Des exemples d’aliments riches en zinc comprennent le bœuf, le poulet, les œufs, le lait et les produits laitiers, les noix, les graines et les légumineuses comme les haricots et les lentilles, les céréales, les flocons d’avoine, le porc, les crustacés comme les huîtres et le crabe et les produits enrichis.
Quiconque suit les dix règles de la Société allemande de nutrition (DGE) dans son alimentation consomme généralement suffisamment de zinc, selon un article du magazine de santé AOK. Les recommandations pour les besoins quotidiens sont donc
Femmes huit milligrammes de zinc par jour et Hommes 14 milligrammes de zinc par jour.
Femmes enceintes neuf milligrammes de zinc par jour, à partir du quatrième mois onze milligrammes par jour.
Allaitement maternel 13 milligrammes par jour (même ce besoin plus élevé peut facilement être couvert avec de la nourriture normale).
Bien que les besoins en zinc soient généralement couverts par une alimentation équilibrée, la prise de suppléments de zinc peut être utile pour certaines personnes. Par exemple, chez les personnes atteintes d’une maladie inflammatoire de l’intestin, y compris la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse.
La supplémentation en zinc peut également être conseillée pour les personnes qui suivent un régime végétarien ou végétalien. De même pour les femmes enceintes et allaitantes. Mais l’apport doit toujours médical être clarifié.
Prendre des suppléments de zinc en plus du zinc que vous obtenez de votre alimentation peut causer des problèmes. Trop de zinc peut Effets secondaires cause comme:
Il est généralement recommandé de ne prendre des compléments alimentaires que si cela a été préalablement discuté avec un médecin. Ceux-ci peuvent éventuellement un test sanguin afin de déterminer si vous avez une carence en zinc. (un d)
source: https://news.dayfr.com/
Voir double est extrêmement perturbant. De multiples causes à cette diplopie sont possibles. Ce trouble oculaire touche surtout les adultes. C’est parfois une urgence médicale. Une consultation chez l’ophtalmologue s’impose.
On parle de diplopie chez une personne qui voit double. De manière anormale, l’
Voir double est extrêmement perturbant. De multiples causes à cette diplopie sont possibles. Ce trouble oculaire touche surtout les adultes. C’est parfois une urgence médicale. Une consultation chez l’ophtalmologue s’impose.
On parle de diplopie chez une personne qui voit double. De manière anormale, l’œil distingue deux images au lieu d’une. « Cette vision double d’un objet unique correspond à un défaut d’alignement de nos deux axes visuels », explique la Pre Claude Speeg, présidente de la Société française d’ophtalmologie.
Une vision dédoublée peut avoir de nombreuses causes, plus ou moins graves selon leur origine : traumatisme, atteinte neurologique ou vasculaire…
Il existe différents types de diplopie.
On parle de diplopie monoculaire lorsqu’un seul œil voit double. Elle disparaît dès que cet œil est caché.
La diplopie est binoculaire lorsqu’elle survient les deux yeux ouverts. Elle disparaît lorsqu’un œil est fermé ou caché. Ce type de diplopie résulte de la paralysie d’un des trois nerfs crâniens qui commandent les muscles oculomoteurs. Si l’un de ces nerfs est lésé ou comprimé, les yeux ne sont plus dans l’axe, ce qui explique la vision double.
La vision peut se dédoubler de différentes manières, tout dépend de la localisation du problème.
En cas de diplopie horizontale, les deux images sont côte à côte. Cette anomalie peut être liée à une paralysie du 6e à nerf crânien empêchant l’œil de tourner vers l’extérieur.
On parle de diplopie verticale lorsque les deux images sont l’une au-dessus de l’autre. Ce trouble oculaire peut s’expliquer par une paralysie du 4e nerf crânien, gênant les mouvements verticaux de l’oeil.
La diplopie peut également être oblique. Dans ce cas, les images sont de travers.
Chez certaines personnes, la diplopie survient de manière intermittente, sans caractère de gravité. « Il peut s’agir d’une exotropie intermittente ou strabisme divergent inconstant », explique la Pre Speeg. Dans cette situation, l’œil a tendance à dévier. « Le patient compense et rattrape l’image grâce à sa vision binoculaire », précise l’ophtalmologue. Le phénomène survient essentiellement en cas de fatigue visuelle chez des personnes dont le strabisme n’a pas été corrigé. Dans ce cas, une rééducation musculaire est nécessaire.
La diplopie reste permanente « lorsqu’elle est liée à une vraie paralysie oculaire », observe le Pr Speeg.
Lorsqu’un patient consulte un ophtalmologue pour une diplopie, le médecin prête une attention particulière à certains signes d’alerte :
Pre Claude Speeg, ophtalmologue : Une diplopie binoculaire d’apparition brutale, accompagnée de maux de tête, de douleurs ou de fièvre est une urgence médicale. Il faut rechercher une cause neurologique, vasculaire ou orbitale.
En revanche, la diplopie monoculaire n’est pas une urgen cataracte ce. Elle est liée le plus souvent à uneou une dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) qui nécessitent une prise en charge spécifique.
Les causes d'une vision double sont très nombreuses. Pour poser un diagnostic, le médecin oriente ses questions en fonction de l’âge et des antécédents médicaux du patient. Chez les jeunes, les causes traumatiques sont les plus fréquentes. Après 40 ans, on recherche un diabète, une hypertension artérielle ou des troubles thyroïdiens sous-jacents. Chez une personne âgée, la priorité est d’exclure des causes neurologiques ou tumorales.
Parmi les principales causes de diplopie, on retrouve :
Les traumatismes au niveau de l’orbite de l’œil, liés par exemple à un accident de voiture, à la pratique d’un sport, ou à un coup de poing. La vision double s’explique par la lésion d’un nerf ou la fracture du plancher de l’orbite, lors du choc.
Une rupture d’anévrisme intra-crânien : si l’hémorragie se situe près d’un nerf oculomoteur, elle peut le comprimer provoquant une diplopie
Une tumeur au niveau de l’orbite ou un abcès liés à une maladie infectieuse peuvent également comprimer un nerf
Un diabète non contrôlé peut être responsable d’atteintes neurologiques au niveau de l’oeil, avec comme conséquence cette vision double
L’hypertension artérielle, à un stade avancé, abime les vaisseaux sanguins et peut provoquer une diplopie par un phénomène de compression
Les troubles thyroïdiens se manifestent parfois par une inflammation du globe oculaire (exophtalmie) pouvant donner une vision double
La sclérose en plaques (SEP) entraîne des lésions neurologiques. Un nerf oculaire peut être touché.
Une myasthénie, maladie musculaire auto-immune, affecte également la vision et peut se manifester par une diplopie.
« Chez certains patients prenant un traitement neuroleptique, l’équilibre oculomoteur est parfois précaire. Mais ce type de diplopie est très rare », répond la Pre Speeg.
Tout commence par un bilan orthoptique afin de vérifier le fonctionnement des muscles oculomoteurs.
Ce bilan s’accompagne d’un test de Lancaster. Concrètement, le patient porte des lunettes spéciales dotées d’un verre rouge sur l’œil droit et d’un verre vert sur l’œil gauche. Il doit fixer un point lumineux. Le test permet
source: https://www.santemagazine.fr/
Eyenuk a été autorisé à commercialiser son système de dépistage oculaire par IA (EyeArt) dans l’Union européenne pour les nouvelles utilisations de la détection de la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) et des lésions glaucomateuses du nerf optique (glaucome).
Le système AI (version 3.0) a obtenu une nouvelle certification de
Eyenuk a été autorisé à commercialiser son système de dépistage oculaire par IA (EyeArt) dans l’Union européenne pour les nouvelles utilisations de la détection de la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) et des lésions glaucomateuses du nerf optique (glaucome).
Le système AI (version 3.0) a obtenu une nouvelle certification de la Commission européenne (CE) en tant que dispositif médical de classe IIb en vertu du règlement 2017/745 (« MDR ») sur les dispositifs médicaux de l’UE et est destiné à détecter les signes de rétinopathie diabétique (RD) (y compris l’œdème maculaire diabétique), la DMLA et le glaucome chez les patients à risque de perte de vision à l’aide d’une analyse informatisée d’images de la rétine. Le système a été précédemment approuvé dans l’UE pour la détection de DR.
Selon l’entreprise, cette certification CE fait du système d’IA de l’entreprise la première et la seule solution d’IA autonome avec le marquage CE MDR de classe IIb pour la détection automatisée des trois maladies oculaires et permettra aux clients d’Eyenuk dans l’UE de détecter les maladies en un seul examen utilisant le même ensemble d’images rétiniennes.
La société a également noté que son système d’IA est actuellement le seul système qui est à la fois marqué CE pour la détection des trois maladies et autorisé par la FDA pour la détection de la RD, la principale cause de cécité chez les adultes en âge de travailler.
« Cette certification CE multiplie notre impact de deux manières. Premièrement, notre IA autonome peut désormais aider beaucoup plus de patients à risque de perte de vision – la population à risque de DMLA et de glaucome, en particulier les personnes âgées, en plus des personnes atteintes de diabète », a déclaré Kaushal Solanki, PDG et fondateur d’Eyenuk, dans un communiqué. . “Deuxièmement, notre IA peut désormais fournir un rapport plus complet pour chaque patient avec des résultats de détection pour trois maladies contre une seule auparavant.”
Solanki a également souligné que la RD, la DMLA et le glaucome sont tous asymptomatiques à leurs débuts.
“La haute sensibilité du système EyeArt AI, et sa capacité à être livré sans spécialiste, facilitent la détection précoce des maladies et la prise de mesures préventives pour protéger la vision de ces patients”, a déclaré Solanki dans le communiqué. “Nous attendons avec impatience l’opportunité de forger de nouveaux partenariats avec des hôpitaux et des établissements de santé de classe mondiale en Europe pour aider à préserver la vue de millions de personnes à travers le continent atteintes de ces maladies.”
Selon la société, son système d’IA fournit un dépistage autonome de la rétinopathie diabétique (RD), de la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) et des lésions glaucomateuses du nerf optique, y compris l’imagerie rétinienne, sur la base des normes cliniques internationales et de la notification immédiate, en une seule visite au cabinet. lors de l’examen régulier d’un patient.
Une fois que les images du fond d’œil du patient ont été capturées et soumises au système EyeArt AI, les résultats de la détection sont disponibles dans un rapport PDF en moins de 30 secondes.
Le système d’IA a été développé avec un financement des National Institutes of Health des États-Unis et est validé par le National Health Service du Royaume-Uni. Le système est remboursable par le gouvernement
et les payeurs privés aux États-Unis sous le code 92229 de la terminologie procédurale actuelle de catégorie 1 (CPT).
Cécité : les dernières innovations pour retrouver la vue
Le diabète, le glaucome, la cataracte ou encore la dégénérescence maculaire (DMLA) : ces maladies sont les principales causes de cécité. Quatre techniques permettent de restaurer la vue.
Pour la cataracte (opacification du cristallin), le traitement a été trouvé : il suffit d’inci
Cécité : les dernières innovations pour retrouver la vue
Le diabète, le glaucome, la cataracte ou encore la dégénérescence maculaire (DMLA) : ces maladies sont les principales causes de cécité. Quatre techniques permettent de restaurer la vue.
Pour la cataracte (opacification du cristallin), le traitement a été trouvé : il suffit d’inciser le sac cristallin sur deux millimètres et d’y introduire une sonde à ultrasons qui aspire son contenu, dont les dépôts opaques. Pour les autres pathologies, plusieurs innovations se profilent, mais elles nécessitent toutes une rééducation : le cerveau doit réapprendre à voir.
Dans certaines maladies comme la DMLA, ce sont les photorécepteurs (cellules qui captent les signaux lumineux) de la rétine qui disparaissent peu à peu. Un implant permet de les suppléer. Le patient porte des lunettes dont la caméra transmet les images à un micro-ordinateur placé dans la poche : ce dernier convertit les informations visuelles en signaux électriques et les communique par ondes radio à une puce à la surface de la rétine. Celle-ci transmet ces signaux à des cellules nerveuses qui les relaient au cerveau. En France, quelques patients ont déjà bénéficié de l’implant Prima et « ont récupéré environ 1/20e de leur acuité visuelle. C’est peu mais, comme il s’agit de la partie centrale, ils peuvent lire », indique le Pr Serge Picaud, directeur de l’Institut de la vision.
Un patient souffrant de rétinopathie pigmentaire, aveugle depuis quinze ans, a récupéré partiellement la vue en 2021. Une révolution due à la thérapie optogénétique : les chercheurs ont injecté dans un de ses yeux un virus inoffensif transportant l’ADN d’une protéine d’algue sensible à la lumière. Certaines cellules de la rétine ont alors pu fabriquer cette protéine et détecter à nouveau la lumière. « Les patients doivent porter des lunettes spéciales car, sinon, ils ne peuvent voir que lorsque la lumière est très intense, » indique le Pr Serge Picaud. Le premier patient traité par optogénétique peut localiser, compter et toucher des objets.
La dystrophie rétinienne, une maladie orpheline, est causée par la mutation d’un gène qui conduit à la cécité. Or on sait désormais injecter une copie fonctionnelle de ce gène dans la rétine, ce qui permet de réparer les photorécepteurs abîmés. Pris en charge par la Sécurité sociale, ce traitement est accessible dans quatre centres en France. Mais chacune des deux injections nécessaires coûte 300 000 euros. Les chercheurs planchent sur d’autres thérapies géniques qui permettraient de traiter la rétinite pigmentaire quelle que soit la mutation génétique à l’origine de la maladie. Et il y en 65 ! Un espoir pour les 40 000 personnes en souffrant en France.
La thérapie dite « sonogénétique » consiste à utiliser des ondes ultrasonores pour activer des neurones et manipuler les fonctions d’autres. Appliquée à la vision, cette technique non invasive permet de stimuler des zones du cortex cérébral en lien avec la vision. Les essais chez l’humain sont prévus dans cinq ans.
La radio CKVL et le canal M Vue et Voix présentent Mission VIsion animé par Pierre Brise-Bois pour écouter les émissions cliquez ici :
https://canalm.vuesetvoix.com/radio/emission/mission-vision/
Entre 2011 et 2022, la pollution lumineuse a fortement augmenté et ce phénomène devrait continuer de s’intensifier dans les prochaines années. Longtemps sous-estimée par les prévisions des satellites, l’augmentation de la luminosité du ciel, à travers notamment le développement des lampes LED, a des conséquences pour la santé humaine et
Entre 2011 et 2022, la pollution lumineuse a fortement augmenté et ce phénomène devrait continuer de s’intensifier dans les prochaines années. Longtemps sous-estimée par les prévisions des satellites, l’augmentation de la luminosité du ciel, à travers notamment le développement des lampes LED, a des conséquences pour la santé humaine et la biodiversité.
La pollution lumineuse dans les villes est en hausse et devrait continuer à augmenter ces prochaines années. Selon une étude publiée dans Science, jeudi 19 janvier 2023, une personne qui naîtrait aujourd’hui dans une zone où 250 étoiles sont visibles n’en verra plus qu’une petite centaine à sa majorité. Un phénomène qui a des conséquences sur la santé, et qui a pendant longtemps été sous-estimé, rapporte le HuffPost .
Selon cette même étude, qui se base sur les données du site participatif « Globe at Night », la luminosité du ciel a en effet augmenté de 7 à 10 % par an en raison de la lumière artificielle. Or, ces chiffres sont supérieurs aux estimations originelles des satellites. Deux facteurs viendraient expliquer cet écart.
Tout d’abord, les chercheurs ont constaté que le VIIRS, l’un des satellites utilisés pour faire ces estimations, avait un déficit de sensibilité dans le bleu. Or, la lumière bleue est une part importante des émissions des lampes LED, qui sont de plus en plus présentes dans l’éclairage public. De plus, en dirigeant la lumière vers le sol, les luminaires LED auraient donné, depuis l’espace, l’impression d’une réduction de la pollution lumineuse, alors qu’au sol, ces équipements peuvent être associés « avec des intensités lumineuses très élevées, ou encore des effets d’éblouissement », a expliqué Samuel Challéat, géographe de l’environnement au CNRS.
Or, la pollution lumineuse, qui est aujourd’hui synonyme de fortes émissions de lumière bleue par les lampes et écrans LED, a potentiellement des répercussions sur la santé, selon un rapport de l’ANSES publié en avril 2019. La lumière bleue pourrait notamment « augmenter les risques de survenue d’une dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) », un handicap visuel.
Par ailleurs, la lumière bleue vient perturber « l’horloge biologique interne », ce qui peut provoquer des troubles du sommeil. Enfin, au-delà de la santé humaine, l’éclairage public des villes, qu’il soit à base de lampes LED ou halogènes, a un impact sur la biodiversité, avec une hausse de la mortalité animale et un appauvrissement des espèces dans les milieux éclairés la nuit.
Source : https://www.ouest-france.fr/
Une vue sans restriction est un vrai cadeau – vous ne vous en rendez souvent compte qu’en vieillissant. Parce qu’environ 20 % des personnes âgées de 65 à 74 ans souffrent malheureusement d’une maladie oculaire qui affecte le champ de vision central, appelée dégénérescence maculaire. La forme la plus courante est la dégénérescence macula
Une vue sans restriction est un vrai cadeau – vous ne vous en rendez souvent compte qu’en vieillissant. Parce qu’environ 20 % des personnes âgées de 65 à 74 ans souffrent malheureusement d’une maladie oculaire qui affecte le champ de vision central, appelée dégénérescence maculaire. La forme la plus courante est la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA). Une innovation de Cellico est destinée à aider les personnes atteintes à pouvoir participer à la vie sans restriction malgré leur maladie. IMTEST explique ce qu’il y a derrière.
Il existe des prestations en nature et en argent de la part de la caisse d’assurance maladie pour les soins.
Cellico, une start-up sponsorisée par Samsung, présente les lunettes Arges au Consumer Electronics Show (CES) de Las Vegas. Elle aidera potentiellement les personnes atteintes de DMLA en travaillant avec la réalité augmentée. Étant donné que la dégénérescence maculaire entraîne une altération limitée du champ de vision, cette section d’image est enregistrée avec une caméra 4K et déplacée vers une position différente. A savoir exactement où la personne peut voir sans restriction. Une comparaison avant et après montre comment fonctionnent les lunettes Arges.
Toute personne souffrant de dégénérescence maculaire ne peut plus voir certaines sections visuelles..
Les lunettes elles-mêmes devraient peser un peu moins de 94 grammes – cela ne semble pas beaucoup au début, mais une monture normale pèse entre 5 et 15 grammes. L’application pratique doit montrer si le produit est aussi adapté au groupe cible que le prétend la start-up elle-même. De plus, la technologie ne fonctionne qu’avec une application pour smartphone compatible, ce qui garantit que l’image manquante est déplacée.
L’application devrait également être en mesure de définir la section d’image exacte, qui s’agrandit généralement à mesure que la maladie progresse. Puisqu’il n’y a pas de remède contre la dégénérescence maculaire, les lunettes Arges pourraient au moins améliorer la qualité de vie. Il n’y a actuellement aucune information sur la disponibilité et le prix.
Source : https://news.dayfr.com/
Cet article traite des bienfaits ainsi que sur les moyens d'intégrer facilement ce légume nutritif dans votre alimentation.
La plupart des gens ont des sentiments assez forts à l’égard des betteraves. Certains adorent leur saveur naturellement sucrée et terreuse, tandis que d’autres les détestent sous toutes leurs formes, même le jus de b
Cet article traite des bienfaits ainsi que sur les moyens d'intégrer facilement ce légume nutritif dans votre alimentation.
La plupart des gens ont des sentiments assez forts à l’égard des betteraves. Certains adorent leur saveur naturellement sucrée et terreuse, tandis que d’autres les détestent sous toutes leurs formes, même le jus de betterave. Cependant, quelle que soit votre opinion, il est indéniable que ce légume plein de vie présente des avantages étonnants.
En plus d’être chargées de vitamines et de minéraux, elles contiennent d’autres composés bénéfiques pour la santé, comme des antioxydants, des caroténoïdes et des nitrates, qui contribuent à amplifier encore le nombre de bienfaits des betteraves. De plus, elles sont super polyvalentes et peuvent facilement être incorporées dans une grande variété de plats délicieux. Pourquoi les betteraves sont-elles bonnes pour la santé et peut-on en manger tous les jours ? Continuez à lire pour en savoir plus sur les bienfaits ainsi que sur les moyens d’intégrer facilement ce légume nutritif dans votre alimentation.
Bienfaits des betteraves
1. Une teneur élevée en antioxydants
Les antioxydants sont des composés qui aident à neutraliser les radicaux libres nocifs, prévenant ainsi le stress oxydatif et les dommages aux cellules. Certaines études ont montré que les antioxydants pouvaient protéger contre de nombreux types de maladies chroniques, comme les maladies cardiaques, le cancer et le diabète. Les betteraves sont naturellement riches en phytonutriments, antioxydants, vitamines et oligo-éléments qui combattent les maladies. En fait, elles sont une excellente source d’un certain type de phytonutriments appelés bétalaïnes, qui possèdent de puissantes propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires et fournissent un grand nombre des bienfaits des betteraves pour la santé.
Les bétalaïnes agissent également comme des pigments végétaux naturels et sont responsables de la couleur éclatante des betteraves. Des études in vitro ont révélé que ces puissants pigments peuvent contribuer à protéger contre le développement de certains types de cancer et de maladies. De plus, les betteraves vertes contiennent également une bonne quantité de lutéine et de zéaxanthine, deux caroténoïdes qui jouent un rôle central dans la santé des yeux et peuvent réduire le risque d’affections comme la dégénérescence maculaire et la cataracte.
Dans un modèle animal, la supplémentation en betteraves a permis de réduire le stress oxydatif et l’inflammation chez les rats. Une étude humaine a également confirmé les propriétés anti-inflammatoires des betteraves, montrant que les betteraves cuites et le jus de betterave étaient capables de réduire les niveaux de marqueurs inflammatoires chez les personnes souffrant d’hypertension artérielle.
L’un des plus grands avantages du jus de betterave est sa capacité à promouvoir la santé cardiaque. Les betteraves sont une source riche en nitrates alimentaires, qui agissent comme des vasodilatateurs pour aider à améliorer le flux sanguin et à réduire la pression artérielle. Une étude humaine publiée dans le British Journal of Nutrition a montré que le jus de betterave aidait à réduire significativement la pression artérielle systolique et diastolique des participants après seulement 24 heures. Une autre petite étude humaine réalisée en 2017 a révélé que le jus de betterave aidait à réduire les niveaux de mauvais cholestérol LDL chez les personnes ayant une pression artérielle non contrôlée.
En vieillissant, il est naturel de constater un déclin des fonctions mentales et cognitives, car des affections comme la maladie d’Alzheimer et la maladie de Parkinson deviennent plus répandues.
Cependant, en raison de leur teneur élevée en nitrates alimentaires, il existe des preuves que la poudre de betterave est bénéfique pour la santé du cerveau et peut aider à protéger contre le déclin cognitif lié à l’âge. En fait, une étude humaine publiée dans Nitric Oxide a même constaté que le fait de donner aux adultes âgés un régime alimentaire riche en nitrates a contribué à augmenter le flux sanguin dans certaines zones du cerveau impliquées dans le fonctionnement exécutif.
Les betteraves sont riches en fibres, avec 3,8 grammes par tasse. Les fibres se déplacent dans les intestins sans être digérées, ajoutant du volume aux selles pour favoriser la régularité et une meilleure santé digestive. Une analyse de cinq études a montré que l’augmentation de la consommation de fibres entraînait une augmentation de la fréquence des selles chez les personnes souffrant de constipation. De plus, d’autres recherches suggèrent que l’augmentation de l’apport en fibres par le biais d’aliments comme la betterave est bénéfique pour la santé digestive à d’autres égards et peut protéger contre des maladies comme la diverticulite, les hémorroïdes et le RGO.
Que vous soyez un athlète de compétition ou un adepte occasionnel de la gym, il a été démontré que les betteraves ont un effet puissant sur l’amélioration des performances et sont l’un des meilleurs aliments pour les athlètes. En effet, il a été démontré que les nitrates améliorent l’efficacité de la mitochondrie, l’organite responsable de la production d’énergie pour les cellules de votre corps.
Une étude humaine réalisée en 2011 a révélé que la consommation de jus de betterave améliorait significativement la puissance produite lors d’un contre-la-montre cycliste et augmentait les performances de 2,8 %. Une autre étude humaine a montré que la supplémentation en nitrates alimentaires prolongeait le temps jusqu’à l’épuisement et augmentait la tolérance à l’exercice de haute intensité.
Les betteraves sont vénérées depuis longtemps pour leurs propriétés bénéfiques pour la santé et sont utilisées à de nombreuses reprises par la médecine traditionnelle chinoise et l’Ayurveda. Les betteraves sont notamment utilisées pour nettoyer le foie, améliorer la circulation sanguine et apaiser l’esprit.
Elles sont également utilisées comme un remède naturel pour une variété de maux et ont été traditionnellement utilisées pour traiter des conditions telles que : L’anémie, la faiblesse cardiaque, Toxicité du foie, Constipation, Irritabilité, Agitation, Menstruations irrégulières, Herpès, Baisse de la libido
Source : https://www.pressesante.com.
L’obésité perturbe l’architecture de l’ADN des cellules inflammatoires et contribue au développement de la dégénérescence maculaire liée à l’âge
Une étude publiée dans la prestigieuse revue Science élucide un nouveau mécanisme moléculaire qui peut provoquer la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA). Cette recherche décrit comment le
L’obésité perturbe l’architecture de l’ADN des cellules inflammatoires et contribue au développement de la dégénérescence maculaire liée à l’âge
Une étude publiée dans la prestigieuse revue Science élucide un nouveau mécanisme moléculaire qui peut provoquer la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA). Cette recherche décrit comment les facteurs de stress de la vie, comme l’obésité, reprogramment les cellules du système immunitaire et les rendent destructrices pour l’œil lors du vieillissement. Ce projet a été dirigé par le Dr Przemyslaw (Mike) Sapieha et mené par son postdoctorant, le Dr Masayuki Hata, du Centre de recherche de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont et de l’Université de Montréal.
Concrètement, les chercheurs voulaient fondamentalement savoir pourquoi certaines personnes ayant une prédisposition génétique développent la DMLA tandis que d’autres en sont épargnées. Bien que des efforts considérables aient été investis pour comprendre les gènes responsables de la DMLA, les variations et les mutations des gènes de susceptibilité ne font qu’augmenter les risques de contracter la maladie, mais ne provoquent pas la maladie. Cette observation suggère que d’autres facteurs tels que l’environnement et le mode de vie doivent être pris en considération dans l’équation.
On sait déjà que le système immunitaire de l’œil d’une personne atteinte de DMLA devient dérégulé et agressif, mais pourquoi et comment, l’équipe du Dr Sapieha voulait en apprendre plus. Dans les faits, ces cellules immunitaires maintiennent l’œil en bonne santé, mais s’activent à la suite de rencontres avec des agents pathogènes tels que des bactéries et des virus. Cependant, les cellules immunitaires sont également activées lorsque le corps est exposé à des facteurs de stress tels que l’excès de graisse dans le cadre de l’obésité, faisant ainsi du surpoids le premier facteur de risque non génétique de développer la DMLA, après le tabagisme.
Fait intéressant, l’étude a révélé que l’obésité transitoire ou des antécédents d’obésité entraînent des changements persistants dans l’architecture de l’ADN à l’intérieur des cellules immunitaires, ce qui les rend plus susceptibles de produire des molécules inflammatoires.
Globalement, ces résultats fournissent des informations importantes sur la biologie des cellules immunitaires qui causent la DMLA et permettront de développer des traitements mieux adaptés. Dans cette étude, les chercheurs ont utilisé l’obésité comme modèle pour accélérer et exagérer les facteurs de stress subis par le corps tout au long de la vie. Néanmoins, les conclusions de cette recherche peuvent également amener la communauté scientifique à élargir son intérêt au-delà des maladies reliées à l’obésité et à s’intéresser aux autres maladies caractérisées par la neuro-inflammation accrue comme la maladie d’Alzheimer et la sclérose en plaques, par exemple.
La DMLA est une cause majeure de cécité irréversible dans le monde et a touché environ 196 millions de personnes en 2020. Elle peut être subdivisée en deux formes distinctes : la DMLA sèche qui se caractérise par l’accumulation de dépôts graisseux au fond de l’œil ainsi que la mort des cellules nerveuses dans l’œil et la DMLA humide qui se caractérise par des vaisseaux sanguins malades qui se développent dans la partie la plus sensible du tissu générant la vue, appelée macula.
Mike Sapieha est directeur de l’unité de recherche des maladies neurovasculaires oculaires du Centre de recherche de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont associé au CIUSSS de l’Est-de-l’Île-de-Montréal. Il est également titulaire de la Chaire de recherche du Canada en biologie cellulaire de la rétine et de la Chaire du fonds de recherche en ophtalmologie de l’Université de Montréal, et de la Bourse professorale Wolfe de recherche translationnelle en vision.
Masayuki Hata était stagiaire postdoctoral au laboratoire de Mike Sapieha. Il est aujourd’hui professeur associé au Département d’ophtalmologie et des sciences visuelles de l’École supérieure de médecine de l’Université de Kyoto au Japon
Source :
Centre intégré universitaire de santé
et de services sociaux de l'Est-de-l'Île-de-Montréal , janvier 2023
Des scientifiques américains ont réussi à connecter des cellules souches à la rétine, ce qui pourrait conduire, à terme, à un remède contre la cécité. Explications: Dégénérescence maculaire liée à l'âge, glaucome... plusieurs maladies touchant l'œil peuvent conduire à la perte de vision. Malheureusement, la médecine moderne offre peu d'o
Des scientifiques américains ont réussi à connecter des cellules souches à la rétine, ce qui pourrait conduire, à terme, à un remède contre la cécité. Explications: Dégénérescence maculaire liée à l'âge, glaucome... plusieurs maladies touchant l'œil peuvent conduire à la perte de vision. Malheureusement, la médecine moderne offre peu d'options de traitement une fois que la cécité s'installe.
Cependant, des chercheurs de l'université du Wisconsin-Madison (UW-M) aux États-Unis ont fait une découverte sur les cellules souches qui pourrait enfin conduire à un remède contre les maladies dégénératives oculaires.
Les scientifiques ont réussi à démontrer que les cellules rétiniennes issues de cellules souches sont capables de “de se connecter” en se “donnant la main” avec leurs cellules voisines. Leur nouvelle étude a été publiée le 4 janvier 2022 dans les Actes de l'Académie nationale des sciences américaine (PNAS).
Il y a plus de dix ans, les chercheurs de l'UW-Madison ont trouvé un moyen de développer des amas organisés de cellules (organoïdes), qui ressemblent à la rétine - un tissu sensible à la lumière à l'arrière de l'œil. Les scientifiques ont ensuite reprogrammé des cellules de la peau humaine pour qu'elles agissent comme des cellules souches et se développent en couches de nombreux types de cellules rétiniennes qui détectent la lumière, transmettant finalement ce que nous voyons à notre cerveau.
"Nous voulions utiliser les cellules de ces organoïdes comme pièces de rechange pour les mêmes types de cellules qui ont été perdues au cours de maladies rétiniennes", explique David Gamm, professeur d'ophtalmologie à l'UW-Madison et directeur du McPherson Eye Research Institute dont le laboratoire a développé les organoïdes, dans un communiqué universitaire.
Selon les études que le professeur a publiées l’année dernière, les cellules rétiniennes développées en boîte, appelées photorécepteurs, réagissent comme celles d'une rétine saine à différentes longueurs d'onde et intensités lumineuses. Après avoir été séparées des cellules adjacentes dans leur organoïde, elles peuvent alors se connecter à leurs nouvelles voisines grâce à des cordons biologiques caractéristiques, les axones. "La dernière pièce du puzzle était de voir si ces cordons avaient la capacité de se brancher, ou de 'serrer la main' à d'autres types de cellules rétiniennes afin de communiquer", ajoute David Gamm.
Xinyu Zhao, professeur de neurosciences à l'UW-Madison et co-auteur de l'étude, a travaillé avec les cellules du laboratoire Gamm pour étudier leur capacité à former des connexions synaptiques. Zhao y est parvenu en utilisant un virus de la rage modifié capable d’identifier des paires de cellules qui pourraient former les moyens nécessaires pour communiquer entre elles.
Après que l'équipe ait confirmé la présence de connexions synaptiques, l’équipe de recherche a découvert, après analyse, que les types de cellules rétiniennes les plus courants formant des synapses étaient des photorécepteurs (bâtonnets et cônes). Une découverte remarquable car les photorécepteurs sont généralement perdus dans des maladies comme la dégénérescence maculaire liée à l'âge, la rétinite pigmentaire ou certaines lésions oculaires. Le deuxième type de cellule le plus courant (cellules ganglionnaires) dégénère lors de troubles du nerf optique comme le glaucome. "Ce fut une révélation importante pour nous, conclut le professeur Gamm. Cela montre vraiment l'impact potentiellement large que ces organoïdes rétiniens pourraient avoir."
Source : https://www.pourquoidocteur.fr/
En travaillant sur la malvoyance causée par la dégénérescence maculaire liée à l'âge (ou DMLA), des scientifiques français de l’INRAE viennent de découvrir un nouveau biomarqueur sanguin pour évaluer le risque lié à l’alimentation.
Déficit en a
En travaillant sur la malvoyance causée par la dégénérescence maculaire liée à l'âge (ou DMLA), des scientifiques français de l’INRAE viennent de découvrir un nouveau biomarqueur sanguin pour évaluer le risque lié à l’alimentation.
Déficit en acides gras oméga-3
Les traitements actuels pour la DMLA permettent uniquement de ralentir la progression de la pathologie, et seulement pour certaines formes. C’est pourquoi les stratégies de prévention sont d’une importance cruciale.
Parmi les facteurs de risque sur lesquels on peut agir se trouve le déficit en acides gras oméga-3 à longue chaîne dans la rétine, lipides qui sont apportés par l’alimentation, notamment via le poisson. "Ils jouent un rôle essentiel, car ils assurent la vision au niveau des photorécepteurs, mais ont également des fonctions anti-inflammatoires, limitent la mort cellulaire et le développement vasculaire dans la rétine, trois mécanismes primordiaux pour prévenir la DMLA", expliquent les chercheurs.
Des approches nutritionnelles par un apport supplémentaire en acides gras oméga-3 ont déjà été développées pour prévenir ou limiter la DMLA. Mais l’évaluation de l’efficacité de ces approches se heurte à l’impossibilité de mesurer la concentration en acides gras dans la rétine. "C’est pourquoi l’équipe de recherche s’est penchée sur l’identification de marqueurs sanguins permettant de l’évaluer", poursuivent les scientifiques.
Accompagner sur le plan nutritionnel
Grâce à l’analyse des rétines et du sang issu de 46 donneurs humains, les experts ont pu identifier le biomarqueur sanguin du statut en acides gras oméga-3 de la rétine, à l’aide d’un algorithme développé par apprentissage automatique. Ils ont ensuite combiné l’analyse de rétines de donneurs humains et les données issues de deux études : une recherche pour doser le biomarqueur sanguin chez 62 participants de la cohorte des "3-Cités" et un essai clinique (étude LIMPIA) sur 110 participants dont la moitié suivait une supplémentation alimentaire en acides gras oméga-3.
Grâce à ces études, les scientifiques montrent qu’une concentration élevée du biomarqueur sanguin est associée à un moindre risque d’avoir une forme avancée de DMLA, et que la concentration du biomarqueur augmente après supplémentation en acides gras oméga-3.
Ce biomarqueur permettrait d’identifier très tôt les personnes à risque de développer une DMLA, avant même la détection par examens ophtalmologiques. "Une fois identifiées, les personnes à risque pourront ainsi être accompagnées sur le plan nutritionnel", concluent les chercheurs.
Un brevet sur ce biomarqueur prédictif du statut rétinien en acides gras oméga-3 et l’algorithme de prédiction a été déposé par l'INRAE et l’Inserm.
Par ailleurs, l’équipe de recherche développe actuellement une méthode standardisée et simplifiée de dosage pour intégrer ce biomarqueur à l’évaluation du risque de développer une DMLA.
Source : https://www.pourquoidocteur.fr/ par Mathilde Debry
L'œuf a donc tout bon, qu’on le consomme cru ou cuit ! Les œufs ne sont pas seulement une excellente source de protéines. Ils sont riches en omégas 6 et 9, sont une très bonne source d'oligoéléments, de vitamines B12, K, A, E et D. L’œuf est aussi riche en antioxydants de la famille des caroténoïdes, notamment de lutéine et de zéaxanthin
L'œuf a donc tout bon, qu’on le consomme cru ou cuit ! Les œufs ne sont pas seulement une excellente source de protéines. Ils sont riches en omégas 6 et 9, sont une très bonne source d'oligoéléments, de vitamines B12, K, A, E et D. L’œuf est aussi riche en antioxydants de la famille des caroténoïdes, notamment de lutéine et de zéaxanthine qui assurent la protection de nos yeux. Ils pourraient jouer un rôle positif contre la dégénérescence maculaire liée à l’âge. Ajoutons à cela que l'œuf est aussi une source intéressante en choline qui contribue au métabolisme des lipides et améliore les fonctions cognitives.
Et si la couleur de vos yeux avait une signification médicale ? Selon la science, la couleur de votre iris pourrait en dire long sur votre état de santé. Explications:
Le corps est vraiment une machine complexe, mais également bien faite. Il suffit de savoir observer les bons détails pour en savoir plus sur son état de santé. Changemen
Et si la couleur de vos yeux avait une signification médicale ? Selon la science, la couleur de votre iris pourrait en dire long sur votre état de santé. Explications:
Le corps est vraiment une machine complexe, mais également bien faite. Il suffit de savoir observer les bons détails pour en savoir plus sur son état de santé. Changement de texture des cheveux, aspect ou couleur de la peau, apparition de tâches... Ou encore, couleur des yeux.
Eh oui : la couleur de votre iris pourrait avoir un lien direct avec votre état de santé, et le risque de développer certaines maladies. Un bon indicateur à surveiller, donc.
Bonne nouvelle : si vous avez les yeux d'une couleur sombre (noir, marron foncé, vert foncé...), vous avez moins de chance de développer une forme de dégénérescence maculaire, une maladie chronique de l'œil qui est la principale cause de malvoyance.
En effet, les iris foncés bloquent davantage de rayons UV, ce qui protège votre vue sur le long terme.
Au même titre, selon une étude publiée dans Cancer Epidemiology, Biomarkers & Prevention, vous avez moins de risque de développer un cancer de la peau, car votre corps produit naturellement plus de mélanine que les personnes aux yeux clairs. Ce qui ne doit pas vous empêcher de porter de la crème solaire et des lunettes de soleil, évidemment.
Vous avez les yeux gris, les yeux verts ou les yeux bleus, ou même une nuance légère de noisette ? Selon l'école de médecine de l'Université du Colorado, cela signifie que vous avez moins de risques de développer certaines maladies auto-immunes comme le vitiligo, qui se caractérise par des tâches de dépigmentation sur la peau ou encore dans les cheveux ou la barbe. C'est d'autant plus une bonne nouvelle que les personnes qui souffrent d'un vitiligo ont plus de risques de développer du diabète de type 1, un lupus ou encore des problèmes de thyroïde.
Enfin, les personnes qui ont les yeux clairs ont un désavantage concernant leur consommation d'alcool. Selon une étude de la Gergioa State University, ces dernières ont plus de risques d'avoir une consommation excessive de boissons alcoolisées. Quel lien avec la couleur des yeux ? L'une des hypothèses de travail des chercheurs est que le taux de mélanine, plus élevé chez les personnes aux yeux foncés, a une influence sur la résistance à l'alcool. C'est-à-dire qu'une personne aux yeux clairs sera moins facilement ivre qu'une personne aux yeux marron (pour un poids et un état de santé similaire), et aura donc tendance à boire plus d'alcool pour atteindre un état d'ébriété. Incroyable, mais vrai.
Source: https://www.cosmopolitan.fr/
Des données récentes suggèrent que la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) est un facteur de risque clinique de risque accru d’infection et de mortalité. Il a été rapporté que la DMLA confère un risque plus élevé de complications graves de l’infection par le SRAS-CoV-2, y compris l’insuffisance respiratoire et la mort (25 %), un r
Des données récentes suggèrent que la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) est un facteur de risque clinique de risque accru d’infection et de mortalité. Il a été rapporté que la DMLA confère un risque plus élevé de complications graves de l’infection par le SRAS-CoV-2, y compris l’insuffisance respiratoire et la mort (25 %), un risque supérieur au diabète de type 2 (21 %) et à l’obésité (13 %).
Compte tenu de ces observations, des chercheurs de la Chobanian & Avedisian School of Medicine de l’Université de Boston ont émis l’hypothèse que la DMLA et le COVID-19 partagent des facteurs de risque génétiques communs et ont conçu et exécuté une étude qui a identifié une nouvelle association des deux maladies avec des variantes dans le PDGFB gène. Ce gène code pour un facteur de croissance dérivé des plaquettes (Pdgf) qui joue un rôle dans la formation de nouveaux vaisseaux sanguins et est impliqué dans les modifications anormales des vaisseaux sanguins qui se produisent dans la DMLA.
Ils ont également constaté que des résultats COVID-19 plus graves étaient associés à la DMLA résultant probablement d’une prédisposition génétique à un dysfonctionnement impliquant des protéines du complément, ainsi qu’à un niveau plus élevé de Pdgf dans le sérum sanguin.
Nos résultats s’ajoutent à l’ensemble des preuves du risque accru d’infection et de mortalité par COVID-19 chez les patients atteints de DMLA. Notre analyse donne du crédit aux études cliniques précédemment rapportées qui ont révélé que les personnes atteintes de DMLA ont un risque plus élevé d’infection au COVID-19 et de maladie grave, et que ce risque accru peut avoir une base génétique.
Lindsay A. Farrer, PhD, chef de la génétique biomédicale, co-auteur correspondant
L’équipe de recherche de BU a mené une recherche à l’échelle du génome des variantes qui sont conjointement associées à la DMLA et à chacun des trois résultats du COVID-19 (taux d’infection, maladie grave et hospitalisation) en utilisant de grands ensembles de données génétiques contenant des dizaines de milliers d’individus. Ces ensembles de données ont été précédemment assemblés et étudiés séparément pour les facteurs génétiques contribuant au risque de DMLA et pour chacun des résultats de la maladie COVID-19.
Par la suite, les chercheurs ont analysé les données accessibles au public de patients atteints de DMLA ou de COVID-19 et de groupes témoins pour évaluer l’association de variantes dans PDGFB avec l’activité du gène. Enfin, ils ont utilisé une technique analytique qui leur a permis d’étudier les relations causales entre PDGFB variantes génétiques, concentration de Pdgfb dans le sang, DMLA et résultats COVID-19.
Selon les chercheurs, ces résultats suggèrent que la réduction PDGFB l’activité des gènes et la concentration sérique de PDGF peuvent réduire la gravité de la COVID-19, en particulier chez les personnes âgées. « Des stratégies thérapeutiques associant une thérapie anti-VEGF (un traitement actuel de la DMLA qui limite la croissance des vaisseaux sanguins de l’œil pouvant nuire à la vision) avec des antagonistes (médicaments qui se lient aux récepteurs) pour bloquer la signalisation PDGF ont été considérés comme encore plus efficaces que le traitement unique au VEGF et sont actuellement à l’étude dans des essais cliniques », a ajouté l’auteur co-correspondant Manju L. Subramanian, MD, professeur agrégé d’ophtalmologie.
Les chercheurs pensent que cette découverte de facteurs de risque génétiques partagés nécessitera une plus grande taille d’échantillon pour les maladies graves et les hospitalisations afin de mieux comprendre la pathologie et les facteurs de risque partagés qui contribuent à aggraver les résultats cliniques dans les deux états pathologiques.
Source: https://ma-clinique.fr/
Près de 200 millions de personnes dans le monde vivent avec une dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA). Un médicament connu dans d’autres indications, le Prozac® (fluoxetine), est présenté ici par cette équipe de l’University of Virginia Health System, comme un traitement efficace contre la DMLA sèche, la principale cause de cécité
Près de 200 millions de personnes dans le monde vivent avec une dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA). Un médicament connu dans d’autres indications, le Prozac® (fluoxetine), est présenté ici par cette équipe de l’University of Virginia Health System, comme un traitement efficace contre la DMLA sèche, la principale cause de cécité dans le monde. Les résultats de ces travaux, menés in silico, in vitro et in vivo, et publiés dans les Actes de l’Académie des Sciences américaine (PNAS), démontrent cette efficacité et s’avèrent également en ligne avec l’analyse de grandes bases de données d’assurance englobant plus de 100 millions d’usagers de santé.
La dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) commence à frapper aux alentours de 55 ans, et touche 1 personne sur 10 chez les 65-75 ans et de 25 à 30 % des plus de 75 ans. La forme la plus courante de dégénérescence maculaire liée à l’âge est la DMLA « sèche », qui entraîne une perte de vision progressive. Certaines personnes développent une DMLA « humide », caractérisée par le développement de vaisseaux sanguins fragiles alors que le corps tente de réparer la macula endommagée.
L’antidépresseur fluoxetine, mieux connu sous le nom de Prozac pourrait être repositionné pour offrir le premier traitement pour cette cause majeure de cécité chez les personnes de plus de 50 ans.
L’auteur principal, le Dr Bradley D. Gelfand de l’Université de Virginie, et ses collaborateurs ont mené des tests de laboratoire et constatent in silico (par ordinateur), in vitro et in vivo (chez la souris) que que la fluoxétine se lie à une protéine NLRP3 ce qui inhibe l’activation de l’inflammasome et la libération de cytokines inflammatoires dans DMLA sèche. Enfin, en analysant deux bases de données d’assurance maladie portant sur plus de 100 millions d’usagers de santé, l’équipe identifie
Quel mode d’action ? Les auteurs suggèrent que la fluoxétine agit contre la DMLA en se liant à un agent particulier du système immunitaire, l’inflammasome. Cet agent de l’inflammasome « NLRP3-ASC » déclenche la dégradation de la couche pigmentée de la rétine de l’œil.
Les chercheurs appellent à mener rapidement des essais cliniques pour confirmer l’efficacité de l’antidépresseur contre la DMLA. En cas de succès, le médicament pourrait être administré par voie orale ou via un implant de longue durée dans l’œil…
Encore une fois, alors que les approches traditionnelles du développement de médicaments peuvent être coûteuses et longues, l’identification de l’efficacité thérapeutique d’un médicament existant approuvé pourrait accélérer et réduire le coût du développement d’un traitement efficace contre cette cause majeure de cécité.
Source: Blog.santelog.com
Près de 200 millions de personnes dans le monde vivent avec une dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA). Un médicament connu dans d’autres indications, le Prozac® (fluoxetine), est présenté ici par cette équipe de l’University of Virginia Health System, comme un traitement efficace contre la DMLA sèche, la principale cause de cécité
Près de 200 millions de personnes dans le monde vivent avec une dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA). Un médicament connu dans d’autres indications, le Prozac® (fluoxetine), est présenté ici par cette équipe de l’University of Virginia Health System, comme un traitement efficace contre la DMLA sèche, la principale cause de cécité dans le monde. Les résultats de ces travaux, menés in silico, in vitro et in vivo, et publiés dans les Actes de l’Académie des Sciences américaine (PNAS), démontrent cette efficacité et s’avèrent également en ligne avec l’analyse de grandes bases de données d’assurance englobant plus de 100 millions d’usagers de santé.
La dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) commence à frapper aux alentours de 55 ans, et touche 1 personne sur 10 chez les 65-75 ans et de 25 à 30 % des plus de 75 ans. La forme la plus courante de dégénérescence maculaire liée à l’âge est la DMLA « sèche », qui entraîne une perte de vision progressive. Certaines personnes développent une DMLA « humide », caractérisée par le développement de vaisseaux sanguins fragiles alors que le corps tente de réparer la macula endommagée.
L’antidépresseur fluoxetine, mieux connu sous le nom de Prozac pourrait être repositionné pour offrir le premier traitement pour cette cause majeure de cécité chez les personnes de plus de 50 ans.
L’auteur principal, le Dr Bradley D. Gelfand de l’Université de Virginie, et ses collaborateurs ont mené des tests de laboratoire et constatent in silico (par ordinateur), in vitro et in vivo (chez la souris) que que la fluoxétine se lie à une protéine NLRP3 ce qui inhibe l’activation de l’inflammasome et la libération de cytokines inflammatoires dans DMLA sèche. Enfin, en analysant deux bases de données d’assurance maladie portant sur plus de 100 millions d’usagers de santé, l’équipe identifie
Quel mode d’action ? Les auteurs suggèrent que la fluoxétine agit contre la DMLA en se liant à un agent particulier du système immunitaire, l’inflammasome. Cet agent de l’inflammasome « NLRP3-ASC » déclenche la dégradation de la couche pigmentée de la rétine de l’œil.
Les chercheurs appellent à mener rapidement des essais cliniques pour confirmer l’efficacité de l’antidépresseur contre la DMLA. En cas de succès, le médicament pourrait être administré par voie orale ou via un implant de longue durée dans l’œil…
Encore une fois, alors que les approches traditionnelles du développement de médicaments peuvent être coûteuses et longues, l’identification de l’efficacité thérapeutique d’un médicament existant approuvé pourrait accélérer et réduire le coût du développement d’un traitement efficace contre cette cause majeure de cécité.
Source: Blog.santelog.com
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